Robert Sapolsky: The uniqueness of humans

La Intolerancia De Žižek. - Carta Psicoanalítica Introducción. Psicoanálisis y política, Slavoj Žižek Desde las propuestas de Žižekubicamos que entre el psicoanálisis y la política se teje un nudo que atraviesa la ética, la ley, el deseo, la sexualidad y la forma de gozar. La intolerancia de Žižek Para abordar lo que sería la posibilidad de un encuentro entre el psicoanálisis y la política tenemos primero que ubicar en qué consisten estas prácticas para poder entonces avanzar sobre alguna relación entre ambas, o bien planteemos las preguntas: ¿existe una relación entre el psicoanálisis y la política? Vamos a puntuar algunas de las reflexiones que Žižek hace en su texto “En defensa de la intolerancia”[i] donde critica al liberalismo tolerante y multicultural tanto como a la economía despolitizada pues para él el multiculturalismo despolitizado, esto es, el discurso de la tolerancia étnica, religiosa y sexista que se opone a los fundamentalismos es “precisamente la ideología del capitalismo global”. La no discriminación segrega.

El siglo XXI es ya lacaniano, afirma historiadora francesa Afp Periódico La JornadaViernes 9 de septiembre de 2011, p. 3 París, 8 de septiembre. El 9 de septiembre de 1981, Jacques Lacan murió de un cáncer de colon en una clínica de Neuilly, a las afueras de París. Treinta años más tarde, el siquiatra que revolucionó el sicoanálisis sigue levantando pasiones, considerado un genio por unos y un impostor por otros. Nacido en 1901 en París, en una familia católica conservadora, estudió medicina, se especializó en siquiatría y se apasionó por el surrealismo. En los años 30 efectuó un análisis de seis años y medio con Rudolph Loewenstein y defendió su tesis doctoral, La sicosis paranoica en sus relaciones con la personalidad, en la que expone el caso de una joven criminal, Aimée, llamada en realidad Marguerite Anzieu, madre de un futuro sicoanalista, Didier Anzieu. Lacan también se interesó por las hermanas Papin, que asesinaron a sus patronas en 1933 y fascinarían a numerosos autores, entre ellos el dramaturgo francés Jean Genet. Sorprender

Indirect, Permissive Hypnotic Techniques - a head-cleaners shrink rap page direct/authoritative vs. indirect/permissive One of the many ways that one could divide and categorize hypnotic strategies - strategies for getting a person into a hypnotic state of mind and for suggesting things to the person once in that hypnotic state - is to divide them into authoritative and direct or permissive and indirect. Direct, authoritative hypnotic strategies are, as their label suggests, directds, directing and authority-based. The hypnotist directs the hypnotic subject to do something (e.g., feel a heaviness in the eyelids and let them close). The subject goes along with the directive because the hypnotist is an authority figure and seems to say things with authority. Direct, authoritative strategies are what are generally thought of when thinking of hypnosis. As the label indicates, indirect and permissive hypnotic techniques rely much more on the hypnotist suggesting to the hypnotic subject that he or she do this or do that rather than directing him or her to do so.

Cinéma Lyon Blog : Psychanalyse des contes défaits Le paradis des songes Publié le Vendredi 11 avril 2014 par Pauline Lambert Spectacle "Shadowland" à la Maison de la danse | Ecrit par Steven Banks, auteur de Bob l’Eponge, le spectacle Shadowland est interprété par la compagnie américaine Pilobolus, influencée par le travail du danseur et chorégraphe Alwin Nikolais. Il conte l’histoire d’une jeune fille en quête d’indépendance, fuyant le réel dans ses rêves. La voilà propulsée dans un univers à la l Taureau ailé Publié le Jeudi 10 avril 2014 par Stéphane Duchêne Découvert à l'automne sur la foi d'un album à se damner lointainement inspiré d'un célèbre roman d'Hemingway, San Fermin s'affirme comme l'une des plus fascinantes formations musicales de ces derniers mois. «L'art est toujours un combat» Publié le Vendredi 4 avril 2014 par Benjamin Mialot Interview de Philippe Druillet | Compagnon de route de Mœbius, Philippe Druillet est une légende de la bande dessinée. Planète Vaulx-en-Velin Publié le Jeudi 20 février 2014 par Nadja Pobel

Textes sur l'inconscient Dès le XVIIe siècle, Spinoza soulignait que nous ignorons « ce que peut le corps », anticipant ainsi l’idée d’inconscient : Personne n’a jusqu’à présent déterminé ce que peut le Corps, c’est-à-dire que, jusqu’à présent, l’expérience n’a enseigné à personne ce que le Corps est en mesure d’accomplir par les seules lois de la Nature, considérée seulement en tant que corporelle, et ce qu’il ne peut accomplir sans y être déterminé par l’Esprit. Car personne jusqu’ici n’a acquis une connaissance assez précise de la structure du Corps pour en expliquer toutes les fonctions, et nous ne dirons rien de ce que l’on observe souvent chez les animaux et qui dépasse de loin la sagacité humaine, ou des nombreuses actions qu’accomplissent les somnambules pendant leur sommeil et qu’ils n’oseraient pas entreprendre pendant la veille ; tout cela montre assez que le Corps, par les seules lois de sa nature, a le pouvoir d’accomplir de nombreuses actions qui étonnent son propre Esprit. Freud, Métapsychologie

L'inconscient N'oubliez pas de cliquer sur les liens des différentes problématiques, afin d'accéder à un choix de textes relatifs à cette problématique particulière. Introduction : conscience et inconscient - L'inconscient permet-il autant que la conscience de définir l'homme ? I. - Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ? - "L'inconscient parle en nous." 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. a. 8. III. - Peut-il y avoir une science de l'inconscient ? IV. 1. - Admettre l'existence de l'inconscient est-ce rendre vain tout effort de lucidité à l'égard de soi-même ? 2. - Suis-je responsable de ce dont je n'ai pas conscience ? 3. - L'hypothèse de l'inconscient exclut-elle toute connaissance de soi ? V. Retour au programme des séries générales

Qu'est-ce que l'inconscient ? Comment fonctionne-t-il ? "Mademoiselle Elisabeth v. R… Au cours de l'automne 1892, un médecin de mes amis me demanda d'examiner une jeune fille qui, depuis plus de deux ans, souffrait de douleurs dans les jambes et marchait avec difficulté. Il ajouta qu'il s'agissait, d'après lui, d'une hystérie, bien qu'aucun des symptômes habituels de cette névrose ne soit décelable. Il connaissait un peu la famille de la malade et savait que les années écoulées lui avaient apporté beaucoup de malheurs et peu de joie. D'abord, la malade avait perdu son père, puis sa mère avait dû subir une grave opération aux yeux et, bientôt après, une de ses sœurs mariée était morte d'une affection cardiaque après son accouchement. Je l'interrogeai donc sur les circonstances et les causes de la première apparition de ses douleurs. J'avais compris depuis longtemps de quoi il s'agissait. Freud, Études sur l'hystérie (1893), tr. "Il n'y a dans ce système ni négation, ni doute, ni degré dans la certitude.

Névroses et psychoses "Les paranoïaques présentent dans leur attitude ce trait frappant et généralement connu, qu'ils attachent la plus grande importance aux détails les plus insignifiants, échappant généralement aux hommes normaux, qu'ils observent dans la conduite des autres ; ils interprètent ces détails et en tirent des conclusions d'une vaste portée. Le dernier paranoïaque que j'ai vu, par exemple, a conclu à l'existence d'un complot dans son entourage, car lors de son départ de la gare des gens ont fait un certain mouvement de la main. Un autre a noté la manière dont les gens marchent dans la rue, font des moulinets avec leur canne, etc. Alors que l'homme normal admet une catégorie d'actes accidentels n'ayant pas besoin de motivation, catégorie dans laquelle il range une partie de ses propres manifestations psychiques et actes manqués, le paranoïaque refuse aux manifestations psychiques d'autrui tout élément accidentel. Freud, Psychopathologie de la vie quotidienne, 1901, trad. S.

L'inconscient est-il un autre Moi ? "Dans certaines maladies et, de fait, justement dans les névroses, que nous étudions [...] le moi se sent mal à l'aise, il touche aux limites de sa puissance en sa propre maison, l'âme. Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent ; on n'est pas non plus capable de les chasser. Ces hôtes étrangers semblent même être plus forts que ceux qui sont soumis au moi. [...] La psychanalyse entreprend d'élucider ces cas morbides inquiétants, elle organise de longues et minutieuses recherches, elle se forge des notions de secours et des constructions scientifiques, et, finalement, peut dire au moi : « Il n'y a rien d'étranger qui se soit introduit en toi, c'est une part de ta propre vie psychique qui s'est soustraite à ta connaissance et à la maîtrise de ton vouloir. [...] Freud, "Une difficulté de la psychanalyse", 1916-1917, in Essais de Psychanalyse appliquée, tr. fr. "L'homme est obscur à lui-même ; cela est à savoir.