Le blog SIG Difficile pour moi de ne pas revenir sur la mise à disposition du cadastre en opendata, annoncée très largement et rappelée par le blog parcell’air il y a peu ( Même si la démarche parait aujourd’hui évidente, que de chemins et galères parcourus avant d’en arriver là ! Les discussions sur le GeoRezo relatent bien cette évolution : Merci à qui ? Avant même la tempête opendata, INSPIRE avait enclenché la démarche d’ouverture en considérant que le fond cadastral était une donnée de référence (annexe I).
[BILLET] Concevoir une carte c’est rendre visible l’invisible – Carnet (neo)cartographique Comme la banane, la conception cartographique peut s’attaquer par les deux bouts. D’un côté, c’est une question qui déclenche le processus de fabrication de la carte. Pour y répondre, il faudra sélectionner une (ou plusieurs) information géographique, la traiter, l’analyser et in fine la représenter selon les règles de la sémiologie graphique. Ce processus heuristique, scientifique, à pour but de mettre en image des réalités objectives, de rendre explicite les données géographiques de la façon la plus neutre qui soit (cet objectif n’étant jamais complètement atteint). C’est la carte pour « faire vivre les statistiques » de Roger Brunet. De l’autre côté, c’est un savoir, une idée, une intention qui déclenche le processus de construction cartographique.
Parcell'air SIG La Lettre fait de 2012 l’année de la convergence parcellaire. Dans son édito du numéro 133 de Janvier 2012, Françoise de Blomac nous dévoile un nouvel acronyme avec lequel il faudra se familiariser, la RPCU pour « représentation du parcellaire cadastral unique« . Outre le fait que 2012 sera plutôt une année de tests en tous genres, on apprend surtout (et l’acronyme est révélateur) qu’on s’oriente en fait vers un troisième produit, issu de la fusion (dans des proportions variables) des principales couches des deux produits vectoriels actuels : plan cadastral et BD-Parcellaire. On partirait donc du tronc commun, composé des 7 couches communes au PCI-Vecteur et à la BD-Parcellaire. Reste à savoir ce que deviendront les autres couches du PCI-vecteur (une douzaine, qui, pour certaines ont leur utilité dans les collectivités locales notamment (SUF, détail topo, axe de voies etc…). Comme l’écrit Françoise de Blomac dans son édito, …encore quelques articles en perspective !
Les projections cartographiques par G. Dawidowicz par Gilles Dawidowicz Les cartographes ont depuis longtemps été confrontés à un problème majeur dans l'élaboration de leurs cartes - figuration conventionnelle, sur un plan, de la répartition de phénomènes géographiques, géologiques ou autres - : celui de représenter le mieux possible leurs observations terrestres. 1) Une carte circulaire. La Terre est un solide sphéroïde, c'est-à-dire dont la forme approche plus ou moins la sphère, elle-même solide limité par une surface fermée dont tous les points sont à la même distance (rayon) d'un point intérieur appelé "centre". Par convention, l'ensemble de la communauté scientifique, et donc les cartographes, considère la planète Terre comme une sphère parfaite pour la représentation de celle-ci. Il faut donc, représenter en deux dimensions, ce qui existe en trois dimensions, et cela en convertissant un certain nombre de données.
Lire une carte et s'orienter Je découvre... L'Odyssée de la carte raconte de manière succincte, à travers deux personnages passionnés, l'histoire de la cartographie française depuis le début du XVIIe siècle, période où les connaissances dans le domaine des sciences géographiques furent suffisamment avancées pour décider d'établir la première cartographie de référence de la métropole. Télécharger L'Odyssée de la carte, pdf de 2,4 Mo Repérage sur une sphère : coordonnées géographiques Latitude : Sur un globe terrestre, les parallèles sont des cercles imaginaires parallèles à l'équateur. Un parallèle est identifié par l'angle qu'il forme avec l'équateur et le centre de la Terre. La mesure de cet angle est la latitude.
Vocabulaire et notions générales Publié le 13/12/2012 Auteur(s) : Sylviane Tabarly, professeure agrégée de géographie, responsable éditoriale de Géoconfluences de 2002 à 2012 - Dgesco et École normale supérieure de LyonMarie-Christine Doceul, professeure de chaire supérieure, responsable éditoriale de Géoconfluences - DGESCO, ENS de LyonJean-Benoît Bouron, agrégé de géographie, responsable éditorial de Géoconfluences - DGESCO, ENS de Lyon. Contributions de : Jean-Louis CarnatLaurent Carroué, inspecteur général de l’éducation, du sport et de la recherche, directeur de Recherche à l’IFG - Éducation nationale, Université Paris VIIIAnne-Sophie Clémençon, Historienne des formes urbaines et de l’architecture - Chercheuse-photographe associée au laboratoire « Environnement, Ville, Société », Université de Lyon.Samuel Depraz, maître de conférences en géographie-aménagement - Université de Lyon, Université Jean Moulin Lyon 3. Étudiants de master de l'ENS de Lyon dirigés par Emmanuelle Boulineau Auteurs des articles Acceptabilité
Histoire de la pensée géographique Clio Prépas Agrégé de géographie, maître de conférences à Paris X-Nanterre. Il est spécialiste de géographie urbaine et participe au laboratoire MOSAIQUES (Mutations et Organisations Spatiales : Approches Internationales comparées des Questions Urbaines et de leurs Enjeux Socio-spatiaux). Table des matières Le temps de découvertes et des espaces révélésVers une géographie scientifiqueL’âge d’or de la géographie françaiseLa géographique française face aux Trente GlorieusesLa migration du champ disciplinaire : des sciences naturelles aux sciences socialesLes territoires du monde Suite de la fiche… Vous souhaitez lire la suite ?
Feuilles de géographie : partage de ressources pour l'enseignement supérieur Le portail national Éduscol histoire-géographie a relevé l'apparition d'une nouvelle revue en ligne destiné au partage d'expériences et de matériel pour l'enseignement de la géographie dans le supérieur : Feuilles de géographie : une revue pour partager les pratiques enseignantes La revue est organisée en 5 onglets : actualités | feuilles de cours | feuilles méthodologiques | feuilles de progression | feuilles d’évaluation À titre d'exemple, on y trouve un scénario pour étudier une carte topographique du Cotentin, inspiré de l'histoire du débarquement du 6 juin 1944, par Sarah Girard :
Portail des revues de géographie – CNFG État des lieux, enjeux et coopérations futures (programme format .pdf)Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la Société (MESHS) de LilleComité d’organisation scientifiquePhilippe DEBOUDT (Territoire en Mouvement), Antoine LE BLANC (CNFG), Nathalie LEMARCHAND (UGI), Benjamin WAYENS (Belgeo) 8h30-17h45 Compte-rendu du Forum des revues francophones de Géographie (22 Novembre 2018) MOTS D’ACCUEIL ET INTRODUCTION DE LA JOURNÉE par Philippe Deboudt (Revue Territoire en Mouvement, Université de Lille, MESHS)
Carte (croquis, schéma) Les trois termes carte, croquis, et schéma, utilisés en géographie désignent de manière générique les représentations graphiques appliquées aux espaces géographiques ; afin d’éviter toutes confusions et incompréhensions, en particulier dans les demandes adressées aux élèves, il convient que, sans esprit dogmatique, un accord se fasse entre enseignants sur l’usage de ces termes. Ainsi, la carte, sous ses différentes formes, permet de repérer les lieux et l’extension des phénomènes géographiques plus ou moins proportionnalisés ; c’est une construction intellectuelle avec un langage propre dont il faut connaître l’alphabet (les signes) et la grammaire (les règles de la cartographie, notamment la proportionnalité et la hiérarchisation). En règle générale les cartes sont l’œuvre de professionnels disposant d’un outillage élaboré. Gérard Dorel, ancien professeur à l’université Paris I-Sorbonne, IGEN - (janvier 2003)