Genealogie - Geneafrance Registre matricule militaire Selon les époque le service militaire et le mode de recrutement ont varié (ex. tirage au sort jusqu’en 1905, possibilité d'avoir un remplaçant qu'on paie, appel obligatoire...) Vos ancêtres hommes vont prendre de l’épaisseur tout à coup et avoir une vraie présence à travers tous les renseignements qui figurent dans les tableaux de recrutements, puis les registres matricules, parfois on peut également retrouver dans les papiers de famille les "congés de libération" qui comportent ces mentions également. A la mairie consultez la série H pour les listes de recensement militaires. Les « états de service » dans lesquels sont consignés les livrets matricules de tous les soldats et sous officiers nés entre 1847 et 1906 sont aux AD série R. En plus de l'état civil du soldat figure sa description physique avec toutes les particularités : taille, couleur des yeux et des cheveux, forme du visage, de la bouche... Mentions concernant le degré d'instruction des soldats :
Généalogie et preuves – Louradour Généalogie Je peux le prouver ! En généalogie, comme dans tout travail, on aime prouver que ce sur quoi l’on vient de passer du temps est fiable. Transmettre une généalogie contenant des informations de qualité, revient à en assurer la pérennité. Les longues heures consacrées à trouver les données, à les synthétiser, à les saisir pour établir un arbre ou écrire un texte, méritent reconnaissance par le fait d’une lecture intéressée et pleinement confiante d’un autre lecteur. Les résultats d’une recherche généalogique, que l’on porte à la connaissance de sa famille ou de ses amis doivent être crédibles et c’est à cette unique condition que l’on sera pris au sérieux. Pour cela, un seul moyen : indiquer clairement ses sources et prouver que ce que l’on communique est authentique. Une profusion de moyens A quoi sert une source ? Objectif : la source doit être utile En généalogie, une source doit certifier qu’un événement a bien eu lieu. Une source répond à la question : où ai-je trouvé l’information ? Sources
Réparation pour civils oubliés | Mémoire d'histoires Valorisation, Indexation, Mémoire, ou comment allier la recherche généalogique à la valorisation d’une publication de Gallica BnF. (Article associé : Civils morts pour la France ) En janvier 2014, la bibliothèque nationale de France a eu la bonne idée de numériser les bulletins paroissiaux des communes où vivaient mes ancêtres au début du XXè siècle (décanat de Merville (59)). Bien m’en a pris de commencer à feuilleter, un à un, les bulletins de la commune d’Estaires (où j’ai grandi). Décanat de Merville, publication hebdomadaire, année 1915. En effet, ils présentent des lacunes mais à partir de Juin 1915, un feuillet par bulletin est consacré à la guerre mondiale 1914-1918 et raconte en détails l’invasion allemande d’octobre 1914. En octobre 2014 (100 ans après l’invasion! …), je me décide à les numériser pour les valoriser, mais comment? Cela ne peut pas s’arrêter là! 2 exemples de feuillets ci-dessous, avec les patronymes : Une belle surprise! Pour reprendre le titre de l’article:
Barbari circa maris Condamnés aux bagnes coloniaux NOUVEAU : les images des registres matricules sont désormais visibles avec chaque notice de la base, pour la plupart des condamnés (Le registre des matricules, qui récapitule les informations essentielles sur les condamnés, est un document complémentaire au dossier individuel). De 1852 à 1953, plus de 100000 condamnés ont subi leur peine dans les bagnes coloniaux, principalement ceux de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Sous le terme « bagne », se confondent différents territoires, mais aussi différentes peines. Ainsi cette population pénale compte-t-elle aussi bien des criminels de droit commun (principalement les condamnés aux travaux forcés ou forçats transférés des bagnes portuaires), des criminels ou délinquants multi-récidivistes considérés comme incorrigibles (désignés par les termes de repris de justice, puis relégués), les opposants politiques (désignés après 1871 comme déportés).
Racines.org - Accueil racines.org 18 vidéos pour mieux comprendre l'écriture de nos ancêtres Quel généalogiste n'a pas soupiré plus d'une fois à la lecture d'un acte ancien ? Quel généalogiste n'a pas maudit au moins une fois le scribe dont l'écriture reste un mystère ? En paléographie, il n'y a pas de miracle ; plusieurs ingrédients sont nécessaires pour progresser : une pincée de formation (pour acquérir les fondamentaux), un zeste de lecture collective de documents anciens (pour s'entraider et s'encourager), beaucoup d'exercices et quelques astuces. Dans cet esprit, l'initiative de Roland de Tarragon est bienvenue. L'homme n'en est pas à son coup d'essai. Il a également mis en ligne soixante exercices : si vous séchez, la transcription de la lettre apparaît dans une fenêtre au passage du pointeur. Lire aussi :