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TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK

TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK
Longtemps ce sont les machines - les trains, les avions, les voitures, les motos - qui allaient de plus en plus vite. Aujourd'hui ce sont les hommes qui vont de plus en plus vite, soit de façon naturelle, soit en s'aidant d'équipements mon motorisés, comme des vélos ou des skis. Il y a quelques mois, un homme a franchi le mur du son en sautant d'un ballon et simplement équipé d'une super-combinaison - là. A aucune étape de son exploit, il n'a fait appel un système de propulsion motorisée (ballon, chute libre et parachute) - là. Un peu comme si la technique était arrivée au bout de sa logique, et que c'était le corps qui reprenait le pouvoir face au moteur.Un peu comme si en sortant du monde industrielle, nos sociétés occidentales rêvaient d'une mobilité pré-industrielle ... c'est à dire d'une mobilité sans moteur. On en reparle vendredi matin, là.

http://transit-city.blogspot.com/

atelier d'architecture autogérée L'atelier d'architecture autogérée (aaa) est une plate-forme collective de recherche et d'action autour des mutations urbaines et des pratiques culturelles, sociales et politiques émergentes de la ville contemporaine. Créé en 2001, aaa fonctionne à travers un réseau inter- et extra-disciplinaire ouvert à de multiples points de vue : architectes, artistes, étudiants, chercheurs, retraités, politiques, chômeurs, militants, habitants et tous usagers concernés. L'« architecture autogérée » provoque des agencements de personnes, de désirs, de manières de faire… Ces mises en relation ne sont pas toujours consensuelles, le rôle de l'architecte étant aussi de construire à partir des confrontations et d'accompagner des productions subjectives. Notre architecture est à la fois politique et poétique car elle est d'abord une « mise en relation entre des mondes ».

Constant Du 10 janvier 10:55 au 10 février 11:55 @ Pianos de Lil Parlez-vous Saint-Gillois ?Sons au travail - portraits miniaturesComment sonnent l'atelier d'un accordeur de piano, d'un ferronnier d'art, les machines utilisées par un cordonnier, le salon d'un coiffeur ? Et qu'entent-on lors de la fabrication du pain par un boulanger au milieu de la nuit ? Vincent Matyn-Wallecan vous propose de découvrir les univers singuliers propres à un métier dans des établissements et commerces Saint-Gillois. Poussez la porte et tendez l'oreille : ces portraits miniatures et sonores vous surprendront par leur composition. Chaque portrait est signalé par une calligraphie originale affichée dans la vitrine de l'établissement.

Métropoles En quelques années, le terme de « métropole » que seul un cercle restreint d’acteurs politiques, administratifs et académiques utilisait jusque-là, est entré dans le langage courant. Il est désormais mobilisé par une variété de citoyens, d’élus et de journalistes, ainsi que par des mouvements sociaux qui politisent la métropolisation et la contestent. Pour ces derniers, les « métropoles » sont à la fois les bénéficiaires des transformations socio-spatiales contemporaines et les responsables de nouvelles fractures territoriales et sociales. L'Axe Majeur de Dani Karavan Un projet de longue haleine, ambitieux et poétique. Une dizaine d'années après sa création dans les années 70, la ville nouvelle de Cergy-Pontoise à souhaité se doter d'une réalisation d'art urbain d'envergure. C'est l'artiste Dani Karavan qui a conçu le projet, en 1980: un parcours de 3 kilomètres de long, déterminant une perspective en direction de Paris et composé de 12 stations, à partir de la Tour Belvèdère, au centre d'un ensemble d'immeubles circulaire de Ricardo Bofill, jusqu'à une passerelle qui traverse l'Oise et se terminera prochainement sur l'Ile astronomique, dans l'étang de Cergy-Neuville. De nuit, un laser bleu matérialise le tracé de l'axe et le poursuit au-dessus de l'étang, jusqu'au carrefour de Ham.

Projet Associatif Accueil » Projet Associatif PiNG explore les pratiques numériques et invite à la réappropriation des technologies. A la fois espace de ressources, d'expérimentation et atelier de fabrication numérique (Fablab), l'association développe son projet autour de la médiation, la pédagogie, l'accompagnement et la mise en réseau des acteurs. De l'innovation numérique à l'innovation sociale, PiNG cultive le croisement des publics tout en défendant les valeurs de la culture libre. Parce que les technologies évoluent vite, mais plus encore les pratiques des individus, PiNG développe des projets et des espaces où il est possible d'expérimenter de nouveaux modes de faire, des pratiques collectives, des contextes d'apprentissage alternatifs… une sorte de "laboratoire citoyen" ouvert et partagé s'adressant aussi bien aux acteurs associatifs qu'aux acteurs publics, à la communauté créative des artistes, designers, bricoleurs du XXIème siècle, au monde de l'éducation et de la recherche.

bellastock mercredi 29 février à 19h École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville Comme chaque année le Bellastock oriente ses recherches autour d’un thème alliant architecture et construction. La concrétisation en est une expérimentation à l’échelle un, à savoir un festival de 5 jours où les participants sont conviés à construire leur ville éphémère. Chacun des usages sont représentés, dormir, manger, se rencontrer… L’Observatoire Naturaliste des Ecosystèmes Méditerranéens (ONEM) tient sa première assemblée générale Après un an de fonctionnement, l’ONEM tiendra sa première assemblée générale le lundi 19 décembre 2005 à 19 heures, dans les locaux des Ecologistes de l’Euzière (c’est le siège social de l’observatoire, Domaine de Restinclières, 34730 Prades-le-Lez, situé au nord de l’agglomération de Montpellier, téléphone : 04.67.59.54.62). Cette assemblée est ouverte à tous : que vous soyez membres du réseau ou non. C’est l’occasion unique de rencontrer en chair et en os les membres actifs du réseau, le conseil scientifique et technique et surtout les coordinateurs des enquêtes en cours. Nous ferons le point sur le fonctionnement du réseau, sur les actions démarrées en 2005 et nous présenterons les prochaines enquêtes en préparation pour 2006.

Les centres commerciaux : atome en perdition du périurbain Le centre commercial, concept né au début XXe siècle, représente aujourd’hui encore l’antre de la consommation massive par excellence. Généralement accessible en voiture, ces “commerces de périphérie” sont devenus le symbole rarement apprécié d’une banlieue molle, dépensière, et en quête de sens et de centralités (entendre convivialités). Point de ralliement pour familles aux landaus beuglards, ou terrain de jeu amoureux pour une jeunesse qui s’ennuie, la frénésie de l’achat dominical et ses imaginaires ont perdu peu à peu de leur aura visionnaire depuis la fin des années 1990. Pourtant, il semblerait que ce concentré de boutiques forme encore l’un des seuls lieux de rendez-vous offert aux habitants des petites et moyennes villes en mal de chaleur sociale… Jusqu’à quand ? Dans l’épisode “Something You Can Do With Your Finger” de South Park, les protagonistes montent un boys band raté et réalisent leur rêve : se produire à la galerie marchande locale

A quand la ville sans enfants? Tout part d’une carte largement diffusée sur Internet, représentant le périmètre de marche autorisée de six générations d’enfants de 8 ans, de 1919 à nos jours, dans la ville anglaise de Sheffield. L’avantage d’une telle carte réside dans le fait qu’on peut y lire à peu près ce qu’on souhaite, et de nombreux internautes ont naturellement fait part de leur réactions, tantôt intrigués, tantôt nostalgiques. Certains y verront par exemple un symbole de la paranoïa parentale qui définit notre époque, d’autres au contraire la multiplication des dangers qui guettent nos enfants dans la rue.

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