Réponse aux athées : Non, le problème posé par l’islam n’est pas religieux Dans une réponse concernant l’un de mes articles intitulé « les juges de Marseille préparent la charia »- à vrai dire ils ne la préparent pas, ils l’acceptent en se coulant par lâcheté dans le moule de la dhimmitude dès lors qu’ils sont confrontés à une menace de violence islamique- on me reproche de ne considérer que l’islam et ses turpitudes alors que le vrai problème serait posé par les religions, l’islam n’étant pour sa part que le plus mauvais élève d’une classe peuplée de croyances obscurantistes et aliénantes. Je vais peut-être vous surprendre mais je ne parlais pas de religion. Les religions ne m’intéressent pas dans l’action contre la charia que je mène au sein de différentes organisations. Les croyances sont libres dans notre démocratie et si manifestement certaines personnes n’apprécient pas les religions, comme c’est leur droit, il m’apparaît dangereusement relativiste de traiter l’islam que comme s’il n’était qu’une « religion comme les autres ». FAUX ! Alain Wagner
Blockupy Frankfurt is a glimmer of hope in times of austerity | John Holloway Now, more than ever, the world looks two ways at once. Which way it turns will depend significantly on the protests announced for the days that come: Blockupy Frankfurt on 16 to 19 May, and all the explosions of creative anger that will follow. One face looks towards a dark, depressing world. This lesson of despair was learned by Dimitris Christoulas, who shot himself in Syntagma Square in the centre of Athens on 4 April. This is the meaning of austerity. That is the direction the world is heading in, but is that all there is? The basis of that hope is a simple no: no, we will not accept your austerity. That is our hope: we are the only possible future. But our refusal means little unless it is supported by an alternative creation. All of this is inadequate, all is experimental, but that is the way to go, that is the new world of mutual recognition struggling to be born.
Secret Goldman Team Sidesteps Volcker After Blankfein Vow Sitting onstage in Washington’s Ronald Reagan Building in July, Lloyd C. Blankfein said Goldman Sachs Group Inc. (GS) had stopped using its own money to make bets on the bank’s behalf. “We shut off that activity,” the chief executive officer told more than 400 people at a lunch organized by the Economic Club of Washington, D.C., slicing the air with his hand. That may come as a surprise to people working in a secretive Goldman Sachs group called Multi-Strategy Investing, or MSI. The team’s survival shows how Goldman Sachs has worked around regulations curbing proprietary bets at banks. Lloyd Blankfein, chairman and chief executive officer of Goldman Sachs Group Inc., speaks to the Economic Club in Washington, on July 18, 2012. Lloyd Blankfein, chairman and chief executive officer of Goldman Sachs Group Inc.,... Close Open Photographer: Joshua Roberts/Bloomberg The law doesn’t bar longer-term wagers. ‘The Don’ Hedge Fund Lloyd C. Lloyd C. Photographer: Scott Eells/Bloomberg Slaughtered Pig
Le Califat islamique : véritable objectif des Frères Musulmans En Egypte, les Frères Musulmans au pouvoir assurent vouloir instaurer un Etat islamique moderne. Mais derrière un habillage démocratique, la Constitution portée par les « Frères » est islamiquement bien corsée, puisqu’elle prévoit que « les principes de la charia constituent la principale source de la législation ». Depuis le 11 septembre 2001, l’idée islamiquement correcte chère aux dirigeants, intellectuels et médias occidentaux, consiste à affirmer que les Frères Musulmans incarnent la version « modérée » de l’islam politique, par opposition aux « méchants » terroristes salafistes. Il est vrai que les « Frères » ont eu l’intelligence de miser la vague de démocratisation instaurée par le Printemps arabe, et qu’ils s’étaient habilement démarqués, depuis 2001, des dérives d’Al-Qaïda, condamnant hypocritement les attentats du 11 septembre auxquels, de toute façon, ils ne croyaient pas, puisque « œuvre du Mossad » (NDLR : les services secrets israéliens). Vous aimez cet article ?
Occupy and Failure What a long chain of failures Occupy has been over the past seven months. Think about it: It didn’t shut down Wall Street on September 17th; it couldn’t set up camp in its first-choice location, Chase Manhattan Plaza; it barely marched a third of the way across the Brooklyn Bridge roadway before getting kettled; the Oakland General Strike did not exactly generalize; and occupations have been driven from plazas, squares, vacant buildings, and sidewalks across America. Again and again, plans of action have not materialized as projected. You might expect me to counter this list of defeats with a list of successes— perhaps the many homes saved from foreclosure, or the shift in national debate to address inequality, or the money moved out of Bank of America. (If you were expecting such a list, you were wrong—but in an article about derailed expectations, that seems only appropriate.) The media narrative ahead of May Day is already settled on a fulcrum of success or failure.
ÉCONOMIE • Ces 147 sociétés qui dominent le monde L’économie mondiale est hyperconcentrée, selon une équipe de chercheurs de Zurich. Leur étude souligne la fragilité d’un système financier contrôlé par un petit groupe de multinationales, liées entre elles par des participations croisées. La science apeut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifestécontre le pouvoir financier. Selon lesspécialistes des systèmes complexes que nous avons interrogés, ces travaux, quifournissent une remarquable tentative d’analyse du pouvoir économique mondial,pourraient servir de base de travail pour définir les moyens de renforcer lastabilité du capitalisme. L’idée qu’unepoignée de banquiers contrôle de vastes secteurs de l’économie mondiale n’estpas nouvelle pour les militants d’Occupy Wall Street. Ces travaux,publiés par la revue scientifique en ligne PloS One, mettent en évidence un noyaude 1 318 entreprises liées par des participations croisées. Andy Coghlan et Debora Mackenzie Le top 10 des sociétés superconnectées
A force de reculer devant l’islam, voulons-nous vraiment la fin de l’Occident Aux Etats-Unis, deux jours durant, l’Empire State Building s’est illuminé en vert pour célébrer la fin du ramadan. La France n’a pas osé faire de même avec la Tour Eiffel, mais son président n’a pas manqué d’adresser ses vœux à la communauté musulmane. Pour un pays qui ne cesse d’affirmer haut et fort la laïcité comme règle indéfectible de la République (1), cela peut paraître étrange, mais passons ! Le problème est qu’on ne gagne rien en agissant ainsi, car la lâcheté n’appelle que le mépris de celui qu’on porte aux nues. Si encore on achetait la paix, mais on n’achète que sa propre servitude. Ce qu’on gagne, c’est du temps, à la condition qu’il contribue au «Grand Refus», comme dirait Marcuse. Or, Allah exige ! Et comme si cela ne suffisait pas, en Allemagne, le maire d’Hambourg a décidé de reconnaître les jours fériés musulmans. En contrepartie, les musulmans s’engagent à accepter sans réserve la loi allemande. Maurice Vidal
Massive May Day Turnout Highlights Media's Disconnect From Reality Share In my recap of the May Day event in New York City yesterday, I briefly summarized the inaccurate crowd estimations published by major publications like Reuters and the New York Daily News. Reuters declared the protest was a “dud,” though eventually walked back that diagnosis to make the exact opposite claim that the resurgence was “far from being a dud,” and the Daily News absurdly claimed that mere “hundreds of activists across the U.S.” participated in the marches even though in New York City alone, tens of thousands of people took to the streets. But that was only skimming the surface of bad establishment media coverage. Part of the issue seems to be that certain media outlets believe the protest failed because there wasn’t a general strike, mostly because general strikes are illegal in the United States. However, keeping the “general strike” theme also gave lazy journalists an easy out to dismiss the entire protest as a failure.
Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Monti, Lucas Papadémos et Mario Draghi Le président de la BCE, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec ont en commun d'avoir été associés à la banque américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Roche Qu'ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au "gouvernement Sachs" européen. La banque d'affaires américaine a en effet tissé en Europe un réseau d'influence unique sédimenté depuis des lustres grâce à un maillage serré, souterrain comme public. A tout concours, il faut une hiérarchie. Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l'euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O'Neill, l'inventeur du concept des BRICS, l'acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
La France deviendrait-elle islamo-communiste ? La France islamo-communiste soutient les terroristes du Hamas Michel Garroté, réd en chef – Arnaud Montebourg, ministre français du Redressement productif étudie la nationalisation de l’usine Rio Tinto d’aluminium, de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie. Le scoop, c’est qu’Arnaud Montebourg « étudie ». Il est donc apte à faire des études. Dans le même ordre d’idée, une note des services juridiques de Bercy a validé la faisabilité d’une nationalisation du site de Florange, filiale du groupe Arcelor Mittal, ce que le Premier ministre, a, entre temps, désapprouvé. Cela nous fait donc un Premier ministre présumé non-communiste, mais deux ministères français qui, en 2012, au 21e siècle, au troisième millénaire, envisagent des nationalisations – une mesure typiquement communiste qui n’a jamais fonctionné – pour soi-disant enrayer la crise économique, en fait pour l’aggraver. De plus, l’Etat algérien pourrait entrer dans le capital du constructeur automobile français Peugeot SA (PSA). En pire.
Accueil Espace médiation « Un fort sentiment d’insécurité en Paca » (Métro) « La Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur est-elle plus violente que les autres ? » La question a été posée aux « citoyens eux-mêmes » par les chercheurs de l’observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS). L’objectif de cette enquête, dite de « victimation », démontre que les habitants de Paca ont un sentiment d’insécurité supérieure à la moyenne nationale. Un sentiment d’insécurité plus fort qu’ailleurs Selon l’étude de l’OCRDS, 28 % des personnes interrogées en Paca déclarent une ou plusieurs « victimations » au cours de l’année, contre 23 % à l’échelle nationale. Le profil des victimes Parmi les personnes se disant victimes de violences verbales ou de vols, les moins de 25 ans sont les principaux visés. [Métro]