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Le financement participatif peut-il bâtir des villes

Le financement participatif peut-il bâtir des villes
Le financement participatif (crowfunding ou « financement par la foule ») est un marché en pleine expansion, expliquait le rapport de Crowdsourcing.org. Les 452 plateformes de financement participatif dénombrées dans le monde en avril 2012 ont récolté 1,1 milliard de dollars de fonds en 2011 pour les projets qu’elles accueillaient – dont plus de la moitié pour des projets hébergés par des plateformes européennes. Comme quoi, le modèle du financement participatif n’est pas un phénomène uniquement lié aux modes de financement anglo-saxons, que l’on dit traditionnellement plus sensibles au mécénat et à la prise de risque que l’Europe. Image : Répartition des 450 plateformes de crowfunding dans le monde selon le rapport de Crowdsourcing. Kickstarter en ses limites Image : page d’accueil du site Kickstarter. Image : le financement des projets sur Kickstarter par catégories, par Ben Jackson pour the Next Web. En attendant, le recours aux plates-formes de financement participatif progresse.

Kickstarter n’est pas un magasin – et c’est tant mieux ! À l’origine censé permettre de financer des “projets créatifs”, le crowdfunding est de plus en plus utilisé pour financer le prototypage d’objets. Ce qui n’est pas sans poser des questions sur le véritable business de Kickstarter, qui subit depuis quelques semaines des critiques et a finalement annoncé des modifications de ses règles. Kickstarter, leader du marché aux États-Unis avec près de 100 millions de dollars levés via la plateforme en 2011, regorge de projets ingénieux et créatifs qui n’attendent que les sous des internautes pour aboutir. Prenez par exemple cette collecte pour ce design de savon ingénieux qui permet de recycler vos vieux savons au bord de la casse en les fusionnant avec un nouveau savon dont la forme est spécialement étudiée. Plus impressionnant encore, le projet LIFX. Ingénieux et créatif n’est-ce pas ? De belles histoires en apparence, mais qui attirent aujourd’hui à la startup emblématique du crowdfunding le feu des critiques. Quelle protection pour les backers ?

Le crowdfunding se banaliserait-il en offrant... une part des bénéfices? Le financement participatif explose. Le cabinet Massolution prévoit que plus de 5 milliards de dollars seront levés cette année. Mais pour quel retour sur investissement ? Aucun ou très peu. Une participation de 5 000 dollars au projet de Spike Lee (somme visée : 1,25 million de dollars), permet de faire inscrire son nom sur les crédits de fin du film en tant que producteur associé. Deux sites ont donc décidé de garantir aux investisseurs une part des profits générées par le projet pendant 10 ans. >> Diaporama : Les projets fous du crowdfunding Sur ces sites, soutenir un projet est également soumis à une condition particulière : il faut être un « investisseur accrédité » par la loi fédérale américaine. Un financement à approuver Au premier abord, Upstart et Pave ressemblent au plates-formes habituels de crowdfunding. Donner un coup de pouce Mais tous les projets ne correspondent pas à ces standards d'étudiants fraîchement sortis de l'université.

Consommation collaborative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1]. Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007.

Economie - Les vrais chiffres… - Les gisements de… - Goldman Sachs… - JP Morgan : La… - Les bus napolitains… - Les véritables… - "The untouchables"… - Goldman Sachs… - Il reste 217… - Pourquoi est-il… - Scandale :… - Les médias grecs… - Refus de rembourse Vendredi 11 avril 2014 5 11 /04 /Avr /2014 09:44 Le Fonds monétaire international estime à 800 milliards de dollars les créances douteuses détenues par les banques de la zone euro Le Fonds monétaire international (FMI) estime à 800 milliards de dollars les créances douteuses détenues par les banques de la zone euro. Un montant qui a doublé depuis 2009 et continue à croître, rappelle l’institution. Un « fardeau ». C’est ainsi que le FMI qualifie, sans détour, les plus de 800 milliards de dollars de créances douteuses qu’ont accumulées les banques des pays en difficulté de la zone euro, dans son dernier rapport sur la stabilité financière mondiale publié mercredi. Par wikistrike.com - Publié dans : Economie 0

Les jeux vidéo, superstars du "crowdfunding" S'il est un secteur qui bénéficie de l'essor du "crowdfunding" (financement participatif), c'est bien celui des jeux vidéo. Depuis le début de l'année, cette industrie a récolté 50 millions de dollars via la plate-forme américaine Kickstarter, laquelle met en relation des porteurs de projets en quête de financement et des investisseurs, moyennant une commission de 5% sur les fonds levés. Non seulement les jeux vidéo coiffent au poteau le cinéma (42 millions de dollars), les produits de design (40 millions), ou bien encore la musique (25 millions), mais ce secteur n'avait engrangé que 3,6 millions de dollars en 2011! 1 million de dollars levés en 24 heures A l'origine de cet engouement soudain pour le financement des jeux vidéo se trouve un titre: "Double Fine Adventure." En février dernier, le studio Double Fine Productions lance un appel de fonds sur Kickstarter, afin de financer le développement d'un jeu d'aventure. Des émules en France Des échecs malgré tout

L'émergence de la Consommation collaborative Onze logiques économiques qui changent le monde Source image : Tout changement social doit concevoir son économie. Et alors que s’ouvre aujourd’hui à Paris le OuiShareFest, premier événement européen entièrement dédié à l’économie collaborative, j’avais envie de donner suite à ce billet et faire le point sur un ensemble de termes qui reviennent souvent dans l’actualité pour qualifier les modèles économiques émergents et à venir qui cherchent à fournir des réponses aux enjeux du siècle. L’économie coopérative Commençons avec le plus ancien de ces modèles, qui relève de l’économie sociale et solidaire. Les premières coopératives de consommation sont apparues à la fin du XVIIIe siècle afin de promouvoir une économie plus sociale. En ce sens, la logique n’est pas anticapitaliste, mais a-capita-liste: ces initiatives ne sont pas en opposition au capital, mais dans sa négation, et la personne humaine remplace le capital dans la finalité de l’action collective des hommes. L’économie positive L’économie circulaire

Goldman Sachs: chassez le cynisme, il revient au galop Voilà plusieurs mois que Lloyd Blankfein déploie beaucoup d’énergie pour améliorer l’image de Goldman Sachs (GS). Celle-ci avait été sérieusement écornée pendant la crise financière. Mais chassez le cynisme, il revient au galop. D’abord, il y a eu cette tentative de GS de repousser le versement des bonus de ses banquiers londoniens de janvier à avril pour bénéficier d’un taux d’imposition plus clément. Qui ne tente rien n’a rien. Mais la banque d’affaires américaine s’est fait rattraper par le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mervyn King, qui a jugé «un peu triste que des gens qui gagnent autant d’argent» jouent sur le calendrier pour diminuer leur impôt. Pourtant, l’enjeu n’est pas mince cette année: les principaux dirigeants de la banque américaine vont se partager plus de 100 millions de dollars de bonus, dont 13 millions rien que pour le PDG. Depuis quelques mois, M. Signaler ce contenu comme inapproprié

When A Kickstarter Campaign Fails, Does Anyone Get The Money Back? : All Tech Considered hide captionIn seeking financial backers for her Ouya game console, Julie Uhrman was looking for about $1 million. The business received far more than that amount. Kickstarter Crowd funding began as a way to support the arts on the Internet. On Kickstarter, the largest crowd-funding site, a handful of entrepreneurs have raised millions of dollars more than they'd expected, by selling the concept of products they have yet to make. Making A Successful Pitch On Kickstarter Julie Uhrman loves playing video games the old-fashioned way — in front of the TV. "And then to see my daughter pick up the controller and say, 'Show me how to do this,' " she says, "it just meant that this is something that's going to be around for a really long time." Uhrman admits that she got a little excited when she saw that her daughter was glued to the TV screen — although, she adds, "I'm sure my daughter's preschool won't like that." Kickstarter liked it, a lot. The 'Doing-The-Right-Thing' Perspective Update Sept. 5.

Le « crowdfunding » ou comment miser sur les PME via Internet Depuis l'avènement du chanteur Grégoire grâce aux producteurs-internautes de My major Company, le crowdfunding ne cesse de se développer en France. Il commence même à toucher le monde des start-up, comme une alternative aux banques et aux business angels . Entre troc, prêt solidaire et capitalisme d'antan, le financement participatif ne manque souvent pas d'attraits, ni parfois de risques.(...) Cet article est exclusivement réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous.

Et si on se passait de banquier ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Paul Seabright (Ecole d'économie de Toulouse) Internet pourra-t-il un jour remplacer le système bancaire ? La question semble farfelue, mais, après tout, les banques ne sont que des intermédiaires entre ceux qui épargnent et ceux qui empruntent. Le Net remplace déjà d'autres intermédiaires, aussi variés que les librairies, les sociétés de ventes aux enchères et les agences matrimoniales. Déjà, des sites Web de prêt entre pairs (peer-to-peer lending) proposent aux utilisateurs des taux d'intérêt bien plus favorables que ceux pratiqués par les banques, en diminuant la marge importante que celles-ci demandent. Lire aussi : "Trouver sa banque sur le Web" et "Utiliser Internet pour mieux gérer ses finances" Or, une étude récente de quatre chercheurs basés aux Etats-Unis semble indiquer que le prêt entre pairs serait capable de mieux gérer le risque que les banques traditionnelles (R.

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