Didactique professionnelle : vademecum pour débutants
La didactique professionnelle a pour but d’analyser le travail en vue de la formation des compétences professionnelles. Elle est née en France dans les années 1990, au confluent d’un champ de pratiques, la formation des adultes, et de trois courants théoriques : la psychologie du développement, l’ergonomie et la didactique. S’intéressant d’abord au travail en milieu industriel, elle s’étend aujourd’hui aux activités de service et d’enseignement.Trois piliers fondateursPour la didactique, c’est Bachelard, Brousseau ou Chevallard qui forment le cadre initial. Les disciplines sont mises à contribution, avec le concept de « situation didactique », c’est à dire les conditions à remplir pour confronter celui qui apprend avec ce qu’il y a à apprendre. La « transposition », c’est le passage du savoir savant en savoir à enseigner, et plus généralement les transformations à réaliser pour permettre les situations d’enseignement.
Les ilots permutés – FlipMusicLab.fr
EDIT important en bas de page Le système des ilots par rôles (ou ilots ludifiés) est maintenant devenu une habitude pour les élèves. Avec le recul nécessaire à son utilisation, je lui trouve des forces et des faiblesses : Forces : Faiblesses : il ne permet pas la prise de position autonome absolument, il y a toujours des ilots dans lesquels se retrouvent des élèves réfractaires à l’activité et qui peuvent entrainer les autres dans un côté improductif.tout l’aspect d’un travail, si le rendu est collectif, n’est pas toujours vécu ni développé par chacun.
Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei
Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ? François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Or il y a d’autres formes d’intelligence, comme la résolution de nouveaux problèmes.
Comment mettre en place des ateliers Montessori cycle 3 (CE2, CM1, CM2)
On parle beaucoup de la pédagogie de Maria Montessori (qui remet l’élève au centre de l’enseignement, et donne plus une place d’observateur que de précepteur à l’enseignant) en maternelle, et au début du primaire. Mais l’utilité et la place qu’elle peut avoir pour des élèves plus agés est beaucoup moins traitées dans les ressources disponibles en ligne pour enseignants et parents d’enfants scolarisés à domicile. Pourtant, il est tout à fait possible de l’adapter et de la mettre en place dans les classes de collèges, mais aussi de lycée, ce qui est d’ailleurs fait dans de nombreux établissement de cycle 3 estampillés « Montessori ». Prenez un cours de géographie classique dispensé à des élèves de CM2. Il est en réalité très facile de le transformer en un atelier Montessori cycle 3 en étudiant les îles, lacs, volcans, mers, montagnes, baies, etc. du monde entier grâce à un matériel pédagogique concret.
CARMI TERTIAIRE - GRENOBLE : CEGID, usages
Le travail du groupe PGI pour 2013-2014 a porté notamment sur une reflexion sur les usages des PGI intégrés dans des scénarios pédagogiques. Pourquoi le scénario ? Parce que la démarche d'enseignement en économie gestion repose, quelque soit le type de formation, sur l'élaboration d'un scénario pédagogique, bâti à partir des programmes/référentiels, des intentions pédagogiques de l'enseignant, et d'un contexte d'entreprise ou d'organisation. Concernant les PGI, il s'agit alors d'intégrer le PGI dans des scénarios adaptés à la classe. Voir à ce sujet la présentation suivante (prezi) qui analyse la notion de scénario pédagogique : "Scénariser, qu'est ce que ça veut dire ?" Scénario et PGI : "pourquoi le PGI dans nos formations ?"
L'accompagnement professionnel des jeunes enseignants - Espace Gourdon
Un témoignage éclairé d’une pratique de PEMF longuement travaillée, interrogée, mise à distance permettant de traduire le plus « simplement » possible quels sont les gestes professionnels d’un enseignant chargé d’accompagner, de guider, de conseiller un enseignant débutant. Le propos se situe bien : au niveau de l’accompagnement et non de la formation, au niveau de la classe, un système complexe que l’on cherche à analyser partiellement pour repérer des points d’appui et d’évolution.
Apprendre à l'école Freinet
À l’orée de la Première Guerre mondiale, « plus jamais ça » semble être l’idée forte de Célestin Freinet qui l’a poussé à engager en France à partir des années 1930 un grand mouvement de refonte pédagogique. Le mouvement Freinet a compté jusqu’à 10 000 membres (lire à ce sujet l’ouvrage de Michel Barré). Les 11 et 12 novembre, un colloque international se déroulait à Paris sur le mouvement Freinet, 50 ans après la disparition de son fondateur. Quels étaient les grands principes de sa pensée ? Plus jamais d’une école qui formate les élèves sans travailler leur émancipation.
La Classe d'Histoire
Le tuteur / la tutrice Du latin tueri : protéger,garder,prendre soin de… C’est un élève responsable, sérieux, avec de bons résultats, qui travaille proprement. Sa mission est d’aider les autres élèves dans le travail en classe.
Changer l'organisation des ateliers et se faciliter la vie !!!
INFO : Pour ceux qui connaissent déjà, les grilles de suivi des ateliers pour 2019/2020 sont en ligne en milieu d'article
Aménager les locaux pour placer les postes
La disposition des ordinateurs La "situation théorique idéale" comprend une salle informatique et des postes dans chaque classe, tous reliés en réseau ! L'équipement des ateliers entre deux classes représente une alternative intéressante.
Merci à Marie Rivoire pour oser proposer un système qui fait travailler les élèves et qui permet de gérer les classes. C'est facile de critiquer, mais ceux qui critiquent n'offrent aucune solution à nos problèmes réels en classe. Un an de IUFM et aucune méthode ou système concret à mettre en place en classe, que de la théorie vide, sans rien de concret. Oui, ces universitaires, si bien formés qui font de la recherche, n'ont rien à offrir pour nos classes, pour nos élèves en detresse et démotivés. Je suis d'accord, aucun système ne peut être parfait, ni servir dans tous les contextes et avec tous les élèves, mais la base d'un système qui marche, marchera encore et encore en nous adaptant à chaque groupe et à chaque élève. J'ai appris plus en observant mes collègues faire cours, qu'en allant à des formations. On prend ce qui marche pour nous, les idées des collègues pour gérer différentes situations nous inspirent, nous donnent des idées. by mariaisabelbarrera Mar 6