Téléportation au Japon grâce à Atsu Atsu Je suis passée par une période en cette fin d’année 2014 où j’avais souvent envie de manger japonais. Et ça a donné lieu à la visite chez Okomusu et à la découverte du restaurant Atsu Atsu, dont je vais vous parler aujourd’hui. Comme je l’avais dit dans le premier billet que j’ai écrit sur un restaurant japonais, j’ai tendance à rechercher des restaurants japonais aussi authentiques que possible, proposant des plats ne se limitant pas au poisson cru (la cuisine japonaise est tellement plus variée que ça!). Tombée sur le site du restaurant Atsu Atsu par hasard sur internet, le peu que j’ai vu m’a donné envie de tester. Un samedi soir, réservation prise au préalable, nous nous rendons donc chez Atsu Atsu.
Restaurant Guilo Guilo à Paris Prix de la nouvelle vague nippone Guide 2009 Après Tokyo et Honolulu, Eiichi Edakuni a débarqué il y a quatre ans sur la planète Montmartre, vite considéré comme un extra-terrestre. Son vaisseau nippon se distribue en comptoir carré, les horaires de décollage font fi des habitudes parisiennes, et l’équipage mixte prend des allures de laborantins s’affairant sur des mets microscopiques. Débute un voyage soigneusement répété, mis en place, exécuté, et proposé en vaisselle de poupée : gaspacho crabe-caviar, multiples apprêts en amuse-bouche (igname aux algues, gombos farcis à la prune, terrine de thon…), bouillon aux couteaux, navets et yuzu, gelée au dashi aux œufs et tempura de maïs (fracassant), sushi de bar et coulis de céleri, cheesecake au lait de soja et glace à la prune salée… Et l’on reste sonné par cette dînette pour grands enfants !
Les petites tables Le Vin Qui Danse, un restaurant à 10 euros Un plan du genre, ça se mérite. Il faut filer dans le 13e arrondissement, plonger sous le bitume via un petit escalier, passer un pont… Là, deux indécrottables épicuriens nommés Valère et Adeline s’épanouissent entre la poutre et la pierre d’un ancien couvent, boutiquant depuis quelques jours une formule à peine croyable. 10 euros pour une entrée et un plat du jour goûtus comme pas permis, midi et soir ! Ça débute avec un maquereau mariné des heures dans un mélange d’épices, voguant sur un guacamole aux légumes croquants comme des pommes. En guise de morceau de bravoure, magret de canard fondant comme un bonbon, déglacé au jus à la framboise et couvé par une mousseline de panais. Le tout mitonné avec des produits soigneusement sourcés, qui déboulent chaque matin de Rungis. Ca valait bien la peine de faire tout ce chemin, non ?
Mexi & Co. 75005 ** Vous avez fait le compte aujourd'hui : 11 paires de RayBan et 17 filles en mini-jupe (et 2 touristes allemands en sandales-chaussettes). Et sous le soleil qui chante, on fonce chez Mexi&co, une vraie cantina comme on trouve au pays des sombreros. Dans cette minuscule gargote, on va chercher sa bière et ses couverts directement à la cuisine. On s'asseoit ensuite à une des tables communes et on s'enfile des nachos pour une poignée d'euros. L’Insouciant 75015 Spécialités Sans souci Dans ce petit restaurant de quartier situé près du square Georges Brassens et du marché aux livres anciens, rien n'est laissé au hasard et tout a été fait pour que vous passiez un moment insouciant. Lumières tamisées, ambiance musicale jazzy et toiles d'un artiste peintre créent une ambiance romantique le soir.
Feta parfumée et grillée - agave Je fais très souvent cette petite recette, improvisée un soir, puis définitivement adoptée! Tout le monde autour de moi apprécie, c'est un vrai régal. La préparation ne prend pas plus de 2 minutes, en prenant son temps...Se qui est bien, aussi, c'est qu'on peut tout préparer à l'avance couvrir d'un film alimentaire, mettre au frigo et juste avant de servir, passer sous le grill quelques minutes. Feta parfumée et grillée -1 morceau de 200 g de feta -1 c.c. d'herbes de Provence-1 petit piment rouge-1 citron bio-du poivre noir du moulin-de l'huile d'olive Les Petites Tables Le Vin Qui Danse, un restaurant à 10 euros Un plan du genre, ça se mérite. Il faut filer dans le 13e arrondissement, plonger sous le bitume via un petit escalier, passer un pont… Là, deux indécrottables épicuriens nommés Valère et Adeline s’épanouissent entre la poutre et la pierre d’un ancien couvent, boutiquant depuis quelques jours une formule à peine croyable. 10 euros pour une entrée et un plat du jour goûtus comme pas permis, midi et soir ! Ça débute avec un maquereau mariné des heures dans un mélange d’épices, voguant sur un guacamole aux légumes croquants comme des pommes. En guise de morceau de bravoure, magret de canard fondant comme un bonbon, déglacé au jus à la framboise et couvé par une mousseline de panais. Le tout mitonné avec des produits soigneusement sourcés, qui déboulent chaque matin de Rungis.
Besame Mucho, un sympathique et vrai restaurant mexicain Passés du 11ardt aux faubourgs de la gare Montparnasse où ils tenaient la Casa Palenque, Paul et Désirée ont finalement décidé de poser leurs bagages dans le 15ème, à proximité du Parc Georges Brassens. Bien sûr, ce couple sympathique n‘a pas changé de registre et continue à proposer d’authentiques spécialités du répertoire mexicains, qui n’ont d’ailleurs rien à voir avec ce que l’on trouve dans la plupart des restaurants Tex Mex à Paris, qui sont en réalité beaucoup plus Tex que Mex ! Un bistrot sympa voué à la cuisine mexicaine. Comme dans leurs maisons précédentes, la déco est très gaie et colorée, avec des murs mauves et jaunes, des sets de tables également mauves et des fauteuils quasi ethniques en cuir. Au programme de la cuisine mexicaine, encore de la cuisine mexicaine et toujours de la cuisine mexicaine.
Num bachok nam-ya - une recette Asiatique Les épices : éplucher le galanga, le hacher, le mettre dans un mortier, râper le zeste du citron par-dessus. Éplucher la citronnelle et ne garder que la partie bulbeuse. Éplucher et émincer l’ail et l’échalote, mettre tous les éléments ainsi que le piment, les feuilles de citron et le curcuma dans le mortier, piler.