Si vous n'avez rien compris au débat sur la compétitivité Rapport Gallois, crédit d'impôts, fiscalité, rigueur, trajectoire des finances publiques… depuis la rentrée, pas un jour sans que l'actualité française ne soit dominée par des questions économiques et fiscales. Et il n'est pas toujours aisé de tout comprendre des débats en cours. Quelques clés pour y parvenir. 1/ Quel est le problème avec la compétitivité française ? La "compétitivité" est une notion large, pour ne pas dire floue, qui désigne la capacité de la France et de ses entreprises à affronter la concurrence. Or la France n'est pas au mieux dans ces indicateurs : si sa productivité horaire est plutôt très bonne, elle tend à ralentir sa progression. Le rapport Gallois se concentre en fait sur un aspect de la compétitivité française : celui de son industrie. >> Lire : "Depuis vingt ans, la France diminue les charges des entreprises" >> Lire : "Pour une vision élargie de la compétitivité" >> Lire : "Coût du travail : les raisons de la discorde"
Réviser 1ère guerre mondia/Éducation & Numérique I/ L'entrée en guerre de la France 1. Une guerre prévue mais soudaine La guerre est provoquée par les tensions nationalistes notamment dans les Balkans et en Alsace. 2. La guerre est d'abord terrestre et les Allemands lancent une grande offensive à l'Ouest vers Paris. II/ Des sociétés installées dans une guerre longue 1. La guerre amène les Français à se resserrer autour de leur gouvernement. Mobiliser la main d'oeuvre Il augmente la durée légale du travail, fait venir des travailleurs des colonies, encourage le travail des femmes aux champs et dans les usines. Produire du matériel de guerre De nouvelles usines, sont implantées loin du front. Financer l'effort de guerre Pour cela, il crée l’impôt sur le revenu et a massivement recours aux emprunts. Il faut aussi convaincre la population La censure contrôle les informations et les Français subissent un véritable bourrage de crâne. 2. 1917 : les refus et les remises en cause En Russie En France 3. 1918 : la victoire 1. 2. 3. 4.
La banque de l'UE Effet multiplicateur La BEI finance généralement un tiers de chaque projet, mais ce pourcentage peut atteindre 50 %. Cet appui à long terme encourage les investisseurs des secteurs privé et public à engager des fonds, à leur tour. En quoi la BEI se distingue-t-elle ? Tous les projets que finance la BEI doivent non seulement être bancables, mais aussi respecter un ensemble de normes strictes du point de vue technique, environnemental et social. Savoir-faire La Banque jouit d’une expérience et d'un savoir-faire de plus de 50 ans en matière de financement sur projet. Le Groupe BEI Le Groupe BEI est composé de la Banque européenne d’investissement et du Fonds européen d'investissement (FEI), qui joue le rôle de fournisseur spécialisé de financements aux PME.
PARTIE 2 - CHAPITRE 1 : FORMES ET FONCTION DE LA MONNAIE - SES-noailles Partie 2 : La Monnaie 1.1 – Les fonctions économiques de la monnaie La monnaie remplit 3 fonctions économiques : une fonction d’unité de compte : Elle permet d’exprimer la valeur de tous les biens et services dans une unité commune (et non 2 moutons valent une vache qui vaut 100kg de pommes de terre, …)une fonction d’intermédiaire des échanges : Cela permet à chaque individu de vendre ce qu’il veut pour acheter ce qu’il veut sans avoir besoin de chercher qui veut échanger le produit qu’il a avec celui qu’il veutune fonction de réserve des valeurs : Grâce à la monnaie, on peut garder les revenus d’une vente pour faire un achat ultérieur (alors que dans le troc l’échange est simultané). 1.2- Les autres fonctions de la monnaie a) La monnaie est un « langage » -La monnaie est un langage parce qu’elle est une référence commune entre les individus : elle permet à une ensemble d’individus de partager les mêmes règles et la même unité de compte. b) La monnaie peut aussi avoir une fonction politique
Les incohérences du PIB vert Le PIB vert ou, plus exactement, l'« inclusive wealth index » a été lancé par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) lors de la conférence sur le développement durable Rio + 20. Le PIB vert consiste à ajouter « l'évolution du capital humain » et « l'évolution du capital naturel » au volume de production mesuré classiquement par le PIB. L'intention est intéressante. Une production qui s'accompagne d'une dégradation de capital humain (par exemple en termes de santé ou de formation) ou d'une dégradation de la nature (par exemple par émission de CO2 ou par destruction de forêts) est diminuée du capital ainsi consommé. La Chine et l'Inde, les deux pays où la croissance économique a été la plus forte (9,6 % et 4,5 % de croissance moyenne annuelle par habitant), voient leur PIB vert progresser moins vite, respectivement de 2,1 % et de 0,9 %. En réalité, le PIB vert ne permet pas de piloter un développement soutenable.
Toute l'Histoire avec Herodote.net - Les nouveautés de la semaine - Herodote.net Marché Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En fonction des choses vendues, on parle de : Marché financier pour les transactions sur des actifs financiers et produits dérivés; Marché monétaire pour le marché financier à court terme, Marché de prédiction; Marché du travail ; Marché du travail en France, etc. On parle de marché d'un bien ou d'un service donné, par exemple l'automobile, l'immobilier, la peinture... pour désigner par extension: l'ensemble des consommateurs susceptibles d'être intéressés par son achat, le volume des échanges et le niveau des prix. L'économie de marché est le système économique dans lequel les prix sont fixés par la rencontre de l'offre et de la demande sur le marché, par opposition à une fixation discrétionnaire. Un marché public est un contrat conclu avec une collectivité publique. Un marché privé est un contrat conclu avec un particulier. Toponymie[modifier | modifier le code] Outil de recherche[modifier | modifier le code] Autres[modifier | modifier le code]
Cours de Economie - L'inflation et la politique de stabilité du niveau général des prix Objectifs : qu'appelle-t-on inflation ? Comment la mesure-t-on ? Quelles sont les principales explications et conséquences de ce dysfonctionnement ? Distinguons les différentes notions liées au niveau des prix : L’inflation : l’inflation se définit comme la hausse continue du niveau général des prix. La désinflation : la désinflation se définit comme le ralentissement durable du rythme de hausse du niveau général des prix. La déflation : la déflation correspond à la baisse continue du niveau général des prix (taux négatifs). La stagflation : la stagflation correspond à la conjonction d’un ralentissement de l’activité économique (baisse du PIB), d’une forte inflation et du chômage. 1. a. On mesure l’inflation en calculant l’Indice des Prix à la Consommation (l’IPC). • Comment calcule-t-on un indice des prix ? • Comment calcule-t-on un taux d’inflation ? b. • Avant 1974, une inflation « de croissance » • De 1974 au début des années 1980 : une période d’inflation élevée 2. a. b. c. d. 3. a.
1930-2008 : Crises économiques structurelles - le rôle de l’Etat, par Joseph Stiglitz (II/II) 1930-2008 : Crises économiques structurelles - le rôle de l’Etat, par Joseph Stiglitz (II/II) Traçant un parallèle avec les années 1930, qu’il analyse comme la crise du passage d’une société agricole vers le monde industriel, Stiglitz voit dans la crise actuelle le résultat des déséquilibres provoqués par la transition de l’industrie aux services. Dans les deux cas, ce sont d’abord les gains de productivité qui sont en cause, note-t-il. L’augmentation de la production, accompagnée par une baisse des prix, du volume d’emploi et des revenus, provoque une crise de la demande avant que le nouveau secteur à même de prendre le relais soit arrivé à maturité. Par Joseph E. Stiglitz, Vanity Fair, 28 décembre 2011 Les parallèles que l’on peut établir entre l’histoire de l’origine de la Grande Dépression et celle de notre Long Marasme sont importants. La majorité des macro-économistes affirment que lors d’une récession, le véritable problème n’est pas la baisse des salaires, mais leur rigidité.
Football Financier Jeu Les biens publics mondiaux - Qu’est-ce qu’un bien public ? Un bien public (ou bien collectif) est un bien ou un service qui présente deux caractéristiques : non rivalité et non exclusion. Un bien est dit non rival lorsque sa consommation par un agent n’empêche pas un autre agent de le consommer. Une fois qu’il est produit, le bien peut être utilisé par un grand nombre de personnes, sans coût de production supplémentaire. Un bien est dit non exclusif lorsqu’on ne peut exclure aucun agent de la consommation de ce bien. On parle de biens publics impurs pour désigner des biens publics qui ne répondent qu’à un seul de ces critères. Les biens publics ne peuvent être satisfaits par le marché pour deux raisons : du coté de l’offre, aucune entreprise privée ne serait en mesure de les produire avec profit ; du coté de la demande, les consommateurs adopteraient le comportement de passager clandestin (profiter d’un bien sans payer). Qu’est-ce qu’un bien public mondial ? Les BPM sont classés en trois catégories : Les BPM naturels.
Crise des subprimes : dix ans après, une vie ruinée « La récession, c'est quand votre voisin perd son boulot. La dépression, c'est quand vous perdez le vôtre. » Pour raconter comment sa vie s'est écroulée, Michelle Thomas, 63 ans, commence par citer ce dicton populaire, attribué au président Truman. Difficile de l'arrêter ensuite. Il y a dix ans, les premiers signes d'explosion de la bulle immobilière apparaissent. Il y a un peu plus de dix ans, Michelle, elle, regardait vers l'avenir. « Mon mari venait d'avoir une promotion et il m'a convaincue d 'acheter une nouvelle maison », commence-t-elle, enfoncée dans son fauteuil usé. La maison de leurs rêves « J' étais réticente, car nous avions déjà un crédit pour la maison de Viola », se souvient-elle.
Deuxième récession en France depuis 2007, quatrième depuis 1949 Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Avec deux trimestres de croissance négative, fin 2011 et début 2012, la France est entrée en récession. C'est ce que prévoit l'Institut national de la statistique (Insee) dans sa dernière note de conjoncture, publiée vendredi 16 décembre. Un précédent lors de la crise financière de 2008. La période actuelle de récession aurait pu commencer dès le deuxième trimestre 2011, qui avait déjà vu un recul de 0,1 % du PIB, selon l'Insee. Avant 2008, la France n'avait connu que deux périodes de récession. L'autre récession qu'a connue la France est intervenue en 1992-1993, avec deux trimestres de croissance négative : - 0,2 % fin 1992 puis - 0,6 % début 1993. Sixième recul du pouvoir d'achat depuis 2008. Le pouvoir d'achat avait en effet diminué pendant trois trimestres consécutifs en 2008 (- 0,1 %, - 0,3 % et - 0,7 %) ainsi que deux trimestres fin 2009 et début 2010 (- 0,4 % et - 0,3 %).
J'aime bien ton cours il est vraiment pas mal ! by virgil53 Sep 25