Risques de l'alcool chez les jeunes Quand on est jeune, le corps réagit différemment à l'alcool que quand on est adulte. L'emprise de l'alcool est plus rapide et plus intense chez les jeunes. En effet, votre corps est plus petit et plus léger et en pleine phase de croissance. Le cerveau, le système nerveux et les organes sont aussi plus vulnérables face aux effets néfastes de l'alcool. Le cerveau continue à se développer jusqu'à l'âge d'environ 23 ou 24 ans.
Comité National Contre le Tabagisme : impact sur la santé Légal, disponible à tous les coins de rue, contrôlé par l’Etat, le tabac parait presque familier. Pourtant, ce n’est pas un produit comme les autres. C’est le seul produit de consommation courante qui est directement responsable de la mort prématurée de la moitié de ses consommateurs. En France, le tabac est, de loin, la première cause de morts et de maladies évitables. La plupart de ses victimes décèdent entre 35 et 69 ans, à un âge où l’on est encore loin d’avoir « tout vécu ». Face à ces maladies souvent douloureuses et incurables, le constat du CNCT est celui d’une urgence : celle de prévenir le tabagisme avant qu’il ne rende malade et ne tue. Crips : Centres régionaux d'information et de prévention du sida Le réseau Crips est un réseau national de compétences pour le traitement de l'information et de la documentation sur le VIH/sida, les hépatites, les usages de drogues et les conduites à risque des jeunes. Il a pour objectif d’aider à l'élaboration de produits adaptés en matière de prévention et à la mise en oeuvre d'actions. Le réseau Crips se compose de sept structures autonomes présentes en Auvergne, en Aquitaine, en Ile-de-France, dans les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie, dans les Pays-de-la-Loire, la Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Rhône-Alpes. Les sept Crips alimentent en commun une base de données documentaire (voir la médiathèque en cours de construction) et recensent les colloques et conférences dans les domaines du VIH/sida, des hépatites et des usages de drogues.
Addictions sans substance : le guide Repère(s est paru ! Le projet Addictions sans substance Dans une société qui donne la primauté aux « loisirs », à la vitesse et à la performance, dans un monde qui voit se développer de nouveaux modes de communication, de nouveaux « outils de plaisir » et toujours plus de technologies innovantes, les pratiques et les objets d’addictions eux-aussi ont évolué, et avec eux, les dispositifs. Le projet Addictions sans substance mené par la Fédération Addiction avec le soutien de la Direction Générale de la Santé sur l’année 2012, a voulu aborder ces problématiques, nouvelles ou historiques, sous l’angle de l’accueil et de la prise en charge des publics au sein du dispositif médico-social.
Addictions. Réglementation - Risques Les différents acteurs et leurs rôles dans la prévention des risques liés aux pratiques addictives La réussite de la démarche de prévention repose sur l’implication de tous les acteurs de l’entreprise (employeurs, salariés, instances représentatives du personnel, service de santé au travail, salarié compétent…). La réglementation précise le rôle de chacun de ces acteurs en matière de prévention des risques liés aux pratiques addictives. Une présentation non-exhaustive de ces acteurs est détaillée ci-après. L’employeur L’obligation générale de sécurité qui incombe à l'employeur, définie par la jurisprudence comme une obligation de sécurité de résultat, doit le conduire à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs (article L. 4121-1 du Code du travail1) Les risques liés aux pratiques addictives (y compris les consommations occasionnelles) doivent en conséquence être :
L'addiction - Corpus - réseau Canopé « Lorsque la substance envahit la vie du sujet… » Voici résumée, en une phrase, l’addiction. Dans cette séquence, Bruno Falissard, praticien hospitalier, revient sur ce terme en l’explicitant avec son regard de clinicien. Sujet majeur de santé publique, les addictions sont avant tout rattachées aux comportements de consommation régulière de substances psychoactives capables d’induire une souffrance psychologique et des troubles physiologiques. Ces comportements de dépendance trouvent leur origine dès l’adolescence. En première approche, l’addiction peut être mise en lien avec la notion de plaisir délivrée par l’administration ou l’absorption d’une ou de plusieurs substances pharmacologiques.
Institut National du Sommeil et de la Vigilance Mon sommeil en pratique Dormir seul ou pas, quel impact sur le sommeil ? Au travail ou en voiture, comment réussir sa sieste ? Prévention des conduites addictives - La prévention des conduites addictives en milieu scolaire Contexte La loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République du 8 juillet 2013 (article 6), crée le parcours éducatif de santé de l'élève (PES). Réaffirmé par la loi de santé du 26 janvier 2016 (article L-541-1 du code de l'éducation), il est impulsé par la circulaire n°2016-008 du 28 janvier 2016, dans la continuité de la circulaire n° 2015-117 du 10 novembre 2015 relatif à la politique sociale et de santé en faveur des élèves, qui vient définir les modalités de la mise en œuvre du PES. L'enquête HBSC (Health Behaviour in school-aged children) donne tous les quatre ans un état des lieux de la situation des collégiens quant aux consommations de tabac, d'alcool et de cannabis. Cette enquête montre l'évolution des consommations de substances addictogènes, les derniers résultats, parus en décembre 2015 et relatifs aux données collectées en 2014 tendent à montrer que les consommations de ces produits par les collégiens sont à la baisse.
Veille addictions Dans le cadre de la diffusion d’un guide pratique sur les soins obligés en addictologie, l’Union régionale Normandie organise une après-midi sur l’articulation Santé-Justice le lundi 23 novembre 2020 de 14h à 17h30 par visio-conférence. La Fédération Addiction a travaillé durant trois ans à l’élaboration d’un guide sur les soins obligés en addictologie afin d’accompagner les professionnels de l’addictologie et ceux de la justice, et de dépasser les difficultés d’articulation entre ces deux secteurs. Cette démarche s’est effectuée avec le soutien de la Direction de l’administration pénitentiaire dans le cadre du Plan gouvernemental de lutte contre la drogue et les conduites addictives 2013-2017 de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA). Objectifs de l’après-midi d’échanges Elle s’adresse aux professionnel.le.s de la région Normandie travaillant auprès de personnes en soins obligés en addictologie.
CJC - Les Consultations Jeunes Consommateurs L’objectif de ces consultations est d’accueillir des jeunes consommateurs en questionnement sur leur consommation, ainsi que leur entourage. Le principe est de faire le point, éventuellement de proposer une aide, avant que la consommation ne devienne problématique. Toutes les problématiques d’addiction peuvent être abordées dans ces lieux : l’usage d’alcool, de cannabis, la pratique de jeux vidéo ou de l’utilisation d’Internet. Prévention des conduites addictives Le décret du 15 novembre 2006 Il est totalement interdit de fumer dans les enceintes (bâtiments et espaces non couverts) des établissements d'enseignement et de formation, publics ou privés, destinés à l'accueil, à la formation ou à l'hébergement des mineurs, notamment les écoles, collèges et lycées publics et privés, y compris les internats, ainsi que les centres de formation d'apprentis. Cette interdiction s'applique aux personnels comme aux élèves.
Inpes - Actualités 2013 - Les adolescents se couchent trop tard… Avec l’entrée dans l’adolescence, les enfants rechignent à aller au lit et dans les années qui suivent, ils retardent de plus en plus le moment de leur coucher. Les deux dernières enquêtes de l’Inpes concernant les jeunes – HBSC 2010 (Health Behaviour in School-aged Children) et le Baromètre santé jeunes 2010 pointent chez eux un déficit de sommeil important : près de 30 % des 15-19 ans sont en dette de sommeil et à 15 ans, 25 % des adolescents dorment moins de sept heures par nuit. Or, ils devraient en moyenne dormir neuf heures trente pour être en forme. Comment parents et professionnels de santé peuvent-ils le leur faire comprendre ? Comment faire pour qu’ils accordent à leur sommeil l’importance qu’il mérite ?
Addictions INSERM Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse.
INPES - Substances illicites : que dit la loi ? La France a signé et ratifié les trois conventions des Nations Unies (de 1961, 1971, 1988) réglementant le régime juridique des stupéfiants et des substances psychotropes. Aujourd’hui, en application de ces conventions, la quasi-totalité des pays européens sanctionne au moins indirectement la détention ou l’achat de produits stupéfiants pour usage personnel. La législation française ne fait pas de distinction entre les produits et le contexte d’usage (dans un lieu public ou privé). La législation française sur les stupéfiants (lois du 31 décembre 1970 et du 5 mars 2007) repose sur deux axes :