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Alcool

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"Tout n'est pas cirrhose dans la vie." Frédéric Dard

« Rien qu’un verre ! », la série documentaire de France tv Slash qui fait réfléchir sur notre rapport à l’alcool. Est-ce que j'ai déjà bu à cause de la pression sociale ?

« Rien qu’un verre ! », la série documentaire de France tv Slash qui fait réfléchir sur notre rapport à l’alcool

Quand est-ce que je sais si je suis alcoolique ? Quels ont été les effets/conséquences de l’alcool dans ma vie ? A travers des témoignages de jeunes âgés de 18 à 30 ans, « Rien qu'un verre ! » donne la parole à ceux qui sont habitués ou non à consommer, à ceux qui essayent d’arrêter de boire ou ceux qui travaillent dans ce milieu… L’animation réalisée par Anaïs Caura, permet de souligner les anecdotes des témoins. Synopsis En France, l’alcool est souvent considéré comme « faisant partie de notre culture » et la pression sociale à boire est souvent forte. Chaque épisode-thématique regroupe de vrais témoignages audios de jeunes âgés de 18 à 30 ans. Les épisodes. L’alcool chasse-t-il les soucis. On boit de l’alcool pour de multiples raisons.

L’alcool chasse-t-il les soucis

Il a d’abord un effet calmant et anxiolytique, similaire à celui des tranquillisants classiques comme le valium. En outre, à petites doses, il nous donne l’impression d’être plus vif et alerte, car il lève certains mécanismes inhibiteurs du cerveau, comme la retenue, la prudence ou la timidité. Une part du contrôle que nous exerçons sur nos pensées et nos gestes, de manière consciente et critique, se trouve atténuée ou suspendue, ce qui se traduit par un effet d’extraversion et d’ouverture. Voilà certainement la raison la plus courante de consommer de l’alcool. Les jeunes font généralement leurs premières expériences au sein d’un groupe de camarades et... On boit de l’alcool pour de multiples raisons. Au Japon, des abstinents se rebellent contre la culture de l'alcool.

Dans un bar à cocktails branché de Tokyo, des clients sirotent des boissons aux couleurs vives et aux saveurs sophistiquées, conçues pour un marché intérieur restreint mais en expansion: les personnes qui ne boivent pas d'alcool.

Au Japon, des abstinents se rebellent contre la culture de l'alcool

Ce bar aux cocktails sans alcool, judicieusement appelé «0%», reste une anomalie au Japon, où la consommation de bière, saké et spiritueux est inhérente à la culture d'entreprise. Il existe même un mot-valise pour désigner le phénomène: «nominication», combinaison des mots «boire» en japonais (nomi) et «communication». Avec l'alcool, le formalisme des rapports au bureau s'évanouit, et sa consommation est perçue comme un passage obligé pour l'avancement professionnel de certains. Cette situation a longtemps désavantagé les non-buveurs comme Hideto Fujino. Mais ce gestionnaire de fonds de 54 ans et d'autres s'expriment désormais et découvrent qu'ils ne sont pas seuls. Témoignages : ils ont décidé de ne plus boire d'alcool.

«Ah bon, tu ne bois pas d’alcool?

Témoignages : ils ont décidé de ne plus boire d'alcool

Mais pas du tout? Même pas un petit verre? Une simple gorgée…?» Voilà, en substance, à quoi on s’expose quand on refuse un verre d’alcool en soirée, s’amuse Ling, teetotaler depuis quatre ans. Comme Pierre, Léa, Chelssy ou Lara, elle a une vingtaine d’années, ne pointe pas aux alcooliques anonymes, n’attend pas un heureux événement, n’obéit pas à une quelconque religion, mais a pourtant fait le choix de ne plus boire d’alcool. D’après une récente étude mondiale publiée dans BMC Public Health, chez les 16-24 ans, le taux d’abstinent·es est passé de 18% en 2005 à 29% en 2015.

Cette tendance se confirme par les ventes de bières sans alcool en constante progression. Une démarche de mieux-être Comme souvent, ce sont nos voisins nordiques, toujours en avance d’un cran, qui se posent en grands précurseurs de cette tendance mondiale. Faire l’impasse sur l’alcool s’inscrit aussi souvent dans une démarche de mieux-être, une volonté de prendre soin de son corps. « L’alcool est la plus dangereuse des drogues »

La consommation d’alcool ne diminue plus en France.

« L’alcool est la plus dangereuse des drogues »

Faut-il s’en inquiéter ? Elle a beaucoup diminué ces quarante dernières années. Car notre pays était un très grand buveur de vin (midi et soir). Néanmoins, la consommation d’alcool reste à un niveau très élevé, l’un des plus élevés d’Europe (qui est d’ailleurs le continent qui consomme le plus). Et surtout, elle ne baisse plus depuis cinq ans. Les alcooliers ont réussi à enlever des parties de la loi Évin**. Alcool. Qu’est-ce que c’est ?

Alcool

L’alcool est un produit naturel issu de la fermentation ou de la distillation de fruits ou de grains riches en glucides. En chiffres L’alcool est la substance psychoactive la plus consommée : seuls 7 % des 18-75 ans n’en ont jamais bu. 35 % des Français boivent régulièrement de l’alcool, 15 % tous les jours.12,7 l d’équivalent alcool pur (= alcool à 100 %), c’est ce que le Français consomme en moyenne par adulte et par an.92 000 personnes consultent chaque semaine pour un problème directement lié à l’alcool.30 % des accidents mortels de la circulation et environ 15 % des accidents du travail surviennent chez des personnes avec un taux d'alcoolémie supérieur au taux légal (0,5g/l).Entre 23 000 et 45 000 décès/an sont liés à l’alcool. Qu’est-ce que ça fait ? Les réactions diffèrent selon la quantité d’alcool absorbée, l'état de santé de la personne, son degré d’accoutumance, son poids, son sexe, le mélange avec d’autres drogues… Traitement Autotestez-vous.

Le double visage de l’alcool, source indéniable de plaisirs mais aussi de souffrances, induit des représentations sociales contradictoires rendant complexes la perception de la dangerosité et des seuils de risques liés au produit.

Au moment où de nouvelles normes de consommation viennent d’être publiées par Santé Publique France, il convient, pour qu’elles s’intègrent au comportement des français, d’en analyser les tenants et les aboutissants. Tous les français sont d’accord pour reconnaître que l’alcool est une source de plaisir, de convivialité et qu’il est ancré, notamment le vin, dans notre culture et nos modes de vie. Ce plaisir à consommer avec des risques limités existe pour les deux tiers des français (ceux buvant environ moins de deux verres par jour). Prise en charge de l’addiction à l’alcool : quel est l’avis des patients. Vrai/faux sur l’alcool. Etes-vous alcoolique ? [Dans Ton Corps] Impact des consommations d’alcool sur la personnalité : boire fait devenir anxieux, impulsif et moins agréable. Il est désormais bien démontré que plusieurs traits de personnalité sont des facteurs associés aux consommations d’alcool.

Impact des consommations d’alcool sur la personnalité : boire fait devenir anxieux, impulsif et moins agréable

Ainsi, des personnes ayant un névrosisme élevé (i.e., propension à expérimenter des émotions négatives telles que anxiété, tristesse, …) ou un faible caractère consciencieux (i.e. capacité à contrôler, réguler et diriger ses impulsions, un faible caractère consciencieux étant associé à une plus forte impulsivité).

Santé et alcool

Soirée et alcool. Travail et alcool. Politique et alcool. Femmes et alcool. Jeunes et alcool. Sobriété heureuse. Alcoholism. Système opioïde endogène. Sélection web de vidéos scientifiques sur l’alcool. Éduc'alcool. Calculateur d'alcoolémie. Le taux d’alcoolémie numérique. Livres. Podcasts. Alcool. Une BD pour évoquer l’alcool qui tue. Auteur reconnu dans le milieu de la bande dessinée de science-fiction, Stéphane Louis a aussi scénarisé Road Therapy, un roman graphique sur la bipolarité, dont il avait confié le dessin à Lionel Marty.

Une BD pour évoquer l’alcool qui tue

Il revient avec Mon père ce poivrot, un album sur l’alcoolisme largement inspiré de sa vie et celle de son père, et il tenait cette fois à réaliser cet album en solo. «Le sujet était trop intime pour que je le confie. C’était même évident, je ne me suis jamais posé la question», raconte-t-il. Lire aussi: «La bande dessinée est une forme de littérature» Les 72 pages de ce nouveau roman graphique content l’histoire de Lucien Basset, un père alcoolique qui souhaite revoir son fils Rémy et «lui sauver la vie», après des années de rupture.

Celui-ci avait été appelé Lucien Basset, par erreur, jusqu’au jour de son certificat d’études. Une seconde vie Mon père ce poivrot est le résultat de trois ans de travail, mais aussi de doutes. Ne pas résumer un être à une étiquette Sujet clos. L'eau ferrugineuse [Bourvil]