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Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin

Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin
Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin "Alors que sur Internet, on vient chercher un objet précis, le magasin doit déclencher un comportement "shopping", explique Cédric Ducrocq, le président du groupe de conseil Dia-Mart. Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine Related:  Les strategiesde distributiondistribution

Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris

Les grands noms se mettent à la franchise - Grande Distribution et consommation Les avantages Un développement plus rapide pour une enseigne, sans mobiliser de fonds propres. Des redevances qui alimentent directement le bas du bilan financier. Un franchisé est en général plus dynamique qu’un intégré, car propriétaire deson point de vente. A chacun sa querelle des anciens et des modernes. Les inconvénients La franchise nécessiteune structure dédiéeet une connaissance finede ce nouveau métier. Cet argument classique, brandi par tous les promoteurs, trouve d’autant plus un écho aux oreilles des patrons d’enseignes quand les temps sont durs, ou la trésorerie un peu à sec. Un bon modèle de départ à répliquer « La franchise consiste à réitérer le succès d’un magasin initial. Une relation qui évolue avec le temps Quelques enseignes fameuses déjà en franchise Carrefour(branche proximité) Casino (branche proximité) Dia Fnac But King Jouet Etam Kiabi Gamm vert Le distributeur d’ameublement et de décoration Alinéa tente, lui aussi, l’aventure. L'avis de LSA L’avis de LSA

CARREFOUR > À votre arrivée, en mai 2012, vous aviez annoncé un plan de redressement à trois ans, êtes-vous confiant aujourd’hui, à mi-parcours de ce plan ? Oui, la dynamique est là, nos résultats pour l’année 2013 l’ont montré. Carrefour a retrouvé le chemin d’une croissance rentable. Nos ventes en France et à l’international continuent de croître, notre résultat opérationnel courant progresse. Et, dans le même temps, nous avons repris les investissements tout en renforçant la structure financière de l’entreprise. Autant d’éléments de satisfaction et des résultats dont les équipes, qui se sont mobilisées pour que notre Groupe retrouve sa solidité, peuvent être fières. C’est ce qu’ont montré effectivement les résultats 2013… Le travail engagé commence à porter ses fruits. Quelle a été la clé pour retrouver cette dynamique ? Le recentrage vous a donné de nouveaux moyens, avez-vous commencé à les investir ? D’où l’intérêt de la création d’une société de centres commerciaux ?

Jeremiah Owyang (Crowd Companies) : "L'économie collaborative finira par bouleverser tous les secteurs d'activité" Comment les entreprises traditionnelles doivent-elles s'adapter à cette nouvelle révolution ? Le JDN a interviewé le gourou du collaboratif, présent à Paris pour les Enjeux E-Commerce 2014. JDN. Quel est l'enjeu de l'essor de la consommation et de l'économie collaboratives ? Jeremiah Owyang. Nous commençons à peine à nous familiariser avec les médias sociaux et nous devons déjà nous adapter à une nouvelle révolution, celle de l'économie collaborative. D'ailleurs Google ne s'y trompe pas, il est le plus important investisseur dans l'économie collaborative. Si les gens obtiennent ce dont ils ont besoin directement auprès d'autres personnes, quelle est la place des entreprises ? Je pense qu'elles ont leur place dans l'économie collaborative, qui repose sur un modèle où la création, la propriété et l'accès sont partagés entre les gens et les sociétés. Quelles sont les industries aujourd'hui "disruptées" par l'économie collaborative et quelles entreprises parviennent à s'y adapter ?

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !

Diaporama : Le succès de la distribution de Publié le par JÉRÔME PARIGI Entreprises | Distributeurs | Data Conso | Kantar | Kantar Worldpanel | Grande Distribution | GMS - Supérette Sans bruits, ou si peu, la distribution alimentaire de proximité, la « proxi », trace son sillon et gagne du terrain en France. Kantar Worldpanel est revenu sur ce succès lors de la conférence dédiée aux formats alimentaires, organisée par LSA, le 3 avril à Paris, avec une présentation très riche sur ce secteur encore mal suivi par les panels. Plus de clients En 10 ans, le pourcentage de ménages français qui ont acheté au moins une fois dans un magasin de proximité est passé de 51 à 62 %, plus de 10 points gagnés, quand les autres circuits, sauf le drive, ont eu plutôt tendance à baisser. - © Kantar A lire aussi Lsa expert LSA Expert, l’outil de recherche web dans la base des magasins, centrales et centres commerciaux, mise à jour en continu...

Carrefour | Stratégies Marketing et Commerciales Le deuxième plus grand groupe mondial de la distribution connaît, depuis la crise économique des subprimes, une activité commerciale morose et de grandes difficultés à maintenir ses parts de marchés sur le marché Français. Comment expliquer ces difficultés ? Lars Olofsson, ancien Numéro 2 de Nestlé et nommé PDG du groupe Carrefour en 2009, avait mis en place une stratégie basée sur la fidélisation, avec une amélioration de la gestion de la relation client en personnalisant les offres proposées par le groupe selon les clients. Or, la stratégie à adopter en temps de crise est une stratégie de prix bas. Ses principaux concurrents (Leclerc, Auchan) ont quant à eux adopté cette stratégie de prix bas. Le « Plan Olofsson » a donc été mis à mal par les différents distributeurs, ce qui a conduit ce dernier à démissionner en 2011. Quelle est la nouvelle stratégie de Carrefour ? Ses axes stratégiques sont les suivants :

lsa-conso Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? C’est un consommateur attentif et scrupuleux. Ses critères de choix pour faire ses achats ? Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux. Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Il adhèrera ainsi à l’agriculture urbaine et locale (cueillette de fruits…) ou à une expérience détachée des intrusions publicitaires. Le social-shopper ou « influenceur » Le plus connecté ! Ses outils privilégiés ?

Miliboo: Visite du premier showroom déco 100% connecté HIGH-TECH Le site de vente de produits de décoration miliboo.com ouvre à Paris son premier showroom où smartphones, tablettes et écrans tactiles guident le visiteur dans chaque rayon… Christophe Séfrin Créé le Mis à jour le Mots-clés Aucun mot-clé Transposer dans un magasin physique les techniques de vente du web et, pourquoi pas, réconcilier les deux univers, c’est le défi que lance miliboo.com. Des promotions par smartphone interposé Dans cette «boutique en version bêta» (une galerie de 600 mètres carrés qui pourrait ressembler à de nombreuses autres dédiées à la décoration), l’approche est résolument neuve et… branchée. 3000 références accessibles sur tablette Quel que soit le produit en magasin, celui-ci est équipé d’une étiquette NFC. Des écrans tactiles pour créer son canapé 6 écrans tactiles de 46 pouces participent également du parcours d’achat. On pourrait crier à la déshumanisation du commerce, mais les vendeurs restent présents. Canapé connecté

Le pari gagnant de Darty sur la franchise Connexion, Gitem, Expert et autres, ont de quoi de se montrer inquiets. Darty se lance en franchise et entend bien le faire en position de force. C'est-à-dire non pas comme une entreprise en souffrance et qui voit là l'occasion de se développer à moindre frais, mais comme une entreprise souhaitant se trouver des relais de croissance pérennes. « Nous voulons rallier à nous uniquement des gens du métier, assure ainsi Régis Schultz, directeur général de Darty. Des indépendants qui ne trouvent plus ailleurs la souplesse et la qualité d'exécution qu'ils souhaitent. » 25 ans chez Connexion avant de rejoindre Darty Or, dans ces marchés de l'électrodomestique en parfaite mutation depuis des années - pour ne pas dire autre chose, ballottés qu'ils sont par le net notamment, cela tombe bien, ce n'est pas cela qui manque. Lesquels bons, ayant résisté à la première vague de l'écrémage, sentent bien que, pour résister encore, il leur faut passer la vitesse supérieure. De meilleures largeurs de gammes

Carrefour : stratégie commerciale agressive (Boursier.com) — Le secteur de la distribution connaît une période assez difficile, marquée par une baisse globale de la consommation. Dans ce contexte, les semestriels publiés par Carrefour hier ont démontré la bonne résistance du groupe français, même si les investisseurs ont sanctionné la valeur, déçus par un Ebitda un peu inférieur aux attentes. Lors de la conférence Call qui a suivi, le pdg Daniel Bernard a pris les devants en annonçant le retour à une stratégie plus agressive après une période consacrée à l’intégration de Promodès. Carrefour, qui a inauguré hier au "Carré Sénart" son premier hypermarché en France depuis 7 ans, a ainsi prévu 220 ouvertures de magasins sur la seconde moitié de l’année, avec 31 hypermachés, 43 supermarchés et 146 enseignes de "hard discount", dont une quarantaine en Amérique du Sud en dépit de conditions nettement dégradées sur le continent. Daniel Bernard a donc décidé de reprendre l’offensive pour contrer le marasme économique ambiant.

La consommation collaborative enrichit la relation marque / consommateur Que recouvrent les pratiques de la consommation collaborative ? A quelles motivations répond-elle ? Nécessite-t-elle de la part des marques un nouveau mode de relation dans lequel la vente s’effacerait au bénéfice de l’usage ? Réponses avec notre interviewé, Benjamin de Fontgalland, cofondateur et PDG de Placedelaloc. Quelles sont les pratiques couvertes par le terme « consommation collaborative » ? Je recense 6 principaux grands univers : 1. Produits sur mesureProduits prêtés ou louésProduits d’occasion 2. Achats direct chez le producteurCuisiner, diner ensemble 3. Aux particuliersAux professionnels 4. Services tels que le co-voiturageVéhicules prêtés ou loués 5. Lieux de vie : maison, appartementLieux de travail 6. Financement participatif ou crowdfundingPrêt d’argentMonnaies cryptographiques (ex: Bitcoin) A quelles motivations répond la consommation collaborative ? Benjamin de Fontgalland, cofondateur et PDG de Placedelaloc Comment les marques peuvent-elles à nouveau entrer en relation ?

Internet, grandes surfaces, hard discount… Comment les Français font-ils leurs courses Les Français achètent-ils plutôt en ligne ou dans les grandes surfaces ? Ou préfèrent-ils les commerces de proximité ? Pour répondre à ces questions, l’Insee a dévoilé vendredi une étude sur les habitudes d’achats sur la décennie 2001-2011. Parmi les résultats à retenir : la nette augmentation en cinq ans des achats sur Internet pour les biens durables et culturels. 72% des dépenses alimentaires dans les grandes surfaces Les dépenses alimentaires restent quant à elles effectuées à 72% dans les grandes surfaces. Pour ce qui est de l’habillement, les Français se tournent encore massivement vers les magasins de vêtements. En vidéo sur le même thème - Achats sur Internet : quels sont les risques ?

Les recettes des grandes marques pour écouler leurs invendus Outlet, ventes privées en ligne ou en boutique : les grands du luxe multiplient les canaux pour écouler leurs stocks en toute discrétion. La scène se passe dans une célèbre maison de la place Vendôme. Une cliente entre avec, à la main, une authentique montre de la marque, récemment acquise sur un site de vente privée, pour la faire ajuster à son poignet. Abonnez vous à l'édition digitale

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