Découvrir la première guerre mondiale
Mêlant à la fois des images d’articles de journaux un peu jaunis avec le temps et des animations de tablettes, cette app présente les faits historiques de la première guerre mondiale avec la modernité des outils d’aujourd’hui. Pour tout comprendre sur la première guerre mondiale. On nous présente en premier lieu les causes de la guerre avec les éléments principaux : l’impérialisme et les rivalités coloniales, les alliances, la course aux armements et l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand. On rentre dans cette première guerre mondiale d’un coup, captivés par les informations ! On apprend des faits historiques, mais aussi des informations concernant les soldats, leurs uniformes, leurs conditions de vie, leur vocabulaire… On apprend que les chiens étaient utilisés comme messagers, ainsi que les pigeons voyageurs. La guerre dans les airs et en pleine mer n’est pas oubliée influençant l’engagement des Etats-Unis.
Histoire et mémoire des deux guerres mondiales - Enseigner la première guerre mondiale - Les États-Unis et la 1ère guerre mondiale par Jean-Pierre Husson
Le conflit, né des tensions entre nationalités dans les Balkans et déclenché par l'assassinat du prince héritier d'Autriche-Hongrie à Sarajevo en juin 1914, a rapidement embrasé l'Europe par le jeu des alliances entre puissances européennes. Dès 1914, il a aussi touché d'autres continents, en particulier par l'implication des empires coloniaux d'Afrique et d'Asie. Mais c'est surtout à partir de 1917, avec l'entrée en guerre des États-Unis aux côtés des pays de l'Entente que la guerre devient vraiment mondiale. Quand et pourquoi les États-Unis sont-ils entrés en guerre ?
Fiche de l'émission Berlin 1885, le partage de l'Afrique
Synopsis 26 Février 1885. A Berlin, le Palais Radziwill est en liesse. On y fête la fin des travaux de la "Conférence sur l'Afrique" qui aura duré 4 mois. 4 mois pendant lesquels les plus grands diplomates Occidentaux ont décidé de l'avenir de l'Afrique, l'ont découpée en zones d'influence, y ont tracé arbitrairement des frontières. Et pourtant aucun Africain n'a été consulté !
7 mai 1915, naufrage du Lusitania : les 1200 morts du torpillage qui a changé l’Histoire il y a 100 ans
Le 11 janvier 2011, une vieille dame de 95 ans, Audrey Lawson-Johnston, meurt dans la petite ville de Melchbourne, au cœur de la campagne anglaise. Tout le Royaume-Uni pleure celle qui a traversé le 20ème siècle et ses horreurs alors qu’elle aurait dû mourir seulement 3 mois après sa naissance. Elle était la dernière rescapée toujours vivante du terrible naufrage du RMS Lusitania, un paquebot britannique grand comme 3 avions de ligne qui sombra le 7 mai 1915, il y a 100 ans jour pour jour.
Enfants pendus, décapitations... l'atroce conquête du Tchad, il y a 120 ans
Deux fois par mois, en partenariat avec RetroNews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France (BNF), "l'Obs" revient sur un épisode de l'histoire coloniale en Afrique raconté par les journaux français. Aujourd'hui, la colonne de Paul Voulet et Julien Chanoine, partie en janvier 1899 pour conquérir le Tchad et transformée en machine infernale à pillages et à massacres. C'est l'un des épisodes les plus violents et les plus insensés de la conquête française de l'Afrique. Il s'est déroulé voilà cent vingt ans et reste connu sous le nom de "mission Afrique centrale-Tchad", "expédition Voulet-Chanoine" ou, plus explicite, celui de "colonne sanglante".
Même la guerre a des règles
Arrêtez de bombarder les hôpitaux ! Ce slogan a été scandé lors d’une manifestation organisée par Médecins sans frontières (MSF) l’automne dernier en Suisse. En moins d’un mois, deux hôpitaux gérés par l’organisation humanitaire avaient été bombardés.
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Ces images étonnantes de la trêve de Noël 1914 ont 100 ans
«La même communauté de souffrance rapproche les cœurs, fait fondre les haines, naître la sympathie entre gens indifférents et même adversaires. Ceux qui nient cela n’entendent rien à la psychologie humaine. Français et Allemands se regardèrent, virent qu’ils étaient des hommes tous pareils.» note Louis Barthas, caporal, dans son carnet de guerre.