background preloader

Le Tourisme montagnard

Le Tourisme montagnard
L'espace montagnard français couvre environ 1/5 du territoire (22, 8 % , soit 124 016 km2 ). La montagne française comprend 7 massifs : Les Alpes du nord, les Alpes du sud, les Pyrénées, le Massif Central, le Jura, les Vosges et la Corse. Les Alpes (Alpes du Nord et Alpes du Sud ) ne représentent que les extrémités septentrionale et occidentale d'une chaîne longue de plus de 1200 kilomètres . Les Alpes comptent 1461 communes sur 35 000 km2.Les Pyrénées se développement sur près de 500 kilomètres de l'Atlantique à la Méditerranée. Leur altitude est élevée, leur largeur souvent inférieure à 150 kilomètres et leurs vallées profondes et disposées perpendiculairement à l'axe médian de la chaîne. Ces différents traits leur donnent l'apparence d'un massif aux versants abrupts. La zone montagne a été définie par l'arrêté du 28 avril 1976. 860 communes sont équipées pour le ski nordique. Atlas des stations du massif des Alpes de Hugues François , Novembre 2012 . L’or blanc.

http://geotourweb.com/nouvelle_page_101.htm

Le tourisme alpin 1Au cours de ces cinquante dernières années, le tourisme alpin a vécu une phase d’expansion quantitative très importante qui a presque conduit à une saturation totale des espaces dans les zones de montagne destinées au tourisme, et en particulier aux sports d’hiver. Au cours de ces dernières décennies, les conséquences de cette forte croissance, les effets du changement du marché touristique mondial et l’évolution sociale et culturelle ont fait apparaître plus clairement certains aspects problématiques du tourisme alpin qui encouragent la recherche de l’innovation. Après avoir rappelé les facteurs de changement en cours les plus significatifs dans le tourisme montagnard et après avoir présenté une grille interprétative du cycle de vie des destinations touristiques alpines, nous proposerons une réflexion sur certaines conditions qui peuvent favoriser l’innovation dans le tourisme alpin, ainsi que sur les contradictions qui souvent les accompagnent. Index 1990 = 100 Facteurs de marché

Tourisme et Montagnes La filière Le domaine montagnard couvre officiellement 23% du territoire national. On estime que le poids économique du tourisme en montagne représente 9 milliards d’euros de chiffre d’affaires, et la clientèle étrangère représente 30% de ce total. (Source : L'avenir de la montagne : un développement équilibré dans un environnement préservé, Rapport d'information de M. Jean-Paul AMOUDRY, fait au nom de la mission commune sur la politique de la montagnen° 15 tome II (2002-2003) - 9 octobre 2002)). 55% des investissements touristiques et 15% du Chiffre d'Affaire touristique national sont réalisés en montagne. (Source : Panorama du tourisme de la montagne édition 2012/2013 cahier n°2 : Emplois et retombées économiques)

Tourisme montagnard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tourisme montagnard, ou tourisme de montagne, est le tourisme dans les massifs montagneux. Les origines du tourisme montagnard remontent au XIXe siècle avec l'avènement de la montagne comme lieu de détente. De nos jours, le tourisme de montagne est le plus souvent associé au tourisme sportif, à cause des sports d'hiver en hiver et d'activités sportives comme l'alpinisme, la via ferrata, la spéléologie, les sports d'eau vive, l'escalade, le parapente, le trekking, la course en montagne, le vélo tout terrain ou la randonnée pédestre en été.

Développement touristique en montagne : le temps des choix est arrivé L’espace montagnard français est aujourd’hui souvent perçu comme un espace touristique majeur. Les articles ou reportages mais aussi souvent les travaux des chercheurs ne manquent pas de montrer l’engouement des touristes pour la randonnée estivale ou la pratique du ski. Sans doute cette perception est le résultat d’une histoire récente, mais déjà complexe. Mais qu’en est-il réellement de la situation sur les territoires montagnards, quelle analyse pouvons-nous en déduire, quels enjeux pour demain pouvons-nous mettre en évidence ? Les prémices du tourisme en montagne

Tourisme durable : le bel exemple des stations de montagne - France Montagnes - Site Officiel des Stations de Ski en France Le choix de la mobilité douce Opter pour la mobilité douce en utilisant les transports en commun ou le co-voiturage est une solution écologique et économique, puisqu’elle permet de diviser par 10 les émissions de CO2*... et de faire fondre la facture. Consultez le site www.coriding.com ou renseignez-vous auprès des offices du tourisme : les Gets ont une offre 3+1=3 pour économiser 25% sur le forfait, mais aussi la Plagne, la dizaine de stations Labellemontagne, les Ménuires avec Co’lidays... Autre option, le train : à la gare TGV de Bourg Saint Maurice, il suffit de sauter dans le funiculaire pour rejoindre en 5 minutes les Arcs ; Montgenèvre n’est qu’à 10 minutes d’une gare TGV et à 5h de Paris. Enfin, beaucoup de stations ont un accès facile en bus : Mobilalp www.mobilalp.eu/fr dessert les stations des Aravis depuis Annecy pour un prix comprenant forfait et transport inférieur à celui d’un skipass journée !

Note sur l’histoire des stations de sports d’hiver – Les carnets de l'Inventaire Introduction Ecrire l’histoire des stations de sports d’hiver, c’est saisir les spécificités d’un contexte contraignant (climat et topographie), retracer le développement d’un sport ou loisir (le ski et ses infrastructures), prendre la mesure de l’évolution d’une pratique sociale (de l’élitisme au tourisme de masse), et replacer l’ensemble de ces éléments dans l’histoire de l’aménagement architectural et urbanistique de la montagne. Avoriaz : vue de la station. Tourisme durable en montagne : entre discours et pratiques. Préambule et introduction Résumé : L'objet de cet ouvrage, dont une partie a été développée en partenariat avec l'université de Saragosse, est : d'établir un bilan comparé des actions de tourisme évaluées comme économiquement, politiquement et socialement "durables" en territoire montagnard ; de favoriser le dialogue entre les acteurs et les opérateurs des pays concernés par le tourisme durable en montagne ; d'identifier les enjeux actuels et futurs du développement touristique en montagne, et donc de déterminer de nouvelles priorités de recherche, de repérer les difficultés, les obstacles et les limites dans la mise en œuvre d'un tourisme mieux adapté à la montagne et à ses populations. La question du tourisme durable, en effet, interroge aujourd'hui la gouvernance des territoires, car le développement durable est devenu un référentiel majeur des politiques publiques territoriales.

Tourisme et bien-être La filière Si en Orient le bien-être par le massage et les soins est intégré aux cultures, traditions voire religions, il atteint de plus en plus fortement les Occidentaux. Les individus vivent plus longtemps, souhaitent bien vieillir et se sentir bien. Ces préoccupations sont quotidiennes : prendre soin de soi… chez les femmes et chez les hommes, de plus en plus. Conserver une certaine jeunesse est le levier de la croissance du secteur du bien-être en France.

Le tourisme de bien-être en 7 tendances Le marché mondial du tourisme de bien-être a généré 587 millions de voyageurs en 2013 et drainé 494 milliards de dollars américains de recettes, une hausse de 12 % par rapport à 2012 d’après une étude menée par le Stanford Resarch Institue International. Les enjeux de santé publique, notamment liés au stress, aux maladies chroniques, au vieillissement de la population et à l’obésité, font émerger de nouveaux modes de vie. De nombreuses personnes priorisent leur santé en intégrant de saines habitudes (alimentation, exercice, repos). En voyage, cette quête permanente du mieux-être se traduit par le maintien de ces habitudes et aussi par l’envie de vivre des expériences riches, uniques, inédites et significatives.

Croisiere Les Français sont de plus en plus nombreux à faire du tourisme de croisière: 212.000 en 2003, environ 400.000 en 2010. Une goutte d'eau par rapport aux cinq millions d'Européens (+12% par rapport à 2009), notamment les Britanniques (1,5 million). La fréquentation des ports français représente 10% des visiteurs dans les ports européens contre 40% pour l'Italie, principal bénéficiaire en Europe du tourisme de croisière avec 4 milliards d'euros de retombées économiques et 100.000 emplois contre 1 milliard d'euros et 15.000 emplois en France. Le début de l'histoire des croisières modernes débute au cours de la période 1966-1974 avec l'irruption du Norvegian Cruise Lines sur le marché en 1966 , suivi par Royal Carribean en 1970 et Carnival en 1974. Le trait commun de ces trois pionniers du tourisme de croisière résidait dans l'offre d'une semaine de croisière dans les Caraïbes orientales à des prix relativement bas ciblant une clientèle formée de classes moyennes.

Related: