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Un modèle de régulation des émotions pour expliquer la dépression et l'anxiété Dans les récentes années, il y a eu un intérêt croissant en thérapie cognitivo-comportementale pour le rôle que joue la régulation des émotions dans la vulnérabilité à une grande diversité de troubles psychologiques, rapporte le psychologue américain Robert L. Leheay dans Cognitive and Behavioral Practice (2012). Il propose un modèle décrivant les processus par lesquels des stratégies mal adaptées de régulation des émotions seraient liées au développement de troubles psychologiques. Ces stratégies mal adaptées incluent par exemple, la rumination, l'inquiétude excessive, la boulimie, la suppression des émotions, l'abus de substances et d'autres formes d'évitement de l'expérience intérieure. Son modèle (1) repose sur le modèle métacognitif d'Adrian Wells présenté dans la figure suivante : Imaginons, par exemple, qu'une émotion telle que la colère est "activée". Si la personne normalise son émotion, elle peut rapidement l'accepter, l'exprimer, s'adapter et apprendre. schémas émotionnels

Trouble bipolaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cause n'est pas clairement déterminée. Elle associe à la fois des facteurs de vulnérabilité génétique et des facteurs environnementaux[1]. Le traitement des troubles bipolaires repose sur une aide psychologique adaptée au patient et des médicaments psychotropes et antipsychotiques[1]. La prévalence des troubles bipolaires est estimée à environ 1 à 2% de la population[1]. Terminologie et définition[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire est un trouble de l’humeur qui se définit par une variation anormale de l’humeur : alternance de périodes d’excitation et de dépression. Jusqu’en 1980, le trouble bipolaire était dénommé psychose maniaco-dépressive[1] (PMD) ou maladie maniaco-dépressive (MMD). Diagnostic[modifier | modifier le code] Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire peut se caractériser par une phase maniaque sans présence de phase dépressive. Épisodes dépressifs[modifier | modifier le code]

Thérapie cognitivo-comportementale Dans l'histoire de la psychologie clinique, les courants dits comportementalistes (visant d'abord à intervenir sur le comportement) et cognitifs (cherchant à intervenir sur les croyances, les représentations, et leurs processus de construction) sont apparus parallèlement au milieu du XXe siècle, parfois en compétition l'un avec l'autre. Depuis les années 1980, ce clivage historique entre comportementalisme et cognitivisme tend à disparaître dans la pratique thérapeutique[2]. Histoire[modifier | modifier le code] L'approche cognitive : influence du stoïcisme[modifier | modifier le code] Plusieurs auteurs montrent une filiation entre les idées des philosophes stoïciens et les postulats de l'approche cognitive[3],[4],[5]. Du comportementalisme aux thérapies[modifier | modifier le code] Apparition[modifier | modifier le code] Fusion cognitivo-comportementale[modifier | modifier le code] Les TCC sont les psychothérapies qui se prêtent le plus à l'évaluation de la médecine basée sur les faits.

Comportementalisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le béhaviorisme ou comportementalisme est une approche psychologique qui consiste à se concentrer sur le comportement observable[1] déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable, due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée à des stimuli extérieurs (environnement externe) ou à des stimuli intérieurs (environnement interne) sur l'organisme. Étymologie[modifier | modifier le code] « Béhaviorisme » provient du mot anglais « behavior » (orthographe américaine) qui signifie « comportement ». Histoire du béhaviorisme[modifier | modifier le code] En effet, dans les années 1940 et 1950, Burrhus F. L'expérience de Skinner[modifier | modifier le code] Renforcement positif : Stimulus « Le rat est dans la cage » Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier » Renforcement négatif : Exemple

Les thérapies cognitivo-comportementales Psychologie scientifique par Jacques Van Rillaer - SPS n° 308, avril 2014 Ceci est la version intégrale d’un article paru dans le SPS n° 308. « Dans une large mesure, la personne apparaît comme l’artisan de sa propre destinée. Les psychothérapies sont des pratiques psychologiques destinées à traiter des troubles mentaux et des troubles somatiques générés ou maintenus par des comportements. Les psychothérapeutes de tout bord ont obtenu des améliorations et des guérisons, à côté d’échecs et d’effets de détérioration. Certaines maladies, comme des infections graves, ne guérissent pas spontanément et ne sont guère influencées par la suggestion. Il en va de même pour les problèmes psychologiques sérieux : dépression sévère, trouble panique avec agoraphobie, obsessions et compulsions envahissantes, addiction bien établie, etc. Deux définitions des « thérapies cognitivo-comportementales » L’enfant avait très peur des lapins. Les deux usages du mot « comportement » Les objectifs essentiels [1] B.F.

Connaissez-vous les thérapies comportementales, cognitives et émotionnelles ? Notre auteur, psychiatre et psychothérapeute, directeur d’enseignement à l’université Lille Nord Europe, n’est pas un comportementaliste radical ni un opposant farouche aux thérapies psychanalytiques. Pour lui, les thérapies comportementales, cognitives et émotionnelles (TCCE) représentent aujourd’hui le courant majeur de la psychothérapie, et le mieux adapté pour le traitement des troubles psychiques les plus fréquents (anxiété, phobies, troubles obsessionnels compulsifs, dépression, addictions, troubles de la personnalité…). Elles restent pourtant mal connues et sont parfois considérées à tort comme une simple méthode de changement des comportements. Plus d’un siècle durant, des chercheurs en psychologie et des psychiatres cliniciens ont proposé de nouveaux modèles des troubles psychiques (anxiété, dépression) et de nouvelles psychothérapies. À l’origine, le béhaviorisme Le béhaviorisme est né aux États-Unis, peu après la psychanalyse. D’après John B. De la rationalité aux TCC

J'ajoute ce lien vers l'Association Française des Thérapies Cognitives et Comportementales, qui permet d'accéder à un annuaire des praticiens TCC en France. Cela me parait utile dans cette section. by elsa_groupe4_psy Mar 30

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