Le pouvoir du langage positif : dites-le seulement si cela est vrai ! Lorsque vous menez votre équipe à travers une réorganisation, votre influence positive – appelez cela "vibration" si vous le souhaitez – ce qui renforcera la cohésion de l'équipe, et la rendra solidaire pour passer ce cap.
“Un discours négatif” peut être l’ennemi caché de votre style de communication. Parfois, vous ne vous apercevez même pas que vous l'utilisez – et cela peut secrètement saboter une relation ou une situation clé. Parler négativement ne signifie pas seulement utiliser des mots tels que “ne pas” et « ne peut pas ». Surtout, il ne s’agit pas seulement des mots que vous utilisez, cela va de pair avec comment vous le dites, le ton de votre voix, votre langage corporel. Vos mots ne signifient rien, si vos actions les contredisent. Et cela n’est pas aussi simple . Voyez cet exemple : Cathy mène son équipe à travers une réorganisation d’entreprise. . « Clarence et Deborah sont parties vers de nouveaux horizons » « Clarence et Deborah ont suivi de nouvelles opportunités »
L'engagement actif, la curiosité, et la correction des erreurs. Outre l’attention, deux facteurs jouent un rôle déterminant dans les apprentissages : l’engagement actif de l’enfant, et le retour rapide d’informations (feedback). Selon la théorie du « cerveau bayésien », que nous avons examinée dans les années précédentes, l’algorithme fondamental qui permet au cerveau d’ajuster ses représentations du monde extérieur consiste en trois étapes : prédiction descendante, fondée sur le modèle interne actuel ; comparaison de ces prédictions avec les entrées reçues du monde extérieur, ce qui engendre des signaux d’erreur ; utilisation de ces signaux d’erreur afin d’ajuster le modèle interne.
Apprendre à désapprendre. En voilà un sacré challenge!!! Beaucoup d’entre vous savent faire du vélo.
En général, on apprend ça au cours de notre petite enfance. Comme tous les apprentissages, celui-ci nécessite un certain nombre de répétitions sur un mode essai – erreur – essai – erreur -, etc. Une fois trouvé l’équilibre dans le mouvement, il est reconnu que faire du vélo, “ça ne s’oublie pas”. De nouvelles connexions neuronales se sont créées et renforcées au fur et à mesure que l’expérience se renouvelait. Dès lors, la question à mille points est : avez-vous déjà essayé de “désapprendre” à faire du vélo ? Alors, surprenant n’est-ce pas ? L’ensemble de nos comportements, compétences et croyances ne sont ni plus ni moins que des apprentissages acquis depuis notre plus tendre enfance. Je propose souvent la métaphore suivante à mes clients pour illustrer cette notion d’apprentissage.
Imaginez vous tenir à l’entrée d’un champ de blé. Là où le bât blesse, c’est quand cette voie toute tracée vient à vous créer des problèmes. Exemples : Les 4 piliers de l'apprentissage de Stanislas Dehaene. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. Zone d’apprentissage, zone des possibles. Entre zone de confort et inconnu total, la zone d’apprentissage est celle qui révèle les possibles, en particulier en termes de projets professionnels et de leur faisabilité.
Partons donc explorer cette zone d’apprentissage, ses bénéfices, ses obstacles, pour en faire l’alliée de nos ambitions. Cette vidéo, réalisée par Inknowation est une société espagnole qui aide les organisations à se transfomer et à s’adapter au changement. Elle a conçu cette vidéo pour montrer comment chacun peut être acteur des changements choisis en osant rêver ses projets. Une jolie réalisation proche des RSAnimate que j’affectionne, je vous laisse la découvrir avant de décrire comment rêver nos projets en visitant régulièrement notre zone d’apprentissage peut avoir un impact considérable sur la réalisation de nos ambitions. Les compétences comportementales, ce nouveau critère de recrutement. Pôle emploi présente les nouvelles tendances du recrutement dans son infographie et se concentre sur les nouvelles attentes des recruteurs.
Quelles sont les compétences de demain ? Faut-il dire adieu à l’expertise métier et accueillir les compétences comportementales comme le nouveau critère du recrutement ? Pour une majorité d’employeurs, les diplômes n’ont plus autant d’importance aujourd’hui ! 59 % des interrogés considèrent que le diplôme n’est pas un critère essentiel. Parmi eux, on retrouve généralement des employeurs des secteurs du transport, de l’hôtellerie ou du commerce. 60 % des employeurs considèrent que les compétences comportementales sont plus importantes que les compétences techniques. Soft & Hard Skills Iceberg.