Le conflit serbo-croate et l'éclatement de la Yougoslavie. Tandis que le programme national croate soulignait le « droit historique croate », c'est-à-dire revendiquait une « Croatie dans ses frontières historiques ».
Suite à la disparition de la Yougoslavie, cette exigence d'une « Croatie dans ses frontières historiques » sous-entend, de fait, tout le territoire de la Bosnie-Herzégovine (jusqu'à la rivière Drina) et certaines parties de la province serbe de Voïvodine. A l'opposé, la formule exigeant que « tous les Serbes vivent dans un même Etat » signifie que ce dernier, en plus de la Serbie et le Monténégro, devrait inclure les territoires peuplés de Serbes en Croatie (Krajina) et en Bosnie-Herzégovine.
Les partis serbes ultra-nationalistes affichaient même des prétentions territoriales vis-à-vis de la Macédoine, toutefois celles-ci ne recueillirent pas une large adhésion en Serbie. Les causes historiques du différend serbo-croate. La lutte des classes détrônée par la lutte des races. Affaire Soral : le procureur de Paris justifie son appel du mandat d’arrêt contre l’essayiste. Pourquoi l’Inde et le Pakistan sont pris dans une nouvelle escalade de violence.
Espaces aériens fermés, « frappes préventives » menées, avions abattus…, la tension est encore montée ces derniers jours entre l’Inde et le Pakistan, deux pays voisins disposant de l’arme nucléaire. Derniers épisodes en date : le Pakistan a annoncé, mercredi 27 février, avoir abattu deux avions indiens dans la région du Cachemire disputée entre les deux pays et avoir fait prisonnier un pilote. Une version ensuite contestée par New Delhi (la capitale indienne). Pourquoi ce retour des violences maintenant ? En quoi le Cachemire est une zone sensible de la région ? Comment a réagi la communauté internationale ? Lire les réponses à vos questions : « Des lignes rouges ont été franchies dans la crise entre l’Inde et le Pakistan » Face à Kim Jong-un, la diplomatie de Trump en échec. Ormuz, le détroit que l'Iran menace de bloquer. La chronologie des interventions des États-Unis à travers le monde. Voici une chronologie non exhaustive (1846 - 2010) des différentes interventions impérialistes des États-Unis dans le monde depuis le Manifest Destiny de 1845.
Une idéologie de colonisation, sous la présidence de James Polk, selon laquelle les États-Unis ont pour mission divine d'apporter la démocratie et la civilisation vers l'Ouest, sur les terres amérindiennes. Au début du XXe siècle, le président Théodore Roosevelt a repris le concept afin de justifier l'expansionnisme et l'interventionnisme des États-Unis hors de ses frontières quand les intérêts américains étaient menacés. Complotiste, moi ? Dès qu’on critique les dirigeants des Etats-Unis, de l’UE ou d’Israël, certains agitent un épouvantail : « Vous êtes complotiste !
». Sous-entendu : vous voyez le mal partout, mais ces dirigeants sont des démocrates, certes ils peuvent commettre des erreurs, mais ils agissent avec de bonnes intentions Voilà, en gros, nous serions forcés de choisir entre : La théorie du complot : tout est manigancé dans l’ombre, on nous cache tout, les maîtres du monde sont (au choix) : les juifs, les banquiers, les francs-maçons, les Illuminati, etc.La théorie de la naïveté : nos dirigeants occidentaux travaillent pour le bien commun. Ils nous disent ce qu’ils font et ils font ce qu’ils disent.
Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française, par Thierry Meyssan. Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays.
Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française. Jean Lassalle : "Bientôt, il n'y aura plus de place pour les Corses en Corse" Indiens d'Amérique: un génocide silencieux et pratiquement achevé. Indiens d’Amérique: un génocide silencieux et pratiquement achevé.
Un employé de l'OTAN qui travaillait sur le financement du terrorisme retrouvé avec une balle dans la tête. Réponse à Gilles-William Goldnadel. On ne présente plus l’ineffable Gilles-William Goldnadel, avocat franco-israélien, membre (depuis 2010) du comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), et grand défenseur d’Israël devant Yahvé… Il fait partie de ces caméléons capables de changer de couleur politique au gré des circonstances mais surtout en fonction des intérêts d’une certaine élite juive et du projet sioniste.
Proche de la nouvelle droite, il est nommé en 2013 secrétaire national de l’UMP chargé des médias et se rapproche de Robert Ménard (dont il est l’avocat) et de Marine Le Pen (dont il est le conseiller). Le directeur de la CIA conseille à Trump de « faire attention à ce qu’il dit » John Brennan a mis en garde le président élu contre « la spontanéité » de ses réactions, en particulier lorsqu’il s’agit de la Russie.
L’actuel directeur de l’agence de renseignement américain (CIA), John Brennan, a conseillé dimanche 15 janvier à Donald Trump de faire attention à ce qu’il dit, en particulier lorsqu’il s’agit de la Russie. Invité de l’émission de télévision « Fox News Sunday », John Brennan s’est inquiété de l’habitude du futur président des Etats-Unis à communiquer massivement via la plateforme de micromessages Twitter. « La spontanéité n’est pas quelque chose qui protège les intérêts de la sécurité nationale, donc quand il s’exprime ou réagit, il faut être sûr qu’il comprend bien les implications et l’impact profonds que cela peut avoir sur les Etats-Unis, a-t-il dit à propos du magnat de l’immobilier, qui deviendra vendredi le 45e président des Etats-Unis.
Cela ne concerne pas juste M. Trump, cela concerne les Etats-Unis d’Amérique. » La Corse libre, un rêve impossible ? L’île de Beauté, c’est ainsi qu’elle est surnommée, a toujours été le théâtre de rivalités sanglantes, des guerres, un Peuple fier l’habite depuis la nuit des temps, possédant sa langue, son drapeau, ses traditions, un Peuple qui fut une Nation.
Pourtant écrire cela en France c’est être montré du doigt, la Corse n’est pas reconnue à l’égal d’un Peuple, tout juste celui d’une région turbulente, frappée du sceau des stéréotypes de la Mafia, la Vendetta, plombée par un demi-siècle de combats plus ou moins troubles des indépendantistes corses, eux-mêmes victimes des magouilles d’une République au visage sombre. La Corse était-elle destinée à être Française ? Au siècle des lumières elle se trouvait sous la domination symbolique de la ville marchande de Gênes, qui depuis longtemps avait si peu d’autorité sur elle que les Corses n’eurent aucun mal à se défaire d’un occupant transparent. Napoléon pourtant aura été durant sa jeunesse un fervent patriote et admirateur de Paoli.