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Rapport européen "DESI" 2019 sur le numérique : L'open data fait remonter la France dans le classement. Qu’est-ce que le classement DESI ?
Le rapport « DESI » (Digital Economy & Society Index) établi annuellement par l’Union Européenne est un indice relatif à l’économie et à la société numériques, qui évalue les pays de l’Union Européenne pour permettre à la Commission de suivre les évolutions des Etats membres en matière de compétitivité numérique. Les rapports par pays établis chaque année depuis 2015 présentent une analyse de plusieurs paramètres tels que les compétences numériques, l’utilisation d’internet, les services publics numériques etc.
La France 15e au classement d’ensemble, une place de mieux que l’an dernier En 2019 la France obtient la note de 51 sur l’indice DESI, soit trois points de plus que l’année précédente, et gagne une place dans le classement européen en passant 15e. Le rapport stipule que ce sont notamment les avancées en matière de connectivité et de développement des services public numériques et de l’open data qui ont fait progresser le pays dans le classement.
Open Data. E-Government Survey 2016. E-Government in Support of Sustainable Development The United Nations E-Government Survey 2016: E-Government in Support of Sustainable Development was launched in July 2016.
It offers a snapshot of trends in the development of e-government in countries across the globe: There has been a sharp rise in the number of countries that are using e-government to provide public services online through one-stop platforms – an approach that makes it easier to access public services. In 2003, only 45 countries had a one-stop platform, and only 33 countries provided online transactions.
According to the 2016 Survey, 90 countries now offer one or more single entry portals on public information or online services, or both and 148 countries provide at least one form of online transactional services. Infographics. Digital government. Researchgate. Livre blanc. Open Knowledge Foundation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Open Knowledge Foundation est une association à but non lucratif de droit britannique promouvant la culture libre, en particulier les contenus libres et l'open data (données ouvertes). Elle a été créée le 24 mai 2004 à Cambridge au Royaume-Uni[1]. La fondation a publié la définition des savoirs libres (open definition)[2] et conduit un certain nombre de projets, comme CKAN, un logiciel permettant de créer un catalogue de données, utilisé par de nombreux organismes pour gérer leur portail de données ouvertes ou « where does my money go », un service de suivi des dépenses publiques[3].
En plus de fournir des outils techniques, la fondation milite pour la culture libre[4] et offre une aide juridique dans le choix des licences accompagnant des contenus libres[5]. 2018 - UN Innovation Network - Blockchain.pdf. Qui sont les 1 milliard de personnes sans titre d’identité ? D’après l’édition 2018 de la série de données #ID4D du Groupe de la Banque mondiale, un milliard d’individus dans le monde ne peuvent pas justifier de leur identité.
Concrètement, cela signifie qu’ils auront du mal à accéder à des services essentiels — en particulier aux services financiers voire à un téléphone portable (a) — et à trouver un emploi ou créer une entreprise dans l’économie formelle. En outre, l’enjeu de l’Objectif de développement durable visant à « fournir une identité juridique à tous les citoyens, notamment en enregistrant toutes les naissances » va au-delà des opportunités et droits individuels : les pays doivent impérativement être en mesure de vérifier, de manière fiable, l’identité de leurs habitants pour pouvoir offrir des services publics (a) efficaces, renforcer leur capacité à engranger des recettes (a) et promouvoir la croissance du secteur privé (a).
Des sources de données améliorées et un état des lieux plus précis Cette année, plus de 40 pays (un record !) . Les premiers chantiers de l’Agence de développement digital dévoilés. Par Ismail Benbaba le 25/01/2018 à 00h12 (mise à jour le 25/01/2018 à 08h07) © Copyright : DR Kiosque360.
Cette méga-structure, en charge du développement du digital dans le royaume, compte mener 14 premiers chantiers dans les prochains mois. Quelques semaines après sa création, l’Agence de développement digital (ADD) redéfinit déjà ses attributions, nous apprend Aujourd’hui Le Maroc dans sa publication de ce 25 janvier. En effet, les premiers chantiers de cette structure ont été dévoilés aux professionnels par Othman El Ferdaous, secrétaire d’Etat chargé de l’Investissement, lors d’une rencontre à Casablanca le 23 janvier.
Il s’agit là d’un avant-goût de la feuille de route de l’ADD, la méga-structure qui pilotera le développement du digital dans le royaume. Il s’agit de 14 premiers chantiers que l’ADD compte mettre en œuvre dans les prochains mois. Par Ismail Benbaba.