14 oct. 2020 « Il faut une majorité d'adhésion » - Mélenchon à l'université Paris Dauphine. Covid-19 : Macron n'a pas préparé la 2e vague. #Sécurité : « Nous voulons refonder la police de fond en comble » Rentrée scolaire : je lance l'alerte ! Le 30 août 2020. PLAN DE RELANCE EUROPÉEN : L'ARNAQUE MACRON Le 29 juillet 2020. #RDLS119 - Mali : révolution citoyenne / Europe : la défaite de Macron / Covid-19 : masques gratuits Le 24 juillet 2020. Décryptage du deal européen – La bataille commence pour le climat Le 23 juillet 2020. L’accord trouvé entre les 27 Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne sur le plan de relance européen ouvre la voie à un emprunt commun pour faire face à la crise.
C’est une avancée importante vers plus de solidarité européenne. Au total, il s’agit d’un paquet financier de 1824 milliards d’euros qui regroupe le plan de relance européen issu d’un emprunt commun de 750 milliards d’euros pour 2021-2022, et le Budget européen pour 2021-2027 de 1074 milliards d’euros. Mais ce deal entre les Chefs d’Etat et de gouvernement n’est qu’une première étape. La négociation sur la mise en oeuvre concrète et la validation du plan se joue maintenant au Parlement européen où nos Députés européens auront leur mot à dire. Après la discussion sur les montants, la vraie bataille ne fait que commencer. ⅓ du plan de relance pour le climat – est-ce une avancée importante ? Budget de l’UE: le Parlement européen menace de rejeter l’accord 23 JUILLET 2020 PAR LUDOVIC LAMANT.
Les eurodéputés ont adopté jeudi une résolution critique de l’accord européen sur le budget, à rebours des célébrations du début de semaine.
Ils contestent notamment les fortes coupes dans la santé ou la recherche. Mais existe-t-il encore des marges de négociation pour le Parlement ? Après le sommet marathon des chefs d’État et de gouvernement, et l’accord trouvé dans la douleur mardi sur une enveloppe record de 1 800 milliards d’euros, les eurodéputés, éclipsés des négociations à un moment présenté comme crucial, voire « historique », cherchent à reprendre la main.
Même si le scénario est très improbable, les élus, qui sont co-décisionnaires sur les questions budgétaires, peuvent encore bloquer l’ensemble du « deal » à l’automne. Le capitalisme de bons à rien : ça suffit ! Le 23 juillet 2020. Mardi, 21 Juillet, 2020 « Du vol de recettes fiscales » Pierric Marissal. Mardi, 21 Juillet, 2020 Malgré l'accord européen : ces blocs qui diviseront l’Europe Gaël De Santis. Preuve que l’Union européenne (UE) est à un tournant, les Vingt-Sept vivaient hier un sommet marathon, manquant à 25 minutes près de battre le record de celui de Nice en novembre 2000 (85 heures), quand fut décidé l’élargissement aux pays de l’Est.
Commencé vendredi dans le but d’adopter un fonds de relance à même d’aider les États à faire face à la récession de plus de 8 % due à l’épidémie de Covid-19, le Conseil européen n'a abouti que ce mardi matin. Ce sommet est amené à entrer dans l’histoire car, pour la première fois, l’UE - qui vit des contributions des États - devrait pouvoir emprunter. 750 milliards d’euros doivent être levés sur les marchés financiers.
Une somme qui sera adossée au budget pluriannuel pour les années 2021-2027 et qui ne sera en grande partie disponible que dans trois ou quatre ans. Lundi, 20 Juillet, 2020 Plan de relance européen : le décryptage de Christophe Ramaux, Economiste atterré Rosa Moussaoui. Lundi, 20 Juillet, 2020 Conseil européen. En miettes, l’Europe peine à trouver un accord économique Nadjib Touaibia. Crise du Covid-19 : Un prétexte honteux pour continuer l'austérité en Europe. Tous les pays d’Europe ont été frappés par le Coronavirus, mais à des niveaux différents.
Par million d’habitants, il y a eu 810 morts en Belgique, 630 en Espagne, 550 en Italie, 430 en France, mais seulement 100 en Allemagne, et 30 dans les pays de l’Est ou en Grèce. Tous les pays ont pris, plus ou moins rapidement, des mesures de confinement, pour des périodes de l’ordre de 3 mois. Ce qui devrait entrainer une perte de PIB de l’ordre de 10 % en 2020. Les pays ont pris des mesures de soutien à leur population et à leurs entreprises, de sorte que leurs déficits budgétaires se creuseraient d’environ 8 points de PIB. L’Allemagne en particulier a oublié son dogme de l’équilibre budgétaire pour aider massivement ses entreprises. La crise a été gérée dans le cadre national. Après une période d’hésitation, la BCE s’est décidé à soutenir plus fortement les pays fragiles, l’Italie et la Grèce. Trois points de vue se sont affrontés en Europe. □ Le refus du plan Merkel-Macron par les « 4 frugaux » : excellente nouvelle pour la France !