Science-fiction : engagez-vous ! La science-fiction arabe, ou l'ère du désenchantement post-révolutions. Temps de lecture: 9 min L'on put croire un temps que l'avenir de l'Égypte se trouvait dans ses déserts.
Penser l’après-crise : au-delà des imaginaires de la fin du monde. Les membres de Making Tomorrow, un collectif de design fiction, ont réalisé un travail de datavisualisation pour classer près de 500 imaginaires de fiction autour de la notion de crise et de ses différentes formes (sanitaire, militaire, nucléaire, etc.).
Avant d'entrer dans le détail de leurs découvertes, ils présentent leur démarche dans l'article ci-dessous, infographies à l'appui. Qu'ils s'expriment à travers la littérature, la bande dessinée, le cinéma, les jeux vidéo ou d'autres formes de culture populaire, les imaginaires de fiction ont démontré leur capacité à... imaginer des avenirs qui demeurent, pour beaucoup d'entre nous, absolument « inimaginables ». La série d'articles que nous initions ici se présente comme une tentative de prise de recul initiée dans l'urgence : et si nos imaginaires nous aidaient à penser la crise sans tomber dans les « peurs habituelles » ? Et s’ils avaient une certaine capacité à prédire les crises futures ? L’invention de l’avenir : prospective et science-fiction - L’invention de l’avenir : prospective et science-fiction. Iain M. Banks, la Silicon Valley et les utopies, par Nicolas Melan (Les blogs du Diplo, 22 novembre 2019)
Pour bien se représenter la Culture, cette civilisation fictive imaginée par l’écrivain écossais Iain M.
Banks, il faut visualiser un lieu sans injustice, sans maladie, sans pauvreté. Une utopie en somme. Il faut ensuite situer cette utopie dans un recoin de la galaxie, disséminée dans des vaisseaux spatiaux colossaux ou de vastes habitats polyformes. Une flotte fragmentée, millénaire, sans ordre apparent. Harmonieuse et chaotique. Table ronde. La science-fiction pour penser l’alternative politique ? Norbert Merjagnan, dans la nouvelle que vous signez pour le recueil Au bal des actifs (1), vous imaginez une société où les échanges sont codés en fonction de la cote de confiance ou de l’indice de popularité.
On y parle d’innovation cohésive, d’harmonie rentable… Ça ressemble à la société qu’on nous prépare. Mais vous y introduisez une monnaie qui s’apprécie quand elle finance une activité qui profite à tous et se déprécie lorsqu’elle ne profite qu’à certains. C’est une mécanique marxiste, favorable aux rapports humains et défavorable à l’accumulation du capital. Est-ce courant pour un écrivain de SF d’endosser les habits du politique ? Antoine Debarge - Dolly.Zero. Ugo Bienvenu for EDWIN - Holidays Forever. Jabberwocky - Fog (Clip Officiel) ft. Ana Zimmer. Paiement accepté - Ugo Bienvenu. Pulp (magazine) Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(janvier 2015).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. PULP FICTION: The Golden Age of Sci Fi, Fantasy and Adventure - FEATURE. Pulp, populaire du XXème siècle - BiTS - ARTE. Ugo Bienvenu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ugo Bienvenu est un réalisateur et un dessinateur français né le 10 mai 1987. Biographie[modifier | modifier le code] En 2016, il dessine pour la presse et développe la mini série Antman, à nouveau avec Kevin Manach. Ils terminent cette mini série en 2017. La fin du monde - Court métrage animé par Ugo Bienvenu, Kevin Manach et Benjamin Charbit. La fiction, clef pour sortir de l'hypnose et imaginer dès maintenant le futur. Avec la multiplication probable des épidémies à l'avenir, la généralisation de mesures sécuritaires et liberticides est à craindre.
Si l'on s'en tient au discours médiatique dominant et à son décompte quotidien des victimes, on peine à imaginer une alternative pour « l'après ». C'est pourquoi la fiction est essentielle : en multipliant les regards sur notre présent, elle nous permet d'imaginer d'autres futurs. Nous allons apprendre à vivre confinés. Les mois et sans doute les années à venir nous le confirmeront, mais on peut sans grand risque de se tromper parier que ce confinement n’est ni le dernier ni le plus sévère que nous aurons à supporter. Il faudra s’habituer à ces immenses restrictions des libertés ou changer de monde. « On arrête tout, on réfléchit » : c’était le mot d’ordre de L’An 01, il y a près de cinquante ans déjà. Multiplier les points de vue Prenons l’exemple d’une fable qui nous place au cœur de la catastrophe pour saisir sa nature. Hors des décombres, typologie des lignes de fuite. Il n'y aura pas de retour à la normale. Nos vies reprendront-elles leur cours après le confinement ?
S'appuyant sur les modélisations de la pandémie du rapport de l'Imperial College, Gideon Lichfield estime que nos vies confinées et contrôlées ne sont pas prêtes de disparaître. Le bouleversement sanitaire et sécuritaire de nos sociétés sera massif. Temps de lecture : 9 minutes Nos vies reprendront-elles leur cours habituel après le confinement ? Rien n’est moins sûr. Hors des décombres, typologie des lignes de fuite. Hors des décombres, typologie des lignes de fuite. La science-fiction, outil précieux pour imaginer les futurs de la démocratie. Maître de conférences en science politique à l'université de Nice, spécialiste de la gouvernance environnementale et des imaginaires politiques dans la science-fiction, Yannick Rumpala explique, dans les lignes qui suivent, la nécessité de sortir des cadres conventionnels pour essayer d’appréhender les futurs de la démocratie.
Il y a des textes qu’on lit avec un brin de déception. Dans mon cas, par exemple, un article d’Yves Sintomer (professeur de science politique à l’Université Paris 8) récemment paru sur « Les futurs de la démocratie au XXIe siècle », dans le dernier numéro de la revue Raison publique [1], et qui reprend en fait pour l’essentiel un texte déjà publié dans un ouvrage collectif [2]. Littérature et épidémie : le vaccin des dystopies. Imaginer les périodes de trouble et – parfois – de reconstruction a souvent été l’apanage de la science-fiction d’anticipation, et une occasion pour elle de montrer que la littérature de genre, si souvent prémonitoire, est une indispensable vigie.
Ainsi en est-il des scénarios liés au réchauffement climatique, qu’elle traite au moins depuis 1964, année de parution de Sécheresse, du Britannique J. G. Science-fiction : engagez-vous ! Quatre livres de science-fiction pour tenir le confinement. (10) La SF aux frontières du réel. Qui, de la science-fiction ou du réseau, a fait la révolution technologique? C'est un écrivain, William Gibson, qui, en 1984, invente le «cyberespace». Ce sont des scientifiques qui, aujourd'hui, travaillent sur des hypo. Adolescent, Pierre Jourlin a été «fasciné par HAL, l'ordinateur psychopathe du roman d'Arthur C. Clarke, 2001, Odyssée de l'espace, qui déjouait les plans de l'équipe du Discovery en lisant sur leurs lèvres».
A 26 ans, cet étudiant en informatique finit sa thèse à Avignon. Son sujet: «l'intégration des paramètres visuels labiaux dans les systèmes de reconnaissance de la parole». En clair, il travaille sur l'idée d'un ordinateur qui serait capable de lire sur les lèvres. Depuis que les avancées technologiques se précipitent, on pourrait croire que toutes les prévisions des auteurs de science-fiction ont déjà vu le jour.
Technologies du futur : Vieux rêves de la science-fiction ? - BiTS #63. Pierre Bordage : « J'ai ressenti une ambiance de fin du monde » Coronavirus: la science-fiction à la rescousse. Tribune. Sidération générale et villes mortes ou presque, brusque exode urbain, crainte des pénuries, et cette menace lancinante d’un virus invisible qui chaque jour fait davantage de dégâts… la France du confinement prend des allures angoissantes et surréalistes. Dans les médias et jusque dans nos échanges quotidiens, nombreux sont les témoignages qui comparent la situation à «un (mauvais) film de science-fiction» : il s’agit pourtant bel et bien de notre nouveau quotidien.
Mais il est vrai que les spéculations anticipatrices ont bien souvent exploré le thème de l’épidémie. Beaucoup considèrent Mary Shelley comme la mère de la science-fiction moderne grâce à son Frankenstein : dès 1826, dans une œuvre justement intitulée le Dernier Homme, elle imaginait une peste ravageuse frappant l’humanité à la fin du XXIe siècle, jusqu’à ne laisser sur la surface de la Terre qu’un seul être humain en vie. Supporter le vide des heures Le jour d’après.
La réflexion éthique devrait se nourrir davantage de la science-fiction. Après le clonage humain, la fin de vie, la manipulation du cerveau ou la responsabilité de l'homme d'aujourd'hui face à la nature et aux générations futures, l'actuelle révision des lois de bioéthique et le récent débat national sur les biotechnologies ont fait surgir un objet nouveau.
Ainsi, « l'homme augmenté », naguère réservé au monde des visionnaires, vient d'entrer dans celui, bien réel, où l'on s'interroge sur l'impact des progrès scientifiques et techniques. La réflexion éthique devrait se nourrir davantage de la science-fiction.