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Philosophie moderne

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Qu’est-ce qu’un philosophe français. Luc Foisneau, philosophe politique et historien de la philosophie, a dirigé l’entreprise collective du Dictionnaire des philosophes français du XVIIe siècle, sous-titré Acteurs et réseaux du savoir.

Qu’est-ce qu’un philosophe français

Cette version française, qui a réuni 167 auteurs, offre aux lecteurs francophones une version révisée et considérablement augmentée du Dictionary of Seventeenth-Century French Philosophers paru à New York et à Londres en 2008 : avec ses 690 entrées, ses huit introductions thématiques et un index historique et raisonné sans équivalent, ce dictionnaire constitue un instrument incomparable pour une découverte des acteurs et des réseaux du savoir dans la France baroque et classique. La Vie des idées : Pourquoi avoir choisi de diriger un dictionnaire des philosophes français ? Et comment le terme français doit-il ici être compris ? La Vie des idées : Que faut-il entendre par « philosophe » dans votre dictionnaire ? Luc Foisneau : On a repris le sens usuel de ce terme au XVIIe siècle. Pierre-Jean Brunel : de Protée à Polyphème. La réputation de Jacobi n’est guère flatteuse ; un de ses plus illustres spécialistes en France, J.

Pierre-Jean Brunel : de Protée à Polyphème.

-J. Promesse oblige. Gilles Marmasse, Alexander Schnell (dir.) : Comment fonder la philosophie ? Après avoir publié en 2012 Hegel au présent, un ouvrage collectif consacré à la place de la métaphysique chez Hegel [1], puis un an plus tard le remarquable ouvrage d’Olivier Tinland, L’idéalisme hégélien [2], les éditions du CNRS viennent d’éditer un nouveau collectif consacré une fois encore à la question de l’idéalisme allemand, plus spécifiquement à celle du fondement [3].

Gilles Marmasse, Alexander Schnell (dir.) : Comment fonder la philosophie ?

Charles de Bovelles : Le livre du néant (1) « Dieu est en toutes choses et rien en aucune » [1].

Charles de Bovelles : Le livre du néant (1)

On attendait avec impatience la nouvelle traduction du Livre du néant de Charles de Bovelles (1479-1566) [2]. Le site de Daniel Bensaïd. Faut-il provincialiser les Lumières ? Les Lumières ne sont pas le produit d’une inspiration purement européenne et doivent également être pensées dans le cadre d’un espace beaucoup plus vaste.

Faut-il provincialiser les Lumières ?

Un collectif donne à voir toute la vivacité de la tradition française de la critique de l’Orientalisme. Recensé : L’Inde des Lumières. Discours, histoire, savoirs (XVIIe-XIXe siècle), Études réunies par Marie Fourcade & Ines G. Županov, Paris, Édition de l’École des hautes études en sciences sociales, coll. Puruṣārtha, n° 31, 2013. Dans la continuité des recherches de Sylvia Murr (1947-2002) à laquelle il rend hommage et qui fut considérée jusqu’à sa disparition comme « la meilleure spécialiste du discours sur l’Inde à l’âge classique et au siècle des Lumières » (p. 395), ce volume collectif dirigé par Marie Fourcade et Ines G.

Les Lumières et les études subalternes. Roman et philosophie au temps des Lumières. À l’époque des Lumières, le roman s’empare de la philosophie pour en faire de multiples usages : secouer la systématicité philosophique, recourir aux leçons de l’expérience, contester les illusions philosophiques... mais aussi décevoir les attentes romanesques du lecteur.

Roman et philosophie au temps des Lumières

Recensé : Colas Duflo, Les aventures de Sophie. La philosophie dans le roman au XVIIIe siècle, Paris, CNRS Éditions, 2013, 287 p., 10 €. Si la question des rapports entre littérature et philosophie connaît une certaine actualité, l’intérêt de l’ouvrage de Colas Duflo est de l’éclairer sous un jour inhabituel en étudiant une époque particulière, celle des Lumières, « où la philosophie et le roman n’habitaient pas dans des mondes séparés » (p. 9). Contre l’évidence avec laquelle on aborde le discours philosophique et la fiction romanesque comme deux types de textes tout à fait distincts, le XVIIIe siècle se révèle comme l’époque où règne la mode de la philosophie dans le roman. Cette ambition n’est pas propre à Rousseau. L’ombre du Léviathan. Recensé : Jean Terrel, Thomas Hobbes : philosopher par temps de crises, Paris, CNED-Puf, 2012, 185 p.

L’ombre du Léviathan

Thomas Hobbes (1588-1679) demeure un penseur extraordinairement complexe et difficile à lire. D’abord parce que ses ouvrages conservent la trace de problèmes en voie de résolution et d’une conceptualisation en chantier, parfois tâtonnante en l’état, mais tendue vers des perspectives d’élucidation. Ensuite parce que sa philosophie est avant tout politique et qu’à ce titre, elle traverse des registres d’intelligibilité distincts : épistémologie, droit, pédagogie, discours contextuel, raison pour laquelle il est pertinent de lui assigner divers types de public (savants, responsables politiques, adversaires, citoyens).

L’ouvrage de Jean Terrel, grand spécialiste de la philosophie de Hobbes, a pour tâche de faciliter la lecture de cette œuvre à un tout autre public, bien circonstanciel, les candidats à l’agrégation de philosophie. Quod nihil scitur. Galilée : l'expérience des plans inclinés. Description de deux expériences de Galilée.

Descartes

Spinoza. Locke's Essay - Table of Contents. Leibniz. La Logique ou l'art de penser, Arnauld et Nicole. Montesquieu, De l'esprit des lois (1748), première partie: livres I à VIII. Jean-Jacques Rousseau, Émile ou De l'éducation (1762) André Charrak : Rousseau, de l'empirisme à l'expérience. Le chemin comme alternative au système Cet ouvrage se situe au carrefour de plusieurs objets de recherche – en réalité très liés – qu’André Charrak s’est donnés par le passé : d’une part, l’empirisme sous ses différentes formes ; d’autre part, l’œuvre de Rousseau.

André Charrak : Rousseau, de l'empirisme à l'expérience

Le problème qu’il se pose peut sembler simple : il s’agit de repérer et de comprendre « l’évolution des décisions méthodologiques de Rousseau » [1] Paradoxe sur le comédien - Denis Diderot. Histoire naturelle générale et particulière Tome 1 / [par Buffon, puis avec Daubenton] The Rights of Man, Thomas Paine. Footnotes are found throughout the text.

The Rights of Man, Thomas Paine

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Hegel