L'anonymat, la seule contre-culture de notre génération. Slt, asv ?
Millenials qui me lisez, vous savez de quoi il retourne. Ouvrir une fenêtre, respirer un grand coup, sauter à pieds joints dans l'inconnu. Sur les tchats des années 2000, l'identité que l'on déclinait à son interlocuteur était celle que l'on se choisissait. Le champ des possibles était potentiellement infini, uniquement restreint par les bornes de l'imagination : l'écrire, c'était le devenir. Qui sera responsable des « maladies de la connexion » Que devons-nous apprendre des anxiétés, des obsessions, des phobies, du stress lié à notre connexion ?
C'est la question que pose le designer Fabien Girardin sur le blog du Near Future Laboratory, ce studio de conseil et de design-fiction. A l'heure où nous sommes de plus en plus cernés et saturés par les notifications sociales en temps réel, la connexion permanente livre sa face noire. Vivre dans le village global conduit les plus connectés à éprouver de nouvelles anxiétés, de nouvelles obsessions, de nouvelles phobies et de nouvelles formes de stress, qui sont le symptôme des effets négatifs liés à la manière dont on conçoit les technologies.
Image : Affiche promotionnelle : "les médias sociaux vous font vous sentir comme un gros tas de linge sale en désordre ? Humans est un remède robuste pour vous aider à dépasser les mauvais effets de la surcharge des médias sociaux". Comment améliorer la conception des médias sociaux ? Vers une nouvelle "hygiène des données" On en est loin ! How To Rate Your Date—Before Getting Hooked. Though her official title is Life Strategist, Suzannah Galland is a bit more than that: Not only does she give clients specific and actionable advice, but she uses numerology, and, well, intuition, to understand all the personalities and factors at play.
This can be applied to anything—whether it’s an audition room, an interview, a marriage, or, as luck would have it, a virtual relationship. Whether you’ve been married before, are married now, or have yet to find a committed relationship, Galland’s advice below about using gut checks to understand intention is applicable to pretty much any situation. But when it comes to the realm of online dating, where many women are perceived as vulnerable, it’s invaluable. As Galland explains, if you want real love, you must learn when the motivation is pure, or, “as we Brits say, it’s just to ring the bell and get the coconut!” By Suzannah Galland He’s handsome. How can we turn it around? Remember men often see online women daters as vulnerable. La photo virale d'un kangourou "en deuil" cache une réalité bien plus sordide. POLÉMIQUE.
Que fait ce kangourou tenant dans ses bras une femelle à l'agonie ? Pour Evan Switzer, le photographe qui a capturé cet instant rare dans le Queensland (Australie), il s'agit d'un mâle étreignant sa compagne mourante pour un dernier adieu, sous le regard bouleversé de son petit. C'est ce qu'il explique au journal britannique Daily Mail le 13 janvier 2016 : "Le mâle voulait chasser les autres kangourous qui arrivaient tout autour - il agissait comme une sorte de protecteur envers la femelle.
Le jeune avait l'air un peu confus, il se tenait près de sa mère puis s'éloignait en sautant et mâchait un peu d'herbe, avant de revenir auprès d'elle". Aussitôt, l'histoire de ce kangourou protecteur fait le tour d'internet, chacun s'émerveillant devant le comportement si humain de cet animal face à la mort... Gare à l'anthropomorphisme Les scientifiques ne partagent pas du tout l'interprétation du photographe. POLÉMIQUE. Live Magazine : quand les journalistes montent sur scène pour raconter l’actu. Quelles utopies à l'ère du numérique ? Le paradoxe de la file d’attente. A l'heure du tout-immédiat, pourquoi sommes-nous prêts à faire des heures de queue pour le dernier smartphone, un burger ou une expo ?
Les portes du métro se referment en sonnant, mais la jeune fille lutte violemment des deux bras pour se frayer un passage. Il ne s’agirait pas, pour cette Parisienne aperçue quelques instants plus tôt dans l’interminable queue d’un restaurant ambulant à la mode, d’attendre deux minutes la rame suivante. Ultramoderne paradoxe. Pourquoi, dans la société du tout-immédiat, où les quelques secondes préalables à l’ouverture d’un site Internet nous insupportent, consent-on à patienter une heure, plusieurs parfois, pour certains produits et services ? On peste dans la queue du bureau de poste, on s’en veut d’avoir, évidemment, choisi la mauvaise caisse d’hypermarché, on se fait de l’urticaire au laboratoire d’analyses médicales le samedi matin.