Océans. Forêts. Espèces. Pollution. Réchauffement climatique. Agriculture et alimentation. Allemagne. Brésil. Burkina Faso. Chine. Costa Rica. Etats-Unis. France. Madagascar. WWF. Nestlé. UICN. Nations-Unies. Congrès mondial de la nature. Congrès mondial de la nature 2020 à Marseille. Convention sur la diversité biologique. Convention sur la diversité biologique Partie à la conventionSigné mais pas ratifiéNon signataire Logo de la 9e Conférence sur la biodiversité Logo de la 8e Conférence sur la biodiversité La Convention sur la diversité biologique (CDB) est un traité international adopté lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992, avec trois buts principaux : la conservation de la biodiversité ;l'utilisation durable de ses éléments ;le partage juste et équitable des avantages découlant de l'exploitation des ressources génétiques.
Son objectif est de développer des stratégies nationales pour la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique. Dans un premier temps, les bureaux de la convention se trouvaient à Genève avant de déménager définitivement à Montréal. Elle est ouverte aux signatures le 5 juin 1992 et entre en vigueur le 29 décembre 1993. Contenu[modifier | modifier le code] L'accord couvre l'ensemble des écosystèmes, des espèces et des ressources génétiques. COP15 Biodiversité. Présentation synthétique du rapport Meadows (1972) WWF Rapport Planete Vivante 2018 synthese. Rapport IPBES sur la biodiversité 2019 (en anglais) Synthèse rapport IPBES en français. Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES en anglais) Communiqué de presse (Click here for the text in Engish) Résumé à l’intention des décideurs, photos, vidéos et autres ressources médiatiques : bit.ly/IPBESReport Le lancement dans les médias par webdiffusion en direct depuis # IPBES7 (Paris, France) : bit.ly/IPBESWebcast commencera à 13 heures.
(Heure de Paris - HAEC / 7 heures (États-Unis, HAE) / midi (Londres - Heure d’été) Pour les interviews : media@ipbes.net En français +33 6 25 20 02 81 ou en anglais + 1-416-878-8712 ou + 1-415-290-5516 ou + 49-176-2538-2223. Après le 7 mai : +49-152-3830-0667 Le dangereux déclin de la nature :Un taux d’extinction des espèces « sans précédent » et qui s’accélère La réponse mondiale actuelle est insuffisante ;Des « changements transformateurs» sont nécessaires pour restaurer et protéger la nature Les intérêts particuliers doivent être dépassés pour le bien de tous Notes à l'attention des journalistes : Rapport GIEC 2018 (en anglais) This chapter builds on findings of AR5 and assesses new scientific evidence of changes in the climate system and the associated impacts on natural and human systems, with a specific focus on the magnitude and pattern of risks linked for global warming of 1.5°C above temperatures in the pre-industrial period.
Chapter 3 explores observed impacts and projected risks to a range of natural and human systems, with a focus on how risk levels change from 1.5°C to 2°C of global warming. The chapter also revisits major categories of risk (Reasons for Concern, RFC) based on the assessment of new knowledge that has become available since AR5. 1.5°C and 2°C Warmer Worlds. Synthèse rapport GIEC en français. Al’issue d’une semaine de négociations ardues à Incheon, en Corée du Sud, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) publie ce lundi un rapport très attendu sur le réchauffement mondial de 1,5°C (par rapport à l’époque préindustrielle).
Commandé au Giec lors de la conférence des Nations unies de décembre 2015 en France (COP 21), c’est le premier rapport spécial jamais produit. Il donne à voir l’état de notre planète si l’accord de Paris rédigé lors de cette conférence était respecté. Ce traité international, signé par 197 Etats et ratifié par 188, vise à faire le maximum pour limiter le réchauffement du climat provoqué par les activités humaines à 2 °C, voire 1,5 °C.
La rédaction des 250 pages a nécessité la participation de 86 auteurs principaux de 39 pays (seulement 39 % de femmes) et de dizaines d’experts pour la relecture. Sa structure et son contenu sont validés par l’ensemble des gouvernements membres. Que nous enseigne ce nouveau rapport ? PNUE Programme des nations Unies pour l'Environnement. IPBES Fondation pour la recherche sur la Biodiversité. Les unités de soutien technique (TSU) Les unités de soutien technique (« Technical Support Unit », ou TSU) sont des équipes mobilisées par le Secrétariat de l’Ipbes afin de soutenir un groupe de travail.
Il existe deux types de TSU : les unités de soutien technique des équipes spéciales – une pour chaque équipe spéciale assurant des fonctions d’appui transversal au sein de l’Ipbes. Au travers de BiodivERsA, la FRB accueille la TSU pour la production de nouvelles connaissances. Plus d’informations sur la page dédiée à BiodivERsA et auprès de Frédéric Lemaitre, responsable des activités d’interface science-société et science-politique et d’Elisa Magueur, chargée de programme “Unité de soutien technique de l’Ipbes sur les connaissances et données”. les unités de soutien technique des évaluations – une pour chaque évaluation de l’Ipbes, généralement sur 3 ans.
Actions en Afrique francophone. UICN France Union Internationale pour la Conservation de la Nature.