Empreinte carbone 2010-2013. Défi 4 « Changement climatique et énergies » Indicateur phare 4.1.2 En 2010, l’empreinte carbone par personne est identique à celle de 1990, alors que le niveau moyen par personne des émissions sur le territoire a diminué de 19 %.
L’empreinte carbone d’un Français, qui tient compte des échanges extérieurs, s’élève en 2010 à environ 11,6 tonnes équivalent CO2 (dont 8,5 tonnes pour le CO2), soit 51 % de plus que la quantité émise sur le territoire national. Note : l’empreinte carbone de la demande finale intérieure représente les émissions de gaz à effet de serre induites, en France et à l’étranger, par la consommation de la population résidant en France. p : provisoire Télécharger les données et le graphique au format Excel. Émissions de gaz à effet de serre par secteur 2010-2013. Défi 4 « Changement climatique et énergies » Indicateur complémentaire 4.2.2 Les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont reculé de 13 % entre 1990 et 2011.
Cette baisse résulte d’évolutions contrastées selon les secteurs : la réduction la plus significative revient à l’industrie manufacturière (- 39 %) alors qu’à l’inverse les émissions des transports sont en hausse de 12 %. Avec 28 % des émissions de GES en 2011, ces derniers demeurent la première activité émettrice depuis 1998, suivis par l’agriculture, l’industrie manufacturière, le résidentiel-tertiaire, l’industrie de l’énergie et le traitement des déchets. Champ : Métropole et outre-mer périmètre Kyoto (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion, St-Barthélémy, St-Martin).
Note : Les pourcentages indiqués entre parenthèses correspondent à l’évolution des émissions entre 1990 et 2011. ORAMIP ATMO. Observatoire Régional de l'Air en Midi-Pyrénées - ORAMIP. La pollution atmosphérique touche un tiers de la France. La France fait face à un pic de pollution, à tel point que dans une trentaine de villes de France, les automobilistes sont invités à privilégier les transports en commun, gratuits pour l’occasion. © Ruben de Rijcke, Wikipédia, cc by sa 3.0 La pollution atmosphérique touche un tiers de la France - 3 Photos Une vague de ciel bleu et de températures anormalement douce sévit en France depuis une semaine.
Une sensation agréable qui nous rappelle que le printemps approche et qui tranche nettement avec les épisodes pluvieux et tempétueux qui ont durement frappé le nord-ouest de la France durant l’hiver. Mais cette météo souriante n’est pas exempte d’effets indésirables. Car depuis mardi, un nuage de pollution aux particules fines (PM10) se répand dans un bon tiers nord de l’Hexagone. La pollution de l’air a tué 7 millions de personnes en 2012.
Contrairement à ce que beaucoup pensent, la pollution de l’air intérieur, qui se dégage des cigarettes ou des fourneaux à bois par exemple, tue davantage que la pollution atmosphérique (4,3 millions de morts contre 3,7).
Il est donc important d’aérer régulièrement son habitation. © babasteve, Wikimedia Commons, cc by 2.0 En bref : la pollution de l’air a tué 7 millions de personnes en 2012 - 1 Photo Les chiffres effrayants de 2012 représentent plus du double des estimations précédentes. Pollution de l'air : quels sont les risques pour la santé ? Effets sur la santé de la pollution de l’air - Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes - www.sante.gouv.fr. Les enjeux sanitaires de la pollution de l'air. 12 septembre 2014 L’air est indispensable à la vie, mais il peut avoir des effets nocifs si sa qualité est mauvaise.
La pollution constitue un danger immédiat pour la santé, mais a également un effet qui s’amplifie au fil des années, même pour des niveaux faibles. La pollution de l’air constitue donc une atteinte à notre qualité de vie et à notre santé. C’est même l’une des première cause de décès par cancer selon l’OMS. En savoir plus Un impact particulièrement important pour les personnes sensibles. La pollution de l'air accroît les risques pour le poumon et le cœur. D’après la première étude publiée dans la revue The Lancet, une exposition de longue durée à la pollution aux particules accroît le risque de cancer du poumon et ce, même à des doses inférieures à celles autorisées au niveau européen.
En passant en revue 17 études européennes rassemblant 313.000 personnes, les chercheurs européens ont montré qu’une hausse de la pollution aux particules fines (PM2,5) de 5 microgrammes par mètre cube augmentait le risque de cancer du poumon de 18%, tandis qu’une hausse des particules (PM10) de 10 µg par m3 augmentait le risque de 22%.
D’après les scientifiques, le risque de cancer du poumon subsiste même à des concentrations inférieures aux normes européennes. Ils n’ont trouvé "aucun seuil en dessous duquel il n’y ait pas de risque". La deuxième étude publiée porte sur les maladies cardio-vasculaires. Air et climat. Effet de serre et changement climatique - Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer.