No, Emma Gonzalez Did Not Tear Up A Photo Of The Constitution. Photo de migrants manipulée à Bézier. "La nausée.
" Ce jeudi, plusieurs responsables politiques se sont indignés de la une du dernier journal municipal de Béziers. Un numéro consacré au sujet des migrants, avec un message on ne peut plus clair: "Ils arrivent! " La couverture montre des personnes attendant devant un train. Sur les vitres, deux affichettes. La première indique "Béziers 3865 km", la seconde ajoute "scolarité gratuite, hébergement et allocations pour tous". D'où vient cette photo? La photographie appartient à l'Agence France-Presse. A-t-elle été acquise légalement? Joint par France Info, Eric Baradat, rédacteur en chef du service photo à l'AFP, s'indigne de la modification du cliché. Contacté, Robert Ménard assure avoir acquis en toute légalité la photographie, moyennant "930 euros hors taxe", comme l'annonçait Le Figaro ce jeudi matin.
L'AFP peut contester cette utilisation Si Robert Ménard a acquis légalement cette photographie, il ne peut en disposer librement. Vague d'indignation. Alerte aux "deepfakes" Le cas du faux tigre de Seine-et-Marne - CLEMI. «Je crois que j’ai vu un lynx» L’alerte est donnée par Le Parisien à 12h02, le 13 novembre 2014 : à Montegrain, en Seine-et-Marne, la femme d’un gérant de supermarché a signalé la présence d’un tigre dans la matinée.
«Elle n’est pas sortie de la voiture et m’a appelé pour me dire "je crois que j’ai vu un lynx", signale son époux, au Parisien. Le témoin a réussi à prendre quatre clichés de l’animal, repris dans la presse et sur les réseaux sociaux : Onze minutes après la publication de l’article du Parisien, l’AFP publie également une dépêche pour signaler la présence d’un tigre. C’est donc sur la base de ce seul témoignage et de quelques clichés de mauvaise qualité que toute la presse embraye, avec plus ou moins de prudence, en oubliant d’utiliser le conditionnel.Pour L’Express par exemple, «Un tigre s’échappe en Seine-et-Marne».
CNews Matin évoque, sur la base de la dépêche AFP, "Un tigre en liberté en Seine- et-Marne". L’emballement des médias Suggestions pour la classe. Exemple manipulation d'image. Cette publication que l’on peut voir par de nombreux partages sur les réseaux sociaux est VRAIE, mais même si elle est ressortie comme par hasard à cette période de grandes contestations et de manifestations, elle ne date pas de 2018 mais de 2010.La première chose que l’on peut constater,c’est que c’est une page anti-macron qui publie cette photo pour dire qu’elle représenterait l’image dégradante que donne la France actuelle au monde entier sous la présidence d’Emmanuel Macron.
Or les faits se déroulant en 2010, c’est Nicolas Sarkozy qui était Président de la France. La page Anti-Macron avec cette publication a donc loupé 2 Présidents de la République dit donc, rien que çà… Une simple recherche image sur google, et l’on retrouve cette photo sur un article d’archive de « NICE MATIN.fr« datant du mardi 20 juillet 2010. En novembre 2013, Nice Matin rapportait : Sources : nice matin.fr/2010 – nice matin/diapo.fr – Nice Matin/2013. Vidéo : Le Dahu. Marre de perdre vos cheveux ? Cette vidéo de l'Inserm va vous surprendre ! Les fast-food - Le Complot. Le complot - le before du grand journal : Mario et les jeux Nintendo.
Le Festival de Cannes - Le Complot. Video les conspirations radicalement bidons. Liste des sites conspirationnistes. « Ça doit se savoir », « Alter Santé », « Libre Info » : un seul homme derrière un réseau de désinformation. « Mon site ? Je n’ai pas de site. » Lorsque Le Monde l’a interrogé sur ses activités, Johann Fakra a nié en bloc. A l’en croire, il n’est lié ni de près ni de loin à l’administration de blogs ou de sites Internet. Pourtant, c’est bien la main de ce Français que l’on trouve derrière un vaste réseau de sites et de pages Facebook, bâti patiemment depuis des années.
Ces médias qui se disent « alternatifs » diffusent régulièrement des articles sensationnalistes et de fausses informations, parfois aux accents conspirationnistes. Réunis, ils constituent l’un des plus gros réseaux de désinformation français : nous avons identifié plus d’une trentaine de sites qui en font partie, et cette liste n’est probablement pas exhaustive. Un réseau d’une trentaine de sites de désinformation A première vue, tous ces sites ressemblent à des blogs amateurs indépendants les uns des autres. Intox et sensationnalisme à tout-va Lorsqu’ils perdent en crédit, ses sites ferment et rouvrent sous un nouveau nom.