Féminicides -Violences conjugales : déploiement des premiers bracelets anti-rapprochement. Un décret paru au Journal officiel le 24 septembre 2020 précise les modalités de mise en œuvre du dispositif électronique mobile anti-rapprochement destiné à assurer le contrôle à distance des conjoints ou ex-conjoints violents.
Déployé dans un premier temps dans cinq juridictions depuis le 25 septembre 2020, il sera généralisé à l'ensemble du territoire à la fin de l'année. Le décret vient en application de la loi du 28 décembre 2019 visant à agir contre les violences au sein de la famille. Environ 1 000 bracelets seront progressivement délivrés, tout d'abord dans les juridictions d'Aix-en-Provence, d'Angoulême, de Bobigny, de Douai et de Pontoise, avant que le dispositif ne soit généralisé à l'ensemble du territoire le 31 décembre 2020. La décision d'imposer le port d'un bracelet anti-rapprochement peut être prononcée : La mesure est ordonnée pour une durée qui ne peut excéder 6 mois et qui peut être renouvelée sous certaines conditions.
Le dispositif La distance d'alerte. J’aime ma femme mais je suis violent avec elle, que faire ? Question posée par Jacques.
Confrontez-vous au paradoxe de vos propos de manière à trouver le courage d’agir pour vous-même. Osez regarder les choses en face : être violent avec une personne est incompatible avec l’aimer. L’amour ne peut pas être violent. Vous vous racontez à vous-même que vous aimez votre femme mais c’est faux. L’amour demande le respect et la douceur. Vous vous dupez vous-même quand vous vous faites croire que vous aimez votre femme, vous ne l’aimez pas mais vous avez besoin d’elle, vous la voulez pour vous, parce que vous n’avez pas assez confiance en vous.
Or personne n’appartient à personne et contrairement à ce que vous pensez, « votre » femme ne vous appartient pas, c’est un être libre (comme vous), qui appartient à lui-même. Alors que faire si – après ces réflexions – vous estimez toujours « aimer » votre femme ? Violence familiale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
On qualifie de violences familiales des violences exercées au sein de la famille, au sens large. L'expression regroupe aussi bien les faits de violence conjugale, de violences faites aux enfants, aux ascendants, ou à tout membre de la famille élargie, dès lors qu'elles partagent le même toit, voire, selon les cultures une communauté proche. Prévalence[modifier | modifier le code] Selon un rapport de 2014 de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), sur les 437 000 personnes assassinées dans le monde en 2012, 95 % des auteurs étaient des hommes qui représentaient aussi 80 % des victimes.
Quand les homicides sont dans le cadre de violences domestiques, qui représentent 15 % de l’ensemble, 70 % des victimes des femmes. Violence conjugale. La violence conjugale La violence conjugale est une forme de violence domestique ou violence familiale (violence qui touche également les autres personnes du foyer, en particulier les enfants du couple).
Ayant souvent lieu dans l'espace privé, elle n'est pas toujours repérée. De ce fait, certains chercheurs estiment que le « huis clos conjugal » est un « haut-lieu de violences »[3]. Il s'agit d'un des facteurs majeurs de risque pour la santé des femmes âgées de 19 à 44 ans dans le monde[4]. Définitions[modifier | modifier le code] Les violences conjugales peuvent prendre les formes suivantes[5],[6] : La typologie de Michael P. La violence situationnelle serait liée à un contexte.
Problèmes de mesure[modifier | modifier le code] Campagne contre la violence conjugale à Kaga Bandoro (République centrafricaine), 2013. Maltraitance des adultes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La maltraitance des adultes désigne des mauvais traitements infligés à des personnes majeures que l’on traite avec brutalité, rigueur ou sévérité. Ces victimes sont souvent dépendantes et sans défense, mais pas toujours. À l’extrême, par exemple, dans les cas de sadomasochisme, elles sont consentantes, voire demandeuses de tels traitements. La maltraitance a fréquemment des conséquences durables sur la santé physiologique et psychique des victimes. Ce délit risque 5 ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende. Les formes de la maltraitance sur les adultes[modifier | modifier le code] À tout âge, une personne peut être victime de maltraitances. Maltraitance sur mineur. Harcèlement moral. Agressions physiques. Domination.
Les violences psychologiques sont invisibles : comment s'en libérer quand on en a été victime dans l'enfance ? Dans l’émission de radio RCF Vers une parentalité bienveillante du 1er juillet 2019, Anne-Laure Buffet, psychothérapeute, est intervenue sur le thème des prisons familiales et des violences psychologiques.
Elle y a défini les violences psychologiques et proposé des pistes pour les comprendre et s’en libérer. La nature des violences psychologiques Les violences psychologiques sont invisibles et donnent l’impression à la personne qui en est victime d’être dans le brouillard, dans une perte de repères et de capacité à s’exprimer (ressentir, parler, agir).