Toxiques, naturellement. Cet article est paru dans Que Choisir de septembre 2016.
Pas d’agriculture sans traitement, pas de traitement sans inconvénient. Qu’ils soient bio ou conventionnel, tous les agriculteurs luttent contre les ravageurs. Contrairement aux idées reçues, les armes biologiques ne sont pas forcément anodines. Les recherches s’intensifient pour améliorer leur efficacité et réduire leur impact potentiel sur les utilisateurs, la nature et les consommateurs. Trois mai 2016. La roténone, bio mais facteur de maladie de Parkinson Les produits concernés sont loin d’être tous anodins. L’huile thym, toxique pour la faune aquatique Le ministère est passé outre.
Des phénomènes de résistance aux pesticides bio Fin avril 2016, des décrets sont parus, assouplissant les conditions d’emploi de ce qu’on appelle les préparations naturelles non préoccupantes (PNNP). Les agriculteurs bio, qui viennent pour moitié au moins de l’agriculture conventionnelle, sont conscients de ces limites. WordPress: J'aime chargement… Dans la fabrique des plantes du futur. Les nouvelles méthodes d’édition du génome suscitent un grand espoir dans l’agro-industrie : développer des variétés végétales plus performantes ou plus saines, en tournant la page des OGM.
Reportage dans le Midwest, chez un géant des semences et une jeune « biotech ». LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg (Des Moines (Iowa), Minneapolis (Minnesota), envoyé spécial) De l’extérieur, on dirait presque un aéroport. Une rangée d’immenses ventilateurs, façon réacteurs de Boeing, pulse l’air chaud d’un printemps tardif, comme prêts à faire décoller le bâtiment au-dessus des plaines du Midwest. Le requin, le nucléaire et le transport aérien : même erreur, même difficulté à débattre.(billet) (photo du film « les dents de la mer » de Steven Spielberg, 1975) Suite à l’ accident survenu récemment à La Réunion, j’apprends qu’un surfeur de renommé mondiale demande à ce que tous les requins soient abattus autour de l Île .
Des élus locaux somment les scientifiques penchant sur le sujet de « quitter l’île » si cette solution ne leur convient pas… Mais si on fait un sondage, le nucléaire apparaîtra dans les résultats comme l’énergie la plus dangereuse, celle qui fait le plus peur. Top 10 des scènes les plus dures à tourner de l’histoire du cinéma, bonjour la galère. Parfois, le cinéma, c’est une caméra et des gens qui font des trucs devant.
Et parfois, le cinéma, c’est des maxi explosions de partout, des plans séquence de 15 minutes et 25 jours pour tourner une seule scène. C’est ça qui est bien, avec le cinéma ; c’est varié. 1. La scène de la fontaine de Trévi dans La Dolce Vità Le plan mythique du film de Fellini où Mastroianni et Anita Ekberg se baignent dans la fontaine de Trévi était un enfer à tourner. 2. Dans Fitzcarraldo, de Werner Herzog (1982), Klaus Kinski joue un illuminé dont le rêve est de bâtir un opéra en pleine forêt amazonienne.
Top 10 des conseils pour reconnaître une fausse info sur Facebook (et ne plus se faire avoir) Depuis qu’une partie de la population américaine l’accuse d’avoir fait gagner Trump en raison des nombreux hoax que ses algorithmes ont propagé tout au long de la campagne, Facebook est dans la tourmente.
Ses dirigeants ont déjà indiqué qu’ils luttaient contre ce fléau, mais l’automatisation de la tâche est super complexe. Alors qu’elle est super fastoche pour quiconque se donne deux secondes pour faire des vérifications. Un spécialiste des hoax explique très bien le phénomène qui est en train de se produire : autrefois, les gens partageaient des conneries, puis, une fois le démenti publié, ils passaient pour des imbéciles. Maintenant, les gens partagent des conneries et ne voient jamais le démenti. 1. Ca paraît débile, mais si l’article qui traîne émane d’un journal dont vous n’avez JAMAIS entendu parler, il y a de fortes chances pour que le journal en question n’en soit pas du tout un et que tout ce qu’on vous raconte est faux.
La liste de plantes d’intérieur anti-pollution de la NASA. Si les plantes vertes sont le plus souvent décoratives, elles ont aussi une fonction purifiante bien utile de l’air ambiant.
En effet, certaines plantes sont en mesure d’absorber des substances toxiques bien spécifiques qui se cachent dans l’air que nous respirons au quotidien. Et c’est une étude de la NASA datant de la fin des années 80 qui l’affirme et revient au gout du jour à travers les considérations écologiques actuelles. Quand la NASA se met à la botanique Si lorsqu’on évoque la NASA, on pense plutôt prochaines missions sur Mars et exoplanètes, l’institut d’aéronautique américain n’a pas toujours eu le nez que dans les étoiles. À la fin des années 80, celui-ci a mené en partenariat avec l’ALCA (Associated Landscape Contractors of America) une étude intitulée la « NASA Clean Air Study ».
En plus d’absorber le carbone et de rejeter de l’oxygène dans l’atmosphère, les plantes sont en effet aussi capables de nettoyer l’air de certains résidus toxiques.