« Une femme » existait déjà au Moyen Age. Cet excellent article a été initialement publié par Actuel Moyen Âge, un projet collectif mené par des historiens, des doctorants et des médiévistes pour la diffusion de la recherche en histoire médiévale.
Merci à eux et à Florian Besson, l’auteur de cet article, qui nous a gracieusement permis de le rediffuser sur Rue89/L’Obs. Emilie Brouze Saviez-vous « qu’une femme » est une journaliste-sportive-dirigeante politique qui a obtenu 5 prix Nobel… ? J’ai repris la chasse aux clichés dans les médias et voilà ce que j’ai appris.
Le crime passionnel n’existe pas. «Papy Marcel, jugé pour un crime passionnel commis à 90 ans» (1) ; «Gard : la thèse du crime passionnel privilégiée à Sernhac» (2) ; «Drame de la séparation à Metz : le mari tue sa femme» (3).
Ces titres sont explicites, et pourtant ils sont faux. Le crime passionnel n’existe pas : il n’a jamais fait partie du code pénal. Le drame, lui, est un genre théâtral. La représentation des femmes dans les médias. Dans ce nouvel épisode de « La Collab’ de l’info », Léa Salamé, journaliste sur France Inter et France 2, échange sur la représentation des femmes dans les médias avec Paul Lapierre, réalisateur et comédien, notamment dans Martin, sexe faible, une série où les femmes détiennent le pouvoir.
Les stéréotypes cest pas moi cest les autres Laboratoire de légalité nov 2013. Les assistants vocaux renforcent les stéréotypes sexistes, selon un rapport de l’ONU. Alexa, Siri, Cortana… Ces célèbres assistants vocaux portent des noms féminins et s’expriment par défaut au travers d’une voix de femme. L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a décidé d’étudier l’impact que pourraient avoir ces technologies sur la représentation des femmes.
Ses conclusions, publiées cette semaine dans un long rapport, estiment que ces systèmes tendent à renforcer les stéréotypes sexistes. Les auteurs du rapport s’intéressent d’abord au choix, de la part des principaux concepteurs d’assistants vocaux, d’en faire des femmes. Notamment à travers leur nom (à l’exception de Google Assistant), et leur voix, souvent féminine par défaut (Google Assistant compris).
Certaines des équipes créatives censées façonner leurs répliques ont aussi expliqué à la presse leur avoir attribué un profil féminin (dans l’imaginaire de son personnality designer, Google Assistant est ainsi une jeune femme brillante originaire du Colorado). Le Monde. Comment les réseaux sociaux influencent le corps des jeunes filles. Les professionnels sont formels : youtubeuses et instagrameuses font la pluie et le beau le temps sur les goûts des jeunes filles.
Elles sont belles, drôles et on a terriblement envie de leur ressembler. Des lèvres, forcément pulpeuses, aux fesses en mode Kim Kardashian. "Les adolescentes et jeunes adultes sont branchées en permanence sur une poignée d’influenceuses qu’elles désirent imiter en tout", constate Valérie Leduc. Depuis quelques mois, la médecin angiologue voit rajeunir comme par magie la clientèle de son cabinet parisien de médecine esthétique. Macron, le beau gosse de Bercy. Les médias, Libération inclus malgré sa vigilance, n’échappent pas aux clichés sexistes lorsqu’ils écrivent sur les femmes politiques.
Voici le portrait - volontairement outrancier - d’un homme politique, à la manière de ceux qu’on lit trop souvent sur ses homologues féminines. Précision : toutes les expressions utilisées ici sont tirées d’articles de la presse nationale décrivant des femmes au pouvoir. Elles ont seulement fait l’objet d’une adaptation masculine. À lire aussi notre enquête «Femmes en politique, un match contre les machos» C’est un vent de fraîcheur qui souffle au gouvernement. Loi du 4 août 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes : un an après, des mesures effectives. Femmes dans les médias : un long chemin vers l'Égalité - Grizette. La société évolue, les débats concernant la parité et l’égalité émergent, les révélations et les polémiques comme #metoo et #balancetonporc mettent un coup de projecteur sur des problématiques profondément ancrées dans notre société.
Égalité des salaires, abolition du harcèlement sexiste et des agressions… sont autant d’enjeux défendus chaque jour dans le combat pour l’égalité. Et pourtant, certains domaines restent en retrait et connaissent peu de progression. Que ce soit en terme de taux de présence ou d’image, la représentation des femmes dans les médias ne semble pas refléter l’évolution que connaît actuellement notre société. Des femmes, du genre et des médias : stéréotypes à tous les étages. C’est un étrange article qu’a proposé le quotidien Libération le matin du 4 mai 2015.
Titré « Macron, le beau gosse de Bercy », il brosse le portrait de celui qui n’était alors que ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie. « C’est un vent de fraîcheur qui souffle au gouvernement. Emmanuel Macron, 37 ans, est la nouvelle égérie de Bercy. Le ministre des Finances nous ouvre la porte de son bureau, cintré dans un seyant complet veston Armani camel, qui lui a valu d’être élu “dandy de l’année” dans le dernier classement annuel de GQ. Cet ancien timide nous invite à nous installer avec simplicité, bonhomie et décontraction. Brigitte Macron et la litanie sexiste des médias. Les rituels de l’investiture présidentielle française ont donné l’occasion aux médias de produire de longues, très longues heures de commentaires.
Reconvertis en speakers et animateurs de défilés de mode, il leur fallait, ici décrire telle poignée de mains, là commenter telle arrivée à l’Élysée. Et tout au long de ce spectacle – « peopolisation » et protocoles aidant – les commentaires sexistes à l’égard de Brigitte Macron sont loin d’avoir été rares. La « Première dame-tailleur », ou le renforcement des stéréotypes de genre. Les médias sont-ils sexistes ? (vidéo) Par Un collectif d’Acrimed, mercredi 8 mars 2017. Image des femmes dans la publicité télévisée : les décalages et stéréotypes persistent. Guide Cliches en tous genre. “Women washing”, quand la com' et la pub surfent sur le féminisme. La représentation des femmes à la télévision et à la radio - Exercice 2018. La nouvelle pub Always lutte contre les stéréotypes !
Pourquoi faire les choses "comme une fille" serait forcément péjoratif ?
La nouvelle pub Always entend bien lutter contre les stéréotypes sexistes qui débutent dès l'enfance. "Courir comme une fille", "lancer comme une fille", des stéréotypes sexistes qui interviennent dès l'enfance ! Dans sa nouvelle publicité intitulée "Like a Girl", Always, la marque de tampons et serviettes hygiéniques, demande à des filles et des garçons d'agir, comme des filles.
Et le résultat est effarant... Tour à tour ils agitent les mains de manière idiote en courant ou manquent de volonté ou de force pour lancer une balle... Chez les petites filles, le résultat diverge ! A force de s'entendre dire qu'être une fille est synonyme de faiblesse et de minauderie, alors les fillettes risquent de perdre confiance en elles, et de réduire leur condition aux idées reçues. Pour aller plus loin... Le féminisme, ce nouvel objet du désir (marketing) Accueil Genrimages. Projet Stéréotypes sexistes publicités.
DECLIC CRITIQUE : Stéréotypes sexistes à la télé. Les clés des médias : Les stéréotypes dans les médias. Inspirer la communauté éducative pour le bien-être des élèves. "C'est quoi le sexisme ? Quel lien avec les violences ?". Outils égalité filles-garçons. Avenir c est moi qui choisis.
Observateur CSA. CSA pub. Qu'est-ce qu'un stéréotype?...- Plant a Question, Grow Answers! Generate a live word cloud with your audience. Nathalie Kosciusko-Morizet : talents aiguilles. « Je ne crois pas au destin. » Quand on lui parle de son destin de Présidente, Nathalie Kosciusko-Morizet, alias NKM, répond : « Je ne crois pas au destin. » Et, dans la foulée, elle en profite pour distribuer une première claque à François Hollande : « D’ailleurs, je trouve extrêmement curieux le titre de son dernier livre, “Changer de destin”.
Macron, le beau gosse de Bercy. Nos ressources pédagogiques - CLEMI.