Dans les open spaces, la surveillance des salariés s'organise. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business La mise en place d'un logiciel de surveillance des traders au sein de la banque britannique Barclays a entraîné une levée de boucliers.
Pourtant, ces outils, censés accroître la productivité des salariés, sont doucement en train de se généraliser. Jusqu'où l'employeur peut-il aller pour surveiller son employé? La question est, une nouvelle fois, revenue sur la table après les révélations du journal financier de Londres, City A.M, affirmant que les traders britanniques de Barclays étaient supervisés par un logiciel de productivité. L'affaire, qui a provoqué un scandale outre-Manche, rappelle un précédent : le groupe bancaire avait déjà installé des capteurs de mouvements et de chaleur sous les postes de travail en 2017. En réalité, Barclays est loin d'être une exception. Sur ce plan, les GAFA font partie des précurseurs.
Un marché à 3,3 milliards de dollars La Cnil veille au grain. Une DSI dans le nuage, mais aussi dans les usages. Avec le digital, l'entreprise a découvert que le design lui permettait de réinventer sa relation avec ses clients, et que si elle ne le faisait pas, d'autres le feront à sa place car ses clients n'ont pas de difficulté à évoluer vers des usages qui leur correspondent mieux.
Parmi ces nouveaux usages, on se géolocalise par exemple pour trouver un VTC, un vélo ou une trottinette en libre service autour de nous. Le smartphone devient le début d'un processus d'achat et un moyen de se connecter à l'entreprise qui va offrir ce service. L'anglais Trainline, arrive à nous vendre des billets SNCF strictement identiques à ceux vendus pas l'opérateur national, uniquement avec une nouvelle expérience utilisateur. Mais des clients connectés impliquent des salariés "augmentés", pour ne pas créer un déséquilibre d'information entre les moyens à disposition des clients et ceux accessibles par les salariés via le SI interne pour les gérer.
2002 Alignement strategique du systeme d information web. Alignement Stratégique : le rôle des processus. Le Système d'information, le projet et le Manager ignorant. Il n'y a pas de secret.
Si une large majorité de projets système d'information manquent totalement d'originalité et ne visent que des objectifs forts modestes, c'est bien la faute des managers décideurs. Souffrant d'obscurantisme chronique pour tout ce qui concerne les technologies, ils refusent systématiquement de se pencher sur les questions un tant soit peu techniques. Quelle erreur ! C'est bien en exploitant au mieux les ressources des technologies actuelles que l'on parvient à se démarquer, à construire unes stratégie originale et à prendre un avantage concurrentiel durable. Voyons comment pourrait-on inverser la vapeur... Lorsque le manager se tient à distance de la "technique" Paroles d'Experts Boston Storage : Le spécialiste du data management. Selon Boston Storage, le RGPD doit encore faire ses preuves.
Bernard Siboni, le directeur de la firme, estime qu'il faut plutôt s'orienter vers l'autorégulation ainsi que le marché libre. À l'heure actuelle, chaque utilisateur est censé connaître les risques qu'il encourt en ce qui concerne ses publications sur le Web. Il s'agit de préserver son identité numérique face à ce qui est mis à la disposition du public.
Par ailleurs, Boston Storage conçoit le Cloud comme une solution efficace à terme. En effet, le nuage numérique est une infrastructure hébergée au sein d'un Data center qui dispose d'une sécurité de haut niveau. Depuis 20 ans, Boston Storage travaille en étroite collaboration avec IBM, acteur innovant dans le domaine informatique. Contact : « Arrêtez de nous demander combien coûte une ligne de code ! » Peut-on évaluer le coût d’une ligne de code ?
Peut-on la compter, la monétiser et la payer ? « Impossible ! », répondent les développeurs. De l’autre côté pourtant, il y a un client qui a besoin de connaître le coût d’une ligne de code pour évaluer le prix de son projet. Dans ce cadre, comment se faire rencontrer les deux ? « Arrêtez de nous demander combien coûte une ligne de code ». Une fonctionnalité = 4 ou 10 lignes de code, tout dépend du développeur Premier réflexe : calculer un coût en fonction du nombre de lignes de code.
Pour évaluer un travail de code : changeons de philosophie ! Digital et compétences : l’œuf et la poule 4.0 ? © HR consultancy partners / TF1 La loi « Avenir professionnel » vient d’être promulguée.
En mai dernier, Estelle Sauvat, alors Haut-Commissaire à la Transformation des Compétences, évoquait pour la matinale HR consultancy partners la place du digital dans la mise en œuvre de cette réforme : comme outil, par le biais notamment de l’appli « CPF », et comme objet, par la nécessité de réduire la fracture numérique via la formation. C’est l’occasion de revenir, avec les 4 experts présents ce jour-là, sur le rôle de la digitalisation dans la transformation des compétences… et sur celui des RH dans le processus ! Former au digital ou digitaliser la formation ?