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Droit médical

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"Un point d'enregistrement pour les erreurs médicales, bonne idée!" L'idée d'établir un point d'enregistrement national pour signaler les erreurs médicales est une proposition intéressante, estime Michel Deneyer de l'Ordre des Médecins, en réaction à l'appel du docteur Michel Bafort lancé dans les journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws lundi.

"Un point d'enregistrement pour les erreurs médicales, bonne idée!"

"Il y a une demande pour plus de transparence. " Les deux quotidiens écrivent que le nombre de victimes d'erreurs médicales et d'incidents hospitaliers est en Belgique plus élevé que celui des morts sur la route. Un organisme national pourrait aider à adapter la législation et à prévenir certaines fautes. "Il y a 30 ou 40 ans, les erreurs médicales étaient parfois camouflées. On craignait que signaler une erreur serait vu par les assureurs comme une reconnaissance de culpabilité", explique M. La proposition du docteur Bafort stipule que le médecin ou infirmier signalant quelque chose soit dispensé de sanction par la direction de l'hôpital. Médecine : comment les préjugés masculins ont ruiné la santé des femmes.

Les siècles d'exclusion des femmes du monde scientifique ont eu, et ont encore, de nombreuses conséquences sur la santé des femmes.

Médecine : comment les préjugés masculins ont ruiné la santé des femmes

Dès les balbutiements de la médecine, les femmes ont été considérées comme des êtres inférieurs aux hommes. Dans "La Génération des animaux", le philosophe grec Aristote a décrit la femme comme étant un homme mutilé, une croyance qui a perduré dans la culture médicale occidentale. "Pendant une grande partie de l'histoire documentée, les femmes ont été exclues de la création des savoirs médicaux et scientifiques. Nous avons donc abouti à un système de soins de santé, notamment au sein de la société, créé par des hommes pour des hommes", explique au Guardian la Dre Kate Young, chercheuse en santé publique à l'Université Monash en Australie.

Livre pratiques sx ikambere. Ressources – Les Flux. Retrouvez sur cette page l’ensemble des liens publiés par Les Flux et la Newsletter de ma chatte ainsi que des ressources utiles.

Ressources – Les Flux

Cliquez sur les noms des catégories pour y accéder directement. Cyclique Une plateforme collaborative dédiée au cycle menstruelRed Menace Une boutique et un blog pour lutter contre le tabou des règlesPassion menstrues Le blog de Jack ParkerDans ma culotte Des protections menstruelles écologiques et produites en FrancePourquoi les femmes ont mal pendant leurs règles Un article sur LibérationIt’s just Kelli Une chaîne YouTube américaine (eng)Sang Tabou Le livre de Camille EmmanuelleLe Grand mystère des règles Le livre de Jack ParkerCeci est mon sang Le livre d’Élise ThiébaudEndométriose, la maladie taboue Le livre de Marie-Anne MorminaUne Araignée dans mon ventre Le livre d’Anne SteigerEndométriose mon amour, le blog de Marie-RoseLes Règles… quelle aventure !

Code de déontologie médicale - Ordre des médecins - Ordomedic.

Violences médicales

Psychiatrie. Contraception. Allaitement. IMG. IVG. PMA. GPA. Violences gynéco et obstétr. Responsabilité médicale. L’Ordre des médecins interdit les relations sexuelles avec les patients. C'est une victoire pour toutes celles qui ont subi l'emprise de leur médecin, au point de se soumettre à des relations sexuelles.

L’Ordre des médecins interdit les relations sexuelles avec les patients

Enfin, le code de déontologie médicale interdit explicitement tout rapport intime entre praticiens et patients, comme le réclame depuis un an un collectif de femmes emmené par le Dr Dominique Dupagne, fondateur du site Atoute.org. "Le médecin ne doit pas abuser de sa position notamment du fait du caractère asymétrique de la relation médicale, de la vulnérabilité potentielle du patient, et doit s'abstenir de tout comportement ambigu en particulier à connotation sexuelle (relation intime, parole, geste, attitude, familiarité inadaptée, …)", est-il indiqué dans le commentaire de l'article 2 qui traite du respect de la personne et de sa dignité.

Un tel acte s'apparente même à "un abus de faiblesse" (les mots figurent en gras). Certes, il s'agit d'un commentaire, ce n'est pas un nouvel article à proprement parler, comme le demandait le collectif de patientes. La médecine du Moyen Age doit retourner d’où elle vient. Je me souviens avec précision de la première fois que j’ai lu sur le forum E-carabin les premières déclarations d’étudiants en médecine faisant état d’examens vaginaux/rectaux réalisés sans consentement sur des patient-e-s anesthésié-e-s.

La médecine du Moyen Age doit retourner d’où elle vient.

Ecoeurement, colère, indignation, j’avais gagné une bonne insomnie: Comment celles et ceux entre les mains de qui je remettais ma vie pouvaient se permettre de profaner ainsi mon corps inconscient? Suffisait-il qu’ils jettent sur moi l’immensité verte des champs chirurgicaux pour transformer mon être en un vulgaire tas de chairs et de miasmes, moins qu’un mannequin d’entraînement dont on respecterait (au moins!) Le coût exorbitant? C’est de cette colère et de cette indignation que tremblaient mes mains lorsque j’ai écrit ce tweet, qui devait ouvrir la voie à la mobilisation #TVsousAG contre la réalisation des touchers vaginaux à but de formation des médecins sans consentement des patients. Votre plaisir ou déplaisir ne nous regarde pas! Like this: Santé : faut-il vraiment regarder dans les culottes des enfants tous les ans ? "Ne pas réformer notre système hospitalier, c'est le tuer"