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Novembre

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Effets de la technologie sur notre cerveau : la grande inconnue. Les nouvelles technologies vont-elles affecter durablement nos fonctions cognitives, et celles des générations futures ?

Effets de la technologie sur notre cerveau : la grande inconnue

Nous n’avons pas fini de nous poser la question. Beaucoup d’inconnues demeurent, et le recul manque. Les chercheurs soulignent de plus en plus de corrélations (entre “multitasking” et propension à la distraction, par exemple) mais les causalités ne sont pas prouvées - nous en parlions ici, là, ou encore là. On a donc lu avec intérêt les 11 interviews d’experts réalisées sur le sujet par le média américain Vox. « Le débat sur l’enseignement de SES doit s’inscrire dans une logique professionnelle et non idéologique » « La formation au numérique, une tâche immense pour l’éducation nationale » Chronique « Transformations ». Si le carburant du numérique, ce sont les données, son moteur est l’informatique. Mais notre économie ne peut se limiter à des start-up, aussi brillantes soient-elles.

Comment les adolescents utilisent leur smartphone en France. Pour mieux comprendre l’usage des smartphones par les adolescents, BVA a réalisé une étude pour Wiko auprès de plus de 1 000 jeunes représentatifs des 12-17 ans.

Comment les adolescents utilisent leur smartphone en France

Nous avons sélectionné 8 points clés pour mieux comprendre leurs pratiques. 92% des adolescents de 12-17 ans ont un smartphone Premier point : les smartphones sont largement répandus dans les collèges et les lycées. 92% des adolescents ont un smartphone. 88% au collège, 96% au lycée. Les filles sont mieux équipées (93%) que les garçons (91%). Les enfants de cadres sont légèrement plus nombreux à en posséder que les fils et les filles d’ouvriers (92% contre 90%), tout comme ceux qui habitent dans de grandes agglomérations, comparé aux zones rurales (92% contre 89%). Lutter contre les fake news. Le site de l'ABDU, association des directeurs et personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation, publie les captations vidéo de la journée d'étude organisée le 5 juin 2018 en partenariat avec The Conversation France, La Croix, le CARISM et France Info.

Lutter contre les fake news

Cette journée, précise l'ABDU, « s’est positionnée sans équivoque en faveur de l’éducation aux médias et a valorisé les initiatives des acteurs de l’IST contre la désinformation. Enfin, elle a promu le développement de bonnes pratiques informationnelles et l’engagement de ses organisateurs et intervenants en faveur de l’esprit critique, de la maîtrise de la documentation et de la valeur de l’information ». « Algorithmes, la bombe à retardement » : un cri d'alarme citoyen. Attention, c’est du brutal. Algorithmes, la bombe à retardement (Novembre 2018, Les Arènes) nous plonge dans les cuisines peu ragoûtantes des fabricants d’algorithmes. L’auteure, Cathy O’Neil, est une mathématicienne américaine de haut vol passée de l’université aux banques puis aux analyses en big data avant de se reconvertir en lanceuse d’alerte. Elle pousse ici un cri d’alarme citoyen : nous ne pouvons pas rester spectateurs d’un monde où nous sommes de plus en plus tributaires d’outils conçus de façon opaque, utilisés à des fins commerciales ou sécuritaires et ayant pour conséquence d’exacerber les inégalités. « Un manuel citoyen du XXIe siècle ».

Voilà en quels termes le Financial Times présente Weapons of Math Destruction. Le prix Goncourt attribué à Nicolas Mathieu pour « Leurs enfants après eux » L’auteur est récompensé pour son deuxième roman, situé dans une vallée de Lorraine, d’où ses héros adolescents rêvent de « foutre le camp ».

Le prix Goncourt attribué à Nicolas Mathieu pour « Leurs enfants après eux »

LE MONDE | 07.11.2018 à 12h52 • Mis à jour le 07.11.2018 à 12h55 | Par Macha Séry Le prix Goncourt a été attribué à Nicolas Mathieu pour Leurs enfants après eux (Actes Sud, 432 p., 21,80 euros) Etaient également en lice : Frère d’âme, de David Diop (Seuil), Maîtres et esclaves, de Paul Greveillac (Gallimard), et L’Hiver du mécontentement, de Thomas B.

Reverdy (Flammarion). C’est, comme chaque année, depuis le restaurant parisien Drouant, où se réunissent les jurés, que la nouvelle a été proclamée, mercredi 7 novembre.