The Problem With Productivity And Hustle Culture - Lean In Feminism. The Disturbing Merchandising of The Handmaid’s Tale. Teen Vogue’s Wokeness Comes With a Price Tag. How Sheryl Sandberg and Amy Chua Sold the Lie of Lean In. Sheryl Sandberg speaking at the FORTUNE Most Powerful Women Summit in 2013, before she leaned into a campaign of weaponized political disinformation. (Paul Morigi/Getty Images) This piece was authored in conjunction with the Economic Hardship Reporting Project. Last week, Facebook COO Sheryl Sandberg was revealed in an exposé in the New York Times to be the kind of scheming, amoral corporate defender that we’re used to seeing mainly as a movie villain.
We're Living in the Era of the Hypocritical 'Feminist' Boss. Newrepublic. Harcèlement, discriminations : cinq conseils aux jeunes diplômées en entreprise - Le Figaro Etudiant. Les Happy Men et la libération des hommes : de l’égalité professionnelle au rejet du féminisme. 3.
Les hommes peuvent-ils être féministes et le voulons-nous ? La rhétorique des Happy Men repose sur l’idée que les femmes ont besoin d’hommes de pouvoir acquis à leur cause pour faire progresser l’égalité. Elle revendique une position pragmatique : tout mettre en œuvre pour convaincre les hommes d’être pour l’égalité, par tous les moyens possibles. Mon hypothèse est qu’en cherchant à rendre des hommes favorables à l’égalité tout en renonçant à la théorisation féministe de l’oppression patriarcale, on ne convainc personne de quoi que ce soit.
Toute la difficulté est de savoir si avoir des alliés qui maintiennent leur position de pouvoir et adoptent des lignes politiques molles qui leur sont peu défavorables est tout de même susceptible de faire évoluer la situation concrète des femmes ou non. Comment je me suis éloignée du mouvement body-positive. «Girlboss», ou l'hypocrisie de certaines entreprises revendiquées «féministes» Le synopsis de Girlboss, une nouvelle série Netflix, raconte l’ascension de Sophia: de vingtenaire «rebelle et fauchée», son personnage évolue en fondatrice d’un empire en ligne de la mode.
Une success story librement adaptée du roman autobiographique de la femme d’affaires qu’est devenue Sophia Amoruso, fondatrice de Nasty Gal. «La comédie s’en tient au récit que Sophia Amoruso a écrit à son sujet: une entrepreneure excentrique, excellant dans ses affaires malgré tous les obstacles. Excellant surtout parce que c’est une femme –une “Girlboss”! – qui comprend les autres femmes et croit en leur potentiel», résume le site d’information Broadly. Une féministe en somme.
Une atmosphère craintive Mais ce que ce récit ne dit pas, c’est qu’en 2015, l’entreprise est accusée d’avoir licencié «quatre femmes enceintes et un homme sur le point de prendre des congés paternité», ce qui est contraire aux lois californiennes. Et le site d’information d’en déduire : Un problème hiérarchique? If the Resistance Fits. Image by Kelsey Fairhurst via CFDA Every February, fashionistas, editors, celebrities, and models descend on New York City to feast their eyes on the newest fashions.
This is New York Fashion Week, a tastemaking event as well as a business endeavor that sets the tone for the year’s trends, fashion media coverage, and fashion’s cultural currency. Though it’s easy to see fashion as frivolous, it’s not apolitical. Le féminisme de 16h34. Mondanité et dépolitisation – La pensée du discours. Les Glorieuses ont lancé aux « Françaises », puis aux « travailleuses de France » dans une version corrigée, un appel à cesser le travail aujourd’hui à partir de 16h34, sur le modèle de l’action des Islandaises le lundi 24 octobre.
C’est la date théorique à laquelle les femmes en France, moins payées que les hommes à travail égal, travailleraient gratuitement. Il faut préciser qu’il s’agit dans le texte d’un appel indirect, basé sur un constat hypothétique (« si les femmes… elles pourraient »), d’un rappel de l’action des Islandaises, et d’une déclaration de solidarité (« nous nous joignons »). 7 novembre 2016 16h34 A partir du 7 novembre prochain à 16h34 (et 7 secondes), les femmes travailleront “bénévolement”. Le leurre du féminisme choupi. Temps de lecture: 7 min «Nous venons en paix!
Regardez, on a même apporté des macarons, on porte des petites robes blanches mignonettes, et on penche légèrement la tête sur le côté comme un chiot à adopter». Réjane Sénac : «On dépolitise la lutte contre les discriminations» Les montants sont vertigineux : la réduction des discriminations sur le marché du travail permettrait à l’économie de gagner entre 80 et 310 milliards d’euros, selon un rapport de France Stratégie, organisme rattaché à Matignon, publié mardi.
«Les discriminations freinent, voire bloquent, l’insertion sur le marché du travail d’une partie de la population en âge de travailler. Elles coûtent donc à l’économie en général et aux entreprises en particulier», qui ont intérêt «à recruter des individus de catégories discriminées à des postes de responsabilité», soulignent les auteurs.
Ces conclusions, qui semblent en apparence donner raison au combat contre les discriminations, risquent pourtant de faire oublier que c’est avant tout pour des raisons politiques et juridiques qu’il faut lutter contre elles. Comment interpréter ce rapport sur le coût économique des discriminations ? En quoi est-ce une démarche limitée voire contre-productive ? Why kathleen hanna isn't mad at pop star feminism. Comment le mercantilisme des Spice Girls a fait avancer le féminisme. En juillet 1996, j’avais 9 ans et j’étais une gentille petite fille.
Un peu trop «garçon manqué» au goût de certains mais tout de même très polie, du genre à avoir une garde-robe essentiellement composée d’habits Cyrillus et Jacadi. Our Barbie Vaginas, Ourselves. One night not long ago while coming home late from a dinner with friends, I passed frat row near the University of California-Berkeley campus.
Groups of girls were clacking along the street in their party uniforms: short skirts, bare midriffs, five-inch heels. One of them stopped and lifted her skirt above her waist, revealing a tiny thong, a flat belly, and some righteously toned glutes. She looked happy and strong, laughing, surrounded by friends, having fun. From shopping to naked selfies: how 'empowerment' lost its meaning. Here are a few things I have recently been told should make me feel “empowered”: tweeting a naked selfie; being Miley Cyrus; being Gwyneth Paltrow; looking at advertisements; watching TED Talks; owning my feminism; disowning my feminism; buying leggings; buying designer clothes; masturbating.
It’s quite an exciting time to be a woman, I can tell you. Feminism might not have quite finished its work yet – there are still niggly little things such as unequal pay and female genital mutilation, and, unbelievably, abortion remains an actual issue in the US elections in 2016. How ‘Empowerment’ Became Something for Women to Buy. Photo At my day job as an editor at a women’s website, I receive a daily mess of emails promoting random products and activities as “empowering.”
Recent offerings include the Pure Barre workout, divorce, Miley Cyrus, attention deficit hyperactivity disorder, ancient Egyptian sex rites, leggings, sending nude photos, receiving nude photos, declining to send or receive nude photos, doing stand-up comedy and purchasing full-bottomed lingerie.