Maurras et Pétain, faux plis du drapeau de Macron. Ressources pour l'EMC - Histoire-géographie - Éduscol. Un site : le webdocumentaire « Liberté, Inégalités ?, Fraternité » - Histoire-géographie - Éduscol. L’Observatoire des inégalités propose un nouvel outil interactif, entre site internet et documentaire, à destination des jeunes.
Constitué de 21 témoignages vidéo de jeunes sur leurs parcours semés d’embûches, accompagnés de chiffres clés, de paroles d’experts, d’analyses et de pistes d’actions, cet outil interactif et ludique permet d’aborder avec les élèves la question des inégalités et des discriminations. Le site est organisé autour de quatre thématiques : la scolarité, le travail, le logement et les loisirs. Réseau Canopé met à disposition un dossier d’accompagnement pédagogique (PDF, environ 245 ko) qui propose aux professeurs des repères et des ressources pour aborder avec les élèves la complexité de la question des inégalités.
Il permet aussi de développer, par le débat, l’acquisition d’un esprit critique et offre des pistes permettant de mettre en œuvre des actions concrètes pour sensibiliser l’ensemble de la communauté éducative. Autre actualité en lien : Vidéos – DILCRAH. Comment parler du racisme et de la discrimination aux enfants ? - Enseignement moral et civique. Les mots de la haine. EMC > Agir contre le racisme et l’antisémitisme. Dans le cadre du plan de formation académique dédié aux Valeurs de la République, l’Académie d’Amiens a proposé le lundi 3 février 2020 une journée de réflexion et d’échange autour de la place de l’École dans la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Éduquer contre le racisme et l’antisémitisme. Vademecum lutte contre racisme antisemitisme 1227892. Mathieu Bock-Côté : "On assimile la critique de l'Islam à une discrimination odieuse envers les populations musulmanes." - Vidéo Dailymotion. Le Covid-19 engendre une vague d'antisémitisme dans le monde qui inquiète. Lutte contre l’antisémitisme : retour en images sur les grandes manifestations en France. L’agression verbale qui a visé l'académicien, Alain Finkielkraut, en marge du mouvement des « gilets jaunes », samedi, a donc parachevé une triste série d’actes antisémites de ces dernières semaines (exemple des croix gammées sur les portraits de Simone Weil).
Une grande manifestation contre la hausse des actes antisémites est prévue ce mardi place de la République à partir de 19H, rassemblant ministres, élus et citoyens. 28 mars 2018 : Marche Blanche. 70% des juifs de France disent avoir été victimes d’antisémitisme. L'antisémitisme au quotidien. En 2018, en France, les actes antisémites ont augmenté de 74%, suscitant indignation et stupeur.
Il y a les actes spectaculaires comme la profanation du cimetière juif de Quatzenheim, dans le Bas-Rhin, ou ces croix gammées sur le portrait de Simone Veil à Paris, en février 2019. Il y a aussi ces actes du quotidien : agressions, insultes, menaces, tags, courriers. Pour "Envoyé spécial", ce père de famille raconte un antisémitisme permanent, banalisé mais tout aussi terrifiant : il a vu la porte de son appartement taguée et a reçu une lettre menaçant sa famille. Antisémitisme : la République fait bloc. Alors qu' Emmanuel Macron se recueillait au mémorial de la Shoah à Paris, ils faisaient bloc, mardi, place de la République pour dire « stop » à l'antisémitisme.
Édouard Philippe, le Premier ministre, mais aussi près de la moitié du gouvernement, l'ensemble des partis politiques, à l'exception du Rassemblement national qui n'était pas invité – Marine Le Pen a rendu un hommage séparé à Bagneux (Hauts-de-Seine) à Ilan Halimi, jeune juif tué en 2006 après avoir été séquestré et torturé –, les responsables syndicaux, les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, François Hollande, Nicolas Sarkozy, des anciens ministres… La République a donc répondu « présente » à l'appel lancé par Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, pour clamer un « ça suffit!
» unanime face à la vague de haine contre les juifs qui touche le pays, avec un bond de 74 % d'actes antisémites l'an dernier. Antisémitisme en France : 34 % des juifs se sentent menacés, selon une étude. Publié le : 22/01/2020 - 14:36.
Bordeaux : l'épicier musulman de Saint-Michel, condamné pour discrimination. Un épicier musulman a été condamné ce lundi par le tribunal correctionnel de Bordeaux à deux mois de prison avec sursis et une amende de 500 euros pour discrimination dans son commerce.
Il a voulu fixer des horaires séparés pour les hommes et les femmes. Le propriétaire de cette épicerie-librairie, Jean-Baptiste Michalon, un Picard converti à l'islam en 2012, avait provoqué en juin 2015 une vive polémique en apposant sur sa vitrine une affichette distinguant des heures d'ouverture pour femmes et pour hommes. Les femmes le week-end et les hommes la semaine "Les soeurs" y étaient invitées à faire leurs courses uniquement les samedis et dimanches, "les frères" durant les autres jours de la semaine.Cette pratique discriminante avait été rapidement abandonnée par le commerçant devant l'ampleur des réactions.
Du jamais vu dans à Bordeaux. On a jamais vu ça même à l'époque du phophète Le reportage de juin 2015 Affaire de l'épicerie musulmane à Bordeaux Saint-Michel estime-t-il. Nous, Français musulmans (1/2) - Du public à l'intime - Regarder le documentaire complet. Loin de la théorie du "grand remplacement", la communauté musulmane représente aujourd’hui 7,5 % de la population française.
En 1983, la marche pour l'égalité des droits et contre le racisme marque les esprits. L’islamophobie, ce fléau insidieux. L’immigration et l’identité nationale sont actuellement au cœur du débat public.
Avec les tentatives d’interdiction du burkini en France et la proposition de renforcer les contrôles migratoires en Grande-Bretagne suite au Brexit, la société est divisée. Ces tensions grandissantes sont aussi synonymes, pour les minorités religieuses et ethniques, d’un racisme de plus en plus marqué à leur égard, ressenti dans leur vie quotidienne. En 2015, l’islamophobie a augmenté de 200 % en Grande-Bretagne, tandis que les attaques anti-musulmanes aux États-Unis ont augmenté de 78 %.
L’islamophobie se définit comme « une hostilité injuste envers l’islam ». Cela inclut « la discrimination injuste envers des personnes musulmanes et des communautés » ainsi que l’exclusion des musulmans des affaires politiques et sociales. Mais le terme d’« islamophobie » est ambigu par nature : il suppose qu’il n’y aurait qu’un seul « islam » et induit qu’il y aurait une « peur » de cet islam. En France, les musulmans sont davantage victimes de discrimination.
Polémique sur le port du voile : « On parle beaucoup des musulmans mais on ne les écoute presque jamais » Depuis l'intervention très médiatisée de l'élu RN Julien Odoul à l'encontre d'une femme voilée, la question du port du voile dans l'espace public est au centre du débat politique.
Cette polémique n'est que le dernier exemple d'une longue série de crispations autour de sujets liés à l'islam et aux musulmans de France. Pourquoi les préjugés visent-ils autant les musulmans ? Plus de quatre musulmans sur dix déclarent avoir été victimes de discrimination au cours de leur vie. Les discriminations et les agressions visant les musulmans en France sont plus fréquentes que dans l'ensemble de la population, selon un sondage réalisé par l'Ifop, diffusé mercredi 6 novembre.
Commandée par la fondation Jean-Jaurès et la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), cette enquête a été réalisée du 26 août au 18 septembre par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1 007 personnes s'identifiant comme de confession musulmane. Société. La glottophobie, la discrimination par l'accent, bientôt réprimée ? En 2018, la vidéo de Jean-Luc Mélenchon se moquant de l'accent toulousain d'une journaliste avait provoqué de vives réactions, et même, déjà, une proposition de loi.
Le texte, poussé par la députée (LREM) Laetitia Avia, n'avait cependant même pas été déposé à l'Assemblée, considérant qu'il n'était pas assez "étayé pour faire l'objet d'un débat parlementaire". "Je n'ai jamais qualifié ma proposition de loi concernant la lutte contre la glottophobie de 'blague'", avait insisté l'élue de Paris, originaire de Seine-Saint-Denis, qui expliquait avoir gommé son accent "de banlieusarde" quant elle avait intégré Sciences Po.