Unequal Scenes - More Unequal Scenes. G1 Sous-thème 2 : répartition de la richesse et de la pauvreté dans le monde – Salle Christophe Colomb. L’année 2019 en 14 graphiques. 5.
Un million d'espèces sont menacées d’extinction. La biodiversité recule à un rythme inégalé dans l’histoire de l'humanité. Sur les huit millions d'espèces animales et végétales que compte la planète, environ un million sont menacées d’extinction, dont un grand nombre d’entre elles au cours des prochaines décennies, selon l’état des lieux mondial dressé par la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). Le taux actuel d'extinction des espèces dans le monde est des dizaines voire des centaines de fois plus élevé qu’au cours des dix derniers millions d'années, et ce déclin est principalement imputable aux activités humaines, au premier rang desquelles figurent les changements d’usage des terres et de la mer, l’exploitation directe de certains organismes, les changements climatiques, la pollution et la présence d’espèces exotiques envahissantes.
L'essentiel d'une vie digne. La pauvreté sous tous ses angles Mettre fin à la pauvreté est à la base des Objectifs de développement durable (ODD).
Il n’existe aucun moyen de parvenir à un avenir juste et équitable sans la réalisation de cet objectif crucial. De grandes avancées ont été réalisées dans la réduction de la pauvreté ces dernières années, mais ces progrès sont en train de ralentir. Des centaines de millions de personnes vivent encore avec moins de 1,90 USD par jour. Et d’ici 2030, le monde n’est pas près d’atteindre l’objectif de moins de trois pour cent de personnes vivant dans une pauvreté extrême. Notre compréhension de la pauvreté s’est affinée ces dernières années. . « Pour lutter contre la pauvreté, il faut savoir où vivent les pauvres.
Nous savons que la pauvreté est multidimensionnelle. Les enfants vont-ils à l’école ? Environ 1,3 milliard de personnes vit dans une pauvreté multidimensionnelle. Ce qu’être pauvre veut vraiment dire. Pour l’Insee, un individu est considéré comme pauvre « lorsqu’il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté », fixé à 60 % de la médiane des revenus de la population.
Ou quand il déclare au moins huit restrictions parmi une liste de 27 conditions de vie. Mais que disent ces mesures de la réalité de la pauvreté dans la vie quotidienne des gens ? Pour en savoir plus, le mouvement ATD Quart Monde et l’université d’Oxford ont décidé de mener, entre 2017 et 2019 dans six pays (Bangladesh, Bolivie, États-Unis, France, Royaume-Uni et Tanzanie), un programme de recherche atypique, en ayant recours à la méthodologie du croisement des savoirs, développée depuis vingt ans par ATD.
En France, ATD, allié au Secours catholique, aux Centres socio-culturels des 3 Cités à Poitiers et à l’Institut catholique de Paris, a fait travailler ensemble trois groupes de « co-chercheurs » : quatre personnes. La cartographie des inégalités à travers l'Indice de privation multiple au Royaume-Uni (rapport 2019) Ces indices de privation sont construits à partir de différents indicateurs : revenu, emploi, éducation, formation, santé, conditions de vie...
Un indice de privation multiple (Index of Multiple Deprivation) permet de synthétiser l'ensemble de ces indicateurs. Cet indice s'inscrit dans la même approche que l'Indice de pauvreté multidimensionnelle : il s'agit d'un indice composite destiné à mettre en évidence la pauvreté, perçue comme "une situation de manques multiples et synchronisés" (lire cet article sur l'IPH).
Les données sont collectés à l'échelle locale par aire statistique de 1500 habitants en moyenne. Chaque aire statistique est classée de 1 à 10, de la plus démunie à la moins. L'analyse peut être conduite à l'échelle de chaque région et pour chaque domaine. Les statistiques 2019 peuvent être visualisées à travers une interface cartographique avec représentation des données en 2D ou en 3D : Mesurer le développement : la carte de l'IDH 2017.
Le PNUD vient de publier son rapport 2018 avec des données 2017.
Voici une collection de cartes comprenant l’IDH et ses 4 composantes. Les données ont été discrétisées de façon identique pour assurer une cohérence à l’ensemble (voir encart explicatif sur le document). Travail réalisé avec Philcarto, de Philippe Waniez. L’IDH et ses composantes La carte en PDF : Les cartes séparées : Le PDF : Scénario géographie (collège) — HEG.
A partir d'un site internet, l'élève découvre ce qu'est l'IDH et la pertinence de cet indicateur (limites, composantes...).
L'élève doit s'interroger sur la source d'une carte afin d'avoir accès au site présentant les statistiques du Programme des Nations Unies pour le Développement. La phase de découverte du site permet à l'élève de rechercher et de découvrir les indicateurs ou indices de pauvreté et de développement. La séquence oblige aussi à mobiliser les repères géographiques en faisant référence aux PMA, Etats développés ou aux pays émergents. Gini. Choisissez votre indicateur. Mais aussi, vous pouvez classer et comparer les pays selon le PIB par habitant ou en utilisant des indicateurs composites comme l’indice de développement humain (IDH) et l’indice « planète heureuse » (IPH), qui prennent en compte le taux d’alphabétisation, le taux de scolarisation, l’espérance de vie à la naissance ou encore le bien-être subjectif de la population.
Enfin, et surtout, cet outil vous permettra de laisser libre cours à votre imagination : vous pourrez créer votre propre indicateur ! Pour ce faire, vous avez le choix entre trois grandes thématiques (économie, environnement et social), chacune répertoriant quatre indicateurs. En tout, douze indicateurs à mixer en fonction de votre propre conception du développement ! Cette application nécessite le plugin Flash pour fonctionner. Langue : français. L'extrême pauvreté par zone géographique. Dollar Street. 73 millions d’enfants de 5 à 11 ans contraints de travailler dans le monde.
A l’occasion d’une conférence mondiale sur l’élimination du travail des enfants, l’Organisation internationale du travail alerte sur les difficultés à mettre fin à ce fléau.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Rémi Barroux Une fois encore, le constat est identique quand il s’agit d’éradiquer les formes extrêmes d’exploitation et d’inégalité sur la planète : la communauté internationale constate les progrès réalisés, mais on reste très loin de l’objectif. Ainsi en est-il du travail des enfants. « Cent cinquante-deux millions d’enfants sont toujours victimes du travail des enfants, soit près d’un enfant sur dix dans le monde. Parmi eux, près de la moitié effectue des travaux dangereux. 40 millions d’« esclaves modernes » Et le constat n’est guère plus encourageant s’agissant du travail forcé.