Cet ancien éducateur est devenu technicien sanitaire en apiculture en Mayenne. Claude Helbert, apiculteur amateur à La Selle-Craonnaise (Mayenne), est membre du groupement de défense sanitaire apicole de la Mayenne (GDSA) et depuis peu, technicien sanitaire.
Claude Helbert a organisé une formation au traitement hivernal contre le varroa, un parasite méconnu du grand public, et pourtant dévastateur de colonies d’abeilles. Claude Helbert ne se prédestinait pas à devenir apiculteur. Cet amateur a été éducateur au Ponceau, à La Selle-Craonnaise. C’est une fois à la retraite en 2009, qu’il rencontre le mari d’une collègue de sa femme, passionné. « Il avait plus de 80 ans, et avait tout construit lui-même pour ses ruches dans une forêt », explique-t-il. Lire aussi : Près de Cossé-le-Vivien, un apiculteur élève des reines Puis, sous la houlette de Joseph Houtin, apiculteur professionnel dans le Craonnais, il apprend et est piqué à son tour par le virus. Une découverte accidentelle pourrait bien sauver les abeilles. Une équipe de scientifiques allemands annonce la découverte d’un nouveau composé chimique qui pourrait sauver les abeilles de parasites qui sucent le sang et nuisent aux colonies : le varroa.
On ne vous l’apprend pas, les populations d’abeilles sont en déclin partout dans le monde. Les fongicides et autres pesticides néonicotinoïdes sont notamment visés dans ce fléau, mais les abeilles, mellifères en particulier, sont en proie à une autre menace : le Varroa destructor. Il s’agit d’un acarien parasite qui ne souhaite qu’une seule chose : leur sucer le sang. Des actes de vampirisme qui non seulement provoquent de nombreuses maladies, mais qui raccourcissent également la durée de vie des abeilles. Les varroas peuvent ainsi nuire considérablement aux colonies d’abeilles et les mettre à terre, si on ne les contrôle pas. Déclarer des ruches - Mes Démarches. Déclaration des abeilles et des ruchers. Les apiculteurs doivent obligatoirement faire la déclaration de leur rucher chaque année, dès la première année d'activité.
Qui est concerné ? Afin de permettre le suivi des abeilles, chaque propriétaire apiculteur ou détenteur de ruches doit chaque année effectuer la déclaration obligatoire de détention et d'emplacement de son rucher. Est soumis à cette obligation tout propriétaire de ruche, que ce soit pour une activité de loisir ou une activité professionnelle : particulier, groupement, association, entreprise ou agriculteur, producteur de miel, d'essaims, de reines, et d'autres produits de la ruche... Déclaration obligatoire Pour chaque rucher, il est obligatoire de déclarer le nombre de ruches, et éventuellement leur emplacement. À renouveler chaque année entre le 1er novembre et le 28 ou 29 février que le cheptel évolue ou pas. En cas d'évolution du cheptel, la déclaration peut ensuite être modifiée pour mise à jour entre le 1er avril et le 31 mai.
Cette déclaration peut être effectuée : Étiquetage du miel - Réglementation. Buckfast, dénomination ou marque ? Depuis plusieurs années, un conflit oppose deux apiculteurs français.
L'un a déposé la marque "Buckfast", l'autre estime pourvoir l'utiliser puisqu'elle désigne une méthode de sélection et un type d'abeille. La justice n'a pas encore tranché, et certains estiment que nous avons tous le droit d'utiliser le terme de "Buckfast" pour faire la promotion des abeilles produites ; quand d'autres estiment qu'en l'attente des procédures, il est interdit de l'utiliser... Point sur cette petite histoire apicole, révélatrice de notre temps. L'histoire de l'abeille Buckfast est plutôt récente. Elle commence pendant la première guerre mondiale, à l'abbaye de Buckfast, en Angleterre.
C'est tout simplement la première abeille sélectionnée, qu'a inventé Frère Adam. Dans les années 1990 puis 2000, avec les grandes difficultés de l'apiculture, l'élevage de reines d'abeilles se développe de plus en plus. Il y a un réel tournant à cette époque. Difficile de s'y retrouver dans cette bataille juridique. Allergie aux venins d'hyménoptères : diagnostic et prise en charge. Médecine thérapeutique / Pédiatrie - Allergie aux venins d’hyménoptères. Auteur(s) : Joëlle Birnbaum UPRES EA 3287, 27 boulevard Jean-Moulin, 13385 Marseille Cedex 05 L’allergie aux venins d’hyménoptères est une des causes les plus fréquentes d’anaphylaxie.
Son risque mortel est connu depuis l’Antiquité. L’évaluation clinique de la sévérité de la réaction après une piqûre associée au diagnostic biologique, reposant sur les tests cutanés et sanguins (dosage des IgE spécifiques), ainsi que sur la recherche de facteurs de risque, permet une prise en charge adaptée du patient. Quand celle-ci est indiquée, la désensibilisation spécifique a fait la preuve de son efficacité. Famille des Apidae Bourdons Ce sont de gros insectes, à pointes noires et à bandes jaunes et rousses, caractérisés par leur bruit en vol, et dont le nid est le plus souvent souterrain. La prise en charge des allergies au venin d'hyménoptères (p.13) Allergie aux venins d’hyménoptères. Qui, comment et combien de temps désensibiliser ? Allergique aux venins d’hyménoptères ? Désensibilisation aux venins d'abeilles et dosage de la tryptase.