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Affaire Mila: Marlène Schiappa adresse son soutien à la jeune fille. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter RMC La secrétaire d'État a rappelé que le cyber-harcèlement en meute est puni par la loi.

Affaire Mila: Marlène Schiappa adresse son soutien à la jeune fille

Mila, 16 ans, menacée de mort pour avoir critiqué l'islam. La liberté de critique de la religion, fût-elle énergique, est-elle encore garantie en France ?

Mila, 16 ans, menacée de mort pour avoir critiqué l'islam

Il est permis d'en douter, au regard du harcèlement que vient de subir Mila, une adolescente de 16 ans, ces derniers jours. Pour avoir publié sur son compte Instagram une courte vidéo dans laquelle elle rejette l'islam, la jeune fille a subi des pluies d'insultes et de menaces de mort. Des informations personnelles comme l'adresse de son lycée ont été divulguées sur les réseaux sociaux. "Liberté de conscience" : après avoir choqué sur l'affaire Mila, Belloubet rétropédale.

Opération déminage.

"Liberté de conscience" : après avoir choqué sur l'affaire Mila, Belloubet rétropédale

Nicole Belloubet a admis ce mercredi une maladresse après avoir assimilé la critique des religions à "une atteinte à la liberté", des propos qui ont provoqué un tollé et lui ont valu d'être accusée de justifier le délit de blasphème. L'affaire est partie de déclarations de la garde des Sceaux sur l'affaire Mila, du nom de cette adolescente de l'Isère déscolarisée après avoir été menacée de mort sur les réseaux sociaux en raison de propos hostiles à l'islam. Affaire-mila-nicole-belloubet-fait-son-mea-culpa-08-02-2020-2361785_23. Après l'affaire Mila, un sondage indique que "un français sur deux est opposé au droit au blasphème et au droit de critiquer une religion"

C'est un sondage réalisé par l'IFOP et qui est publié ce matin par Charlie Hebdo, une enquête qui montre à quel point la société est aujourd'hui partagé sur le fameux droit au blasphème, au coeur de l'affaire Mila.

Après l'affaire Mila, un sondage indique que "un français sur deux est opposé au droit au blasphème et au droit de critiquer une religion"

A la question "êtes-vous favorable à ce droit de critiquer, même de manière outrageante, une croyance, un symbole ou un dogme religieux ? ", les personnes interrogées répondent à 50% y être favorables (21% "tout à fait favorables" et 29% "plutôt favorables"), et à 50% "pas favorables" (33 % "plutôt pas favorables" et 17% "pas du tout favorables"), selon ce sondage. Autre leçon à tirer de ce sondage, 56% des personnes interrogées ne sont "pas d'accord" avec les propos de Nicole Belloubet, garde des Sceaux, qui avait d'abord déclaré que "l’insulte à la religion est évidemment une atteinte à la liberté de conscience", avant de plaider la maladresse. 70% ne sont pas non plus d'accord avec les déclarations du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM).

Résultats Google de recherche d'images correspondant à. Jérôme Blanchet-Gravel : « Affaire Mila : les islamistes ont réussi à imposer... Le site Boulevard Voltaire a publié un entretien exclusif de Jérôme Blanchet-Gravel.

Jérôme Blanchet-Gravel : « Affaire Mila : les islamistes ont réussi à imposer...

Cet essayiste québécois revient sur l’Affaire Mila et s’inquiète notamment des résultats du récent sondage selon lequel 50% des Français désapprouvent le droit au blasphème. Pour Jérôme Blanchet-Gravel, cette information montre que les islamistes ont réussi à imposer, en France leur vision en faisant croire à une équivalence entre race et religion… Jérôme Blanchet-Gravel, que vous inspire l’affaire Mila ? Cette affaire confirme d’abord que la liberté d’expression recule dangereusement, même en France, pays censé en être le phare mondial. Certains commentaires émis par Mila dans sa vidéo devenue virale sont maladroits, voire vulgaires, ce qu’elle reconnaît elle-même.

Les apôtres de la diversité culturelle ne veulent pas interdire la critique de toutes les religions, mais précisément celle de l’islam. J’avoue qu’il y a quelque chose de manichéen dans ce débat. Oui et non. Affaire Mila : la jeune fille et sa famille «protégées par la police», annonc... Un Français sur deux est contre le droit au blasphème. 50-50.

Un Français sur deux est contre le droit au blasphème

Les Français sont divisés sur la question du droit au blasphème. C'est ce que révèle un sondage Ifop pour Charlie Hebdo publié ce mardi au sujet de l'affaire Mila, cette adolescente faisant l'objet de menaces après avoir critiqué l'islam. Ce sondage est réalisé quinze jours après la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo de cette lycéenne iséroise de 16 ans, dans laquelle elle critique l'islam de manière virulente, après avoir reçu des insultes homophobes. Elle a depuis été menacée de mort et de viol, et n'a toujours pas réintégré son établissement scolaire.

EEO

Affaire Mila : comprendre le débat sur le blasphème, qui n’est pas un délit e... Le président du CFCM sur l'affaire Mila : "Nous devons accepter que l'islam s... Cet article est à retrouver dans le magazine n°1195 en kiosques cette semaine "Les indécents !

Le président du CFCM sur l'affaire Mila : "Nous devons accepter que l'islam s...

", disponible en ligne pour 3,49 euros seulement. Par Natacha Polony Marianne publie la tribune de Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman. Le cas de Mila, menacée de mort pour avoir répondu à des attaques homophobes et sexistes par une diatribe contre l’islam, n’en finit pas d’enflammer le débat public. Car cette jeune fille de 16 ans, par ses propos outranciers, a eu le mérite de forcer les uns et les autres à sortir du bois ; de démontrer, même par leur refus de sortir du silence, quelle était leur véritable position sur la liberté d’expression et sur ce que Marianne se refuse à appeler le « droit au blasphème », puisque le blasphème est une catégorie religieuse qu’un non-croyant est libre de ne pas reconnaître. La liberté d’expression est fondamentale. Affaire Mila : la société française divisée sur la critique des religions.

L’affaire Mila, du nom d’une lycéenne de 16 ans qui avait insulté l’islam dans une vidéo postée sur Instagram le 18 janvier, n’en finit pas de faire débat.

Affaire Mila : la société française divisée sur la critique des religions

Si elle déchire la classe politique, elle divise également la société française, selon un sondage Ifop publié mercredi par Charlie Hebdo. Réalisé auprès de 2 005 personnes, il montre une stricte égalité entre ceux qui soutiennent (50% donc) le droit de critiquer, «même de manière outrageante, une croyance, un symbole ou un dogme religieux», selon la formulation de la question, et ceux qui y sont défavorables. En revanche, 58% des sondés estiment que les propos de la lycéenne, menacée de mort sur les réseaux sociaux, ne relèvent pas de la «provocation à la haine à l’égard d’un groupe de personnes, en raison de leur appartenance à une race ou à une religion déterminée». Fait étonnant, la proportion s’inverse chez les plus jeunes. Parmi les 18-24 ans, 57% perçoivent les déclarations de Mila comme étant racistes. Affaire Mila : la moitié des Français défavorables au droit de critiquer les ... Beaucoup tiennent la liberté d'expression, et notamment celle de s'en prendre sévèrement à tel ou tel culte, comme une évidence indiscutable en République laïque.

Affaire Mila : la moitié des Français défavorables au droit de critiquer les ...

Il n'en est rien, au regard des résultats de l'enquête menée par l'Ifop pour Charlie Hebdo auprès de plus de 2.000 Français. Affaire Mila : L’adolescente « ne regrette absolument pas » ses critiques de ... Mila, la lycéenne iséroise de 16 ans dont les virulentes critiques sur l' islam lui ont valu un déferlement de menaces qui l’empêchent aujourd’hui d’être scolarisée, a assuré ce lundi sur TMC, sur le plateau de l’émission Quotidien, « pas regretter » ses propos, revendiquant son « droit au blasphème ». « Je ne regrette absolument pas mes propos, c’était vraiment ma pensée », a déclaré la jeune fille. « Je m’excuse un petit peu pour les personnes que j’ai pu blesser, qui pratiquent leur religion en paix, et je n’ai jamais voulu viser des êtres humains, j’ai voulu blasphémer, j’ai voulu parler d’une religion, dire ce que j’en pensais », a-t-elle cependant précisé.

Affaire Mila : L’adolescente « ne regrette absolument pas » ses critiques de ...

Sa vie « clairement en pause » Enquête sur les auteurs des menaces de mort Mila a confié regretter d’avoir tenu ses propos « sur les réseaux sociaux », ne mesurant pas « l’ampleur que ça a pu prendre », ainsi que « la vulgarité » des termes employés.