Petites histoires du big data. Conception industrielle, transports, énergie, agriculture, éducation, santé… Il n’est quasiment pas de secteur ou d’activité qui ne bénéficie pas des bénéfices apportés par les applications du big data.
C’est ce que présente La BSA | The Software Alliance dans son dernier livre blanc intitulé « What’s the Big Deal with Data ? » qui présente des exemples concrets des usages et bénéfices de l’analyse des données et des améliorations apportées en termes de confort, de meilleure organisation des villes, de prévisions des crises climatiques et d’innovations médicales. Selon Victoria Espinel, CEO de la BSA, quelque 15 000 milliards de dollars viendraient s’ajouter au PIB mondial d’ici à 2030.
Le rapport revient sur les 4 étapes classiques qui constituent le cycle traditionnel de vie des données : collecte, stockage, analyse et transformation. Stockage objet, la start-up française OpenIO mise sur l'open source. Les premiers clients d’OpenIO ont été ses sociétés sœurs Vade Retro Technology et Scalair.
OpenIO vient concurrencer Scality sur le marché du stockage objet avec une solution reposant sur le concept de « Conscience ». Après Scality, Hedvig ou encore Minio, sans oublier toutes celles déjà rachetées par un grand fournisseur - comme Amplidata par HGST ou Cleversafe par IBM - une nouvelle start-up arrive sur le marché du stockage objet.
OpenIO, c’est son nom, a été créée en juin dernier par Georges Lotigier, PDG de Vade Retro Technology et Président de Scalair. Ce dernier, qui nous avait parlé de ce projet en février dernier sur le salon IT Partners, s’est associé à six ingénieurs pour lancer cette jeune pousse installée à Hem dans le Nord-Pas de Calais mais avec un bureau à San Francisco sur Sansom Street. Elle compte déjà 10 collaborateurs. SanDisk lance de la mémoire flash survitaminée pour l'IoT. L’Industrial XT iNAND embedded flash drive présentée par SanDisk.
(credit : SanDisk) SanDisk va utiliser des composants plus solides pour fabriquer une mémoire flash iNAND destinée aux appareils connectés. Cette dernière disposera d'une meilleure durée de vie et pourra fonctionner dans des conditions climatiques particulièrement difficiles. Aujourd’hui, la mémoire flash est le support de stockage par excellence des téléphones, des tablettes et des appareils photo. Mais, même si elle remplit parfaitement sa fonction, cette même mémoire flash ne peut être intégrée en l’état dans des caméras de surveillance de sécurité, des tours de téléphonie cellulaire ou sur un réseau électrique. NuoDB, une nouvelle architecture de base de données pour le cloud. Les bases de données relationnelles sont nées il y a une quarantaine d’années.
Avec le cloud, il fallait en revisiter l’architecture pour qu’elles soient adaptées à ce nouveau monde. NuoDB[1] a relevé le défi. Bonnes pratiques. Kudu, le nouveau système de stockage Hadoop de Cloudera. Cloudera annonce la version bêta publique de Kudu, un nouveau système de stockage orienté colonnes pour Hadoop, accélérant l’analyse des données.
Complétant les options de stockage Hadoop existantes – HDFS et Apache HBase – Kudu est un moteur de stockage Hadoop natif qui supporte à la fois les accès aléatoires à basse latence et les analyses haut-débit, visant à simplifier les architectures Hadoop pour des utilisations en temps réel de plus en plus répandues. Une version bêta publique est disponible immédiatement sous licence open source Apache et sera transféré vers l’incubateur de l’Apache Software Foundation dans le futur.
Jusqu’ici, les développeurs étaient forcés de choisir entre une analyse rapide avec HDFS et une mise à jour efficace avec HBase. Conçu par Cloudera et Intel, Kudu a été conçu pour utiliser les innovations développées à travers « pmem », le projet de mémoire persistante d’Intel. Kudu, le nouveau système de stockage Hadoop de Cloudera.
Le cloud modifie la gestion des mots de passe Alain Logbo, LogMeIn. Les PME transfèrent de plus en plus souvent leurs outils de travail dans le Cloud.
De plus, la frontière entre l’usage personnel et l’usage professionnel de la technologie est de plus en plus floue à mesure que les employés choisissent d’utiliser leurs applications préférées au bureau. Malgré les économies et les gains de productivité liés au passage des outils de travail dans le Cloud, la réalité reste un cauchemar logistique pour les responsables quoi doivent désormais gérer toute un arsenal d’identifiants et de mots de passe associés à ces applications. Ajouter à cela les choix de mots de passe faibles d’une bonne partie de la population, et vous obtenez un trou béant dans la sécurité qui séduirait même le plus novice des hackers. La possibilité de travailler à tout moment, n’importe où et sur n’importe quel appareil est devenu le mantra des employés d’aujourd’hui, et cela pousse les entreprises à adopter le Cloud.
VMworld 2015 : La virtualisation de réseau, clef de la sécurité dans l'entreprise. Lors du VMworld qui se tient actuellement à San Francisco (du 30 août au 3 septembre), le CEO de VMware a déclaré que la virtualisation, et en particulier la virtualisation de réseau, était la pièce manquante de la sécurité dans l'entreprise.
Selon VMware, très favorable à la virtualisation complète du centre de calcul, les DSI concernés par la protection de leurs infrastructures devraient s’intéresser davantage à la mise en réseau virtuelle. La solution existe depuis un certain temps, mais n’est pas aussi populaire que la virtualisation de serveurs. « Le secteur de la sécurité est mal organisé et complexe, et nous consacrons la plus grosse partie de nos budgets à acheter des produits qui ne résolvent pas vraiment le problème. Nvidia GRID 2.0 : Un bureau graphique virtualisé 2 fois plus performant. Pour rassurer les entreprises, Google lance Drive for Business certifié ISO 27018.
Avec la certification ISO 27018 pour son service Drive for Business, Google veut rassurer les entreprises quant à l'exploitation et la conservation de leurs données.
Pour séduire davantage d'entreprises dans un marché encombré, Google dote Drive for Business de fonctions de conservation des données. Désormais certifié ISO 27018 pour son service Drive for Work, le géant du web assure que les données resteront privées. Mais, il doit convaincre les utilisateurs. Test SanDisk Ultra 200 Go : Une carte aujourd'hui sans concurrence. Grâce à l'empilement de puces flash, SanDisk propose 200 Go dans une carte microSD.
Les progrès dans le domaine des composants flash permettent aujourd'hui à SanDisk de proposer des cartes particulièrement gonflées avec ici une capacité maximale de 200 Go. Pour répondre aux besoins des utilisateurs de terminaux mobiles, SanDisk commercialise la carte microSDXC Ultra 200 Go fonctionnant sur bus UHS-I, d’une capacité de 200 Go (183 Go sur un Sony Xperia Z3). Un espace de stockage impressionnant quand on sait que les premières cartes microSD ne dépassaient pas 32 Go. Pour atteindre cette capacité, le constructeur a empilé les puces mémoire comme sur sa carte de 128 Go. Certifiée classe 10, cette carte assure un débit de 19 Mo/s en écriture et 90 Mo/s en lecture.