L'Iran et la Chine signent un «pacte de coopération stratégique de 25 ans» Tension et guerre des mots entre Téhéran et Washington. Publié le : 23/04/2020 - 22:17 Malgré la pandémie, la guerre des mots se poursuit entre les Etats-Unis et l’Iran.
La semaine dernière des navires militaires des deux pays se sont frôlés dans les eaux du golfe Persique. La tension est très vive entre les deux pays et ces dernières heures des déclarations belliqueuses ont été échangées. ⚡️Iran vs États-Unis: comprendre le CONFLIT en 4 minutes. Untitled. Influence et ingérences de la République islamique d'Iran, par Cécile Marin (Le Monde diplomatique, février 2018) Pierre Conesa : « Trump et l’Iran, une fabrication de l’ennemi » Iran : au cœur des tensions - Le Dessous des cartes. Les Etats-Unis durcissent le ton contre l’Iran, les prix du pétrole s’envolent. « L’Iran va mal, mais la République islamique ne s’écroule pas » Voir aussi Les 40 ans de la révolution en Iran : les mois qui ont fait basculer le règne du chah L’Iran célèbre, lundi 11 février, les 40 ans de la révolution qui a donné naissance à la République islamique.
Mais avec le retour des sanctions américaines, le pays n’a pas le cœur à la fête. Notre journaliste Louis Imbert, qui suit l’actualité du pays et du Proche-Orient, répond à vos questions sur l’état d’esprit des Iraniens, alors que la situation économique n’en finit pas de se dégrader, et alors que nombre de promesses de la révolution n’ont pas été tenues. Il revient aussi sur les blocages de la vie politique iranienne et sur la tentation du changement de régime qui anime Washington. Eude : Cet anniversaire n’a pas l’air gai. Louis Imbert : En effet, l’Etat iranien a organisé des célébrations sans plus d’apprêt qu’à l’ordinaire. Pour autant, la République islamique ne s’écroule pas.
L’Europe va présenter sa solution pour commercer avec l’Iran. Embargo : l'Europe s'apprête à tendre la main à Téhéran. Une officielle américaine de haut niveau avait fait spécialement le déplacement.
Ce 15 novembre, l’ambassade des Etats-Unis à Paris organise une réception avec des représentants de plusieurs entreprises françaises. La maîtresse de cérémonie s’appelle Sigal Mandelker, elle est sous-secrétaire pour le terrorisme et le renseignement financier au département du Trésor. Dans son portefeuille figure notamment l’Office of Assets Control (Ofac), le «bureau de contrôle des actifs étrangers», que tout le monde désigne par son acronyme anglais, comme s’il s’agissait d’un nom commun.
Accord sur le nucléaire Iranien (Accord de Vienne) Les 40 ans de la révolution en Iran : huit articles pour comprendre un anniversaire au goût amer. Interminable révolution. Il y a quarante ans, le début de la Révolution iranienne. Dans les yeux d'enfant de Mohammad Hassan Sharifizadeh, la révolution qui allait emporter le dernier chah d'Iran a commencé il y a quarante ans par une scène particulièrement inhabituelle dans une mosquée de Qom.
Le 18 dey 1357 du calendrier iranien (8 janvier 1978), "j'avais huit ans" et "nous avions une cérémonie religieuse", se souvient ce vendeur de confiseries sur l'esplanade du sanctuaire de Fatima Massoumeh, lieu de pèlerinage qui vaut à Qom d'être l'une des villes saintes les plus importantes d'Iran: le mollah "a enlevé son turban et l'a jeté par terre en affirmant qu'on avait insulté notre source d'inspiration", l'ayatollah Ruhollah Khomeiny. Symboliquement, ce geste qui revient à se déposséder d'un signe sacré est extrêmement fort et ne peut être justifié que par une offense des plus violentes. Et ce jour-là, l'affront est de taille. L'Iran à court d'eau. Iran: participation d'environ 60 % aux élections. De premiers résultats commencaient à être publiés samedi en Iran au lendemain des deux scrutins cruciaux pour le président modéré Hassan Rohani et ses alliés réformateurs qui espèrent l'emporter face aux conservateurs pour continuer leur politique d'ouverture.
La Russie se déploie militairement en Iran, par Valentin Vasilescu. Le 30 septembre 2015, la Russie a déployé un groupe de bombardiers de combat sur la base aérienne de Hmeymim pour débuter la campagne de bombardements contre les jihadistes en Syrie.
Le 23 novembre 2015, le président Vladimir Poutine a effectué une visite en Iran. Il est supposé que, durant cette visite, il avait demandé l’autorisation d’utiliser la base aérienne de Hamadān pour au moins une escadrille de bombardiers lourds Tu-22M3 russes qui devait opérer en Syrie. Les conditions de livraison des missiles anti-aériens russe S-300 à l’Iran contenaient l’autorisation d’utilisation par les Russes de cette base aérienne.
Comment General Motors veut empêcher Peugeot et Renault de revenir en Iran - Challenges.fr. "Wait and see".
Egale prudence chez Peugeot Citroën et Renault, qui brûlent de retrouver leurs positions perdues en Iran, où ils fournissaient, jusqu’en 2011, 40% du marché automobile. Les consommateurs veulent des voitures modernes. "Treizième producteur automobile en 2011, l’Iran a un potentiel considérable qui est sous-exploité, rappelle Patrick Blain, président de l’Organisation internationale des constructeurs automobiles. Les partenariats sont en place, il n’y a pas de raison de ne pas revenir, dès 2014, au chiffre de production 2011 d’1,6 million de véhicules et atteindre à terme les 2 millions. " Normalement, tout devrait rouler pour les Français, après la levée partielle de l’embargo, en contrepartie de l’accord conclu le 24 novembre à Genève avec le groupe des six (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Allemagne) qui limite les activités nucléaires de Téhéran.
Les entreprises américaines accélèrent leur retour en Iran. Anticipant la levée des sanctions, Chrysler, Cisco ou Boeing préparent le terrain pour remporter des contrats.
Alors que les négociations politiques entre les Occidentaux et l'Iran avancent, les sociétés outre-Atlantique multiplient les contacts auprès de Téhéran. Dans le secteur automobile, le groupe Chrysler a transmis à la présidence iranienne une offre d'investissements sur ce vaste marché de 75 millions de consommateurs, affirme au Figaro un homme d'affaires à Téhéran. North Dome. Description[modifier | modifier le code] Le gisement gazier North Dome / South Pars est un unique champ gazier, quoique ayant une appellation double.
North Dome — parfois North Field — pour le Qatar, du fait de sa position géographique par rapport au territoire de l'émirat, les Iraniens l'appellent South Pars, pour « Perse du Sud », là encore question de position géographique[1]. Prospection[modifier | modifier le code] Exploitation[modifier | modifier le code] Les conditions d'exploitation sont plutôt favorables, avec un plancher océanique situé à environ 65 m de profondeur, et un réservoir imprégné de gaz à 3 km sous la surface[1].
Selon les chiffres du département américain à l'énergie (EIA), North Dome contient 24,3 Tm3 de gaz ; South Pars contiendrait 8 Tm3 supplémentaires. La guerre Iran-Irak (1980-1988), par Alain Gresh & Dominique Vidal (Le Monde diplomatique, juin 2007) En septembre 1980, le régime baasiste de Bagdad envahit l’Iran.
Ses objectifs sont multiples. Il veut « récupérer » le Chatt Al-Arab, confluent du Tigre et de l’Euphrate qui, long de 200 kilomètres, se jette dans le golfe Arabo-Persique, et le Khouzistan iranien. Il compte également porter un coup mortel à la révolution islamique, qu’il estime prête à tomber.