Dans le cerveau d'un électeur. Les hommes politiques ont recours à de nombreuses techniques pour garder leurs électeurs traditionnels, comme pour élargir leur audience.
On ne s’étonnera donc pas de constater que les responsables des campagnes tentent de tirer profit de notre connaissance de plus en plus approfondie du fonctionnement du cerveau. «The Political Brain», de Drew Westen (*), spécialiste de psychologie clinique et politique, s’appuie sur l’analyse du scanner cérébral de quinze militants démocrates et de quinze militants républicains, réalisé au cours du dernier mois, particulièrement passionné, de la campagne présidentielle de 2004.
Le test consistait à projeter devant chacun d’entre eux des images de leur candidat favori, John Kerry et George W. Bush respectivement, en train de contredire son adversaire. Le curieux dîner entre des parlementaires et un cigarettier américain. Comment Sarkozy a enterré l’écologie - Bilan du quinquennat. Le Grenelle de l’environnement, c’était il y a bien longtemps.
Que reste-t-il de ce début en grande pompe du quinquennat ? Le transport routier a-t-il reculé ? Les énergies renouvelables se sont-elles développées ? L’agriculture bio a-t-elle été soutenue aux dépens des pesticides ? Basta ! Ce devait être « un New Deal écologique », selon Nicolas Sarkozy. . « Le Grenelle était avant tout une autopromo élyséenne », fustige Stephen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’environnement. Arnaque n° 1 : le transport routier favorisé « Toutes les décisions publiques seront désormais arbitrées en intégrant leur coût pour le climat et la biodiversité, affirmait Nicolas Sarkozy il y a à peine cinq ans.
Financement des institutions de santé publique. L’AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) est cet organisme qui est habilité à autoriser la mise sur le marché d’un médicament.
Son rôle affiché est un rôle de vigilance et de protection du consommateur. Sauf que... Dans un rapport gardé secret pendant un certain temps, des inspecteurs de l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) ont dévoilé des choses qui laissent à réfléchir. Ce rapport, remis au Ministre de la Santé en Août 2007, commençait ainsi son article 2.4.3 sur la place excessive de l’industrie pharmaceutique dans le système de santé : Jean-Michel Alexandre Responsable Afssaps. Vendredi 1 février 2013 5 01 /02 /Fév /2013 13:15 Encore un pourri Grâce au scandale du Médiator, un nouveau prédateur a été découvert, en attendant que l’on en découvre d’autres, car ils sont de plus en plus nombreux à être dépistés.
Les juges parisiens chargés d'instruire l’affaire du Mediator ont convoqué pour la mi-février plusieurs personnalités qui risquent fort d’être enfin mises en examen. En particulier, deux ex-cadres de l'Agence nationale de sécurité du médicament, Jean-Michel Alexandre et Éric Abadie. Selon TF1 News, dès le mois d’avril 2012, le docteur Éric Abadie, diabétologue à l'hôpital européen Georges Pompidou, président du Comité d'évaluation des médicaments à usage humain (CHMP) à l'agence européenne du médicament (EMA) a démissionné de ce poste qu’il occupait depuis 2007 en avril 2012, avec effet immédiat. Dr Alain Milon autre sénateur lié au labos. Nicolas About sénateur ex-employé Servier/Sanofi. Fin 2010, le scandale du Médiator déferle la chronique.
Les responsables politiques semblent découvrir le pot au rose. On s'indigne (depuis le petit livre de Hessel, c'est la mode). On demande un rapport à l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales). L'IGAS rend son rapport. Il est accablant pour les politiques, pour l'AFSSAPS, pour les labos. Non seulement tout cela n'est pas nouveau, mais les pouvoirs publics étaient alertés depuis longtemps.
Petit rappel des faits : le 8 juin 2006, un rapport est remis au sénat par Marie-Thérèse Hermange et Anne-Marie Payet, au nom de la commission des affaires sociales (disponible ici). Quand l'état-major américain planifiait des attentats terroristes contre sa population. Alors que l’ensemble des dirigeants politiques occidentaux et de la presse présentaient les événements du 11 septembre 2001 comme des attentats terroristes exclusivement fomentés par al-Qaeda, nous avons expliqué dès le 27 septembre qu’ils avaient été réalisés avec le soutien, sinon sur ordre, d’un groupe d’officiers supérieurs américains.
Nous avons présenté une dissidence du réseau stay-behind de l’Alliance atlantique, les Special Forces Underground (Forces spéciales clandestines) et leur vitrine légale, la Major General Edwin A. Walker Society, comme les probables concepteurs de cette opération. Nos informations ont plongé une partie de nos lecteurs dans la perplexité. Six semaines plus tard, les attentats du 11 septembre restent attribués par les Occidentaux aux seuls réseaux d’Oussama Ben Laden, mais les autorités ont été forcées de reconnaître que la responsabilité des attentats à l’anthrax revient à l’extrême droite américaine. L’opération Mangoose.
Graphes d'activité parlementaire de Roland Povinelli sur les 12 derniers mois. Assistant parlementaire de l'opposition. Assistant Parlementaire. VoteWatch Europe: European Parliament, Council of the EU.