Apprenons à déjouer les fausses images en une heure chrono ! Posons le cadre Cette séance s’inscrit dans un dispositif coordonné par le CLEMI de Besançon : Résidence de journaliste auquel participe cette année, la classe de Troisième Prépa-Métiers du lycée Georges Colomb de Lure.
Un projet mené en collaboration par Anne Petit, professeure-documentaliste et Isabelle Gavazzi, professeure en lettres-histoire, et qui a pour finalité la participation de la classe au Concours de Unes organisé par le CLEMI de l’académie de Créteil. Pour nous accompagner dans cette aventure médiatique, nous bénéficions des conseils et de l’expertise d’un journaliste de l’Est Républicain (PQR).
Une problématique informationnelle Suite à l’actualité de ce début d’année et au travail d’analyse de dépêches de l’AFP lors de précédentes séances, de nombreux questionnements ont été soulevés par les élèves. Nos intentions pédagogiques. Jolis 2016 version de travail. Sans titre. KAillerie. Les “bulles de filtres” : est-ce vraiment la faute d'Internet ? L’expression “bulles de filtres” est devenue assez familière en 2016, après l’élection de Donald Trump, pour désigner la manière particulière dont l’information se diffuse dans les réseaux sociaux.
On sait que sur Facebook, Twitter ou autre, l’information qui nous arrive est sélectionnée et hiérarchisée par des programmes informatiques qui nous donnent à voir ce qui est censé nous intéresser le plus, en fonction des contenus que nous partageons le plus, ou sur lesquels nous cliquons. Cela crée nécessairement un biais. Quelques années plus tôt, un activiste américain du nom d’Elie Pariser a donné un nom à ce biais - les “bulles de filtres” - en expliquant que les algorithmes qui triaient et hiérarchisaient l’information nous enfermaient dans des bulles qui nous empêchaient de voir d’autres opinions que celles que l’on partageait déjà. Depuis quelques mois, des travaux viennent nuancer l’évidence de ces explications Trois leçons à en tirer. Pourquoi et comment le CSA a réalisé une étude sur l’un des algorithmes de recommandations de YouTube. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a mené une étude sur l’un des algorithmes de recommandation de YouTube.
Explications. Micro-trottoir (réalisé par le CSA) Volume 90% Press shift question mark to access a list of keyboard shortcuts Play/PauseEspace Augmenter le Volume↑ Diminuer le Volume↓ Avancer→ Reculer← Sous-titres Activés/Désactivésc Plein Écran/Sortir du Mode Plein Écranf. Pourquoi et comment le CSA a réalisé une étude sur l’un des algorithmes de recommandations de YouTube. Espaces et temps d’apprentissage : retour sur une belle table ronde LUDOVIA#16. Share Tweet Email Retour sur une table ronde LUDOVIA#16, dont la problématique s’articulait autour de : « Architecture scolaire : comment coopérer et s’appuyer sur l’expérience utilisateur pour enrichir le projet de la collectivité ».
Les intervenants présents étaient Alexandra Mounier (directrice adjointe du plan numérique pour l’éducation chez Yvelines numérique), David Marcos (proviseur du lycée général et technologique Henry Matisse), Laurent Helius (IA-IPR d’anglais, conseiller académique en recherche développement, innovation et expérimentation (CARDIE), Sébastien Brunet (directeur de l’ingénierie des services Réseau Canopé) et Philippe Méro (associé cabinet COPILOT-PARTNERS). Une table ronde formidablement animée par Christophe Caron, chef de projet Archiclasse à la DNE. Quelles démarches ? Design thinking : la nouvelle méthodologie en vue à l’école.
Design thinking – getty images Le design thinking, qu’est-ce que c’est ?
A Canopé, nous parlons plutôt de co-design. C’est une méthodologie qu’on expérimente depuis deux ans dans le champ de l’éducation, mais qui est commune, sur la forme, à diverses disciplines. Nous repensons actuellement toute notre offre et nos services autour de cette démarche créative, car elle permet de fabriquer ses propres solutions en donnant du sens. Présentation Design Thinking Profdoc by jfiliol.pro on Genial.ly.
Innovation, design thinking et professeur documentaliste,Juliette Filiolprofesseure documentaliste,@JFiliol,1- Innover : c'est quoi ?
,Sommaire,6- Design thinking et profdoc,9- Appliquer le Design Thinking à d'autres contextes,8- Design thinking et TraAMDoc,5- Design thinking en bibliothèques,7- Espaces, politique documentaire...,4- Et concrètement ? ,3- Design Thinking et innovation,2- Innover, pourquoi ? ,L'innovation pédagogique en 10 points,Le blog de Marcel Lebrun,- Conférence inversée de Marcel Lebrun à Écritech8,INNOVATION,D’après le CNIRé (Conseil national de l’innovation pour la réussite éducative), une pratique innovante est une action pédagogique caractérisée par l’attention soutenue portée aux élèves, au développement de leur bien-être et à la qualité des apprentissages. (...)Innover, ce n’est pas forcément inventer quelque chose qui n’existe nulle part ailleurs.
Design thinking : la nouvelle méthodologie en vue à l’école. Quel environnement favorable à l'apprentissage ? le principe du tiers lieu, l'exemple des learning center ? Avez-vous observé comment les usages des bibliothèques se transforment ces dernières années ? Avant les apprenants venaient y chercher des livres ou des revues, s’installaient côte à côte à de grandes tables de travail et prenaient des notes dans un silence de cathédrale. Aujourd’hui ils viennent avec leur ordinateur portable, continuent d’emprunter des livres mais regardent également des ressources en lignes, et… recherchent des espaces où ils peuvent échanger avec leurs collègues et travailler en petit groupe. Le développement des informations numériques explique en partie ce changement, mais pas seulement. Le recours plus systématique aux méthodes actives (pédagogie par projet, production collaborative de document …) y est pour beaucoup.
PROFESSEURS DOCUMENTALISTES & CDI. Dans le cadre des Travaux académiques mutualisés en Documentation, nous avons travaillé en binôme sur une réflexion autour de la signalétique. En premier lieu ont émergé toutes une série de questions : Pourquoi une signalétique au CDI ? Quels types de signalétique ?