Les secrets de Bodyguard, l'application qui protège contre le cyberharcèlement (et qui a déjà séduit Bilal Hassani) L'application a été développée par un Niçois de 23 ans et lancée il y a deux ans.
Elle est utilisée par 27 000 personnes, dont des membres de la majorité, qui en font la publicité. "Je les remercie vraiment énormément parce qu'ils font un travail de filtrage et de modération qui est vraiment super bon – bien meilleur que celui des applications [Twitter, YouTube...] pour l'instant. J'ai plein de trucs bien odieux qui passent à la trappe et ça c'est super cool ! " Invité jeudi 10 janvier de l'émission "Quotidien" sur TMC, Bilal Hassani n'a pas tari d'éloges au sujet de Bodyguard, une application qu'il utilise pour "bloquer les haters" sur les réseaux sociaux.
Le jeune homme de 19 ans d'origine marocaine, qui fait alors figure de favori pour représenter la France au concours Eurovision de la chanson, sait de quoi il parle : son homosexualité assumée, ses perruques et son maquillage lui valent d'être victime d'un cyberharcèlement raciste et homophobe particulièrement virulent. (cyber)harcèlement. En tant que professeurs documentalistes, de par nos missions, nous sommes très sensibles au sujet des violences en ligne que peuvent rencontrer les élèves.
Nous sommes nombreux à intégrer le sujet lors de séances d’EMI, de séances consacrées au « vivre ensemble » ou de projets en lien avec le climat scolaire. Par les contacts réguliers que nous avons avec les élèves, par les interventions que nous menons en classe, par les discussions que nous avons avec eux au CDI, nous jouons aussi un rôle de « vigie ». C’est parfois vers nous qu’ils se tournent quand ils repèrent des situations problématiques. D’ailleurs, quel professeur(e) documentaliste n’a jamais été interpellé(e) par son ou sa chef d’établissement au sujet d’un problème de violence en ligne commis par un ou plusieurs élèves de l’établissement ? A qui n’a-t on jamais demandé, dans l’urgence, de prévoir une ou plusieurs interventions avec une classe pour armer les élèves à mieux vivre un problème semblable ?
1. 2. 3. Webinaire 1jour1actu le direct prevenir le harcelement a lecole le replay. Le virtuel, c’est réel ! Programme pour le 3e cycle du primaire : On est encore des enfants! La structure du programme est « clé en main » pour créer, d’une part, un cadre sécurisant et, d’autre part, pour faciliter l’animation.
Ainsi, pour chaque thématique, sont clairement identifiés : D’abord issues d’une recension des écrits et des résultats de notre recherche, le choix des six thématiques du programme On est encore des enfants! Repose également sur le respect du développement psychosexuel des enfants âgés de 10 à 12 ans et la prévention de la sexualisation précoce. Trois des thématiques sont destinées aux enfants de 5e année et trois autres, aux enfants de 6e année du primaire. *Pour citer ce document : Ministère de l’Éducation. (2006). Programme pour les deux cycles du secondaire : Oser être soi-même. Suite à l’utilisation d’Oser être soi-même, vous êtes invités à nous faire part de vos commentaires (de façon anonyme) via notre questionnaire d’évaluation en ligne.
Pour y accéder, cliquez ici : Vous serez également invités à évaluer l’intervention réalisée à l’aide du programme Oser être soi-même en cliquant sur un icône à la toute fin de chacun des diaporamas d’accompagnement à l’animation. Pour accéder à des résultats et commentaires quant à l’évaluation du programme Oser être soi-même, voir le Bilan des réalisations Merci à tous ceux et celles qui utilisent ce programme et qui nous partagent leurs expériences d’intervention en répondant à notre sondage en ligne.
Génération Numérique - Nos Actions - Formule Génération Numérique. Le « Happy slapping » ou « vidéo-agression » / Dossiers / Actualités - Police nationale - Ministère de l'Intérieur. Cette « mode » a pris de l'ampleur en France et de nombreuses vidéos sont partagées sur les réseaux sociaux.
Dans ces scènes filmées, les protagonistes sont tous coupables : ceux qui commettent les violences, ceux qui les filment, et ceux qui les diffusent. Ainsi, le « happy slapping » est sanctionné comme un « acte de complicité des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne » et le fait de filmer est autant répréhensible que le fait de commettre les violences elles-mêmes. Image corporelle. Cyberintimidation - Aperçu. Voici quelques statistiques pour illustrer l’ampleur du problème : environ un quart des jeunes disent avoir été la cible de cyberintimidation [1].
Cependant, le risque n’est pas le même pour tous les élèves. Plusieurs des facteurs qui exposent un jeune à l’intimidation hors ligne – la pauvreté [2], le handicap [3], le fait d’être membre d’une minorité visible [4] et le statut GLBT [5] – accroissent la possibilité qu’il soit aussi victime de cyberintimidation. Le terme « cyberintimidation » n’est peut-être pas très juste. La définition traditionnelle de l’intimidation implique une inégalité de pouvoir ou de force entre l’intimidateur et la victime ; or, plusieurs des actes que les adultes qualifient de cyberintimidation se produisent entre des personnes ayant plus ou moins le même statut.
De plus, en matière de cyberintimidation, il est parfois difficile de distinguer clairement entre la cible et l’intimidateur. . [1] Patchin, J. (cyber)harcèlement. Comment lutter contre le harcèlement scolaire ? Non au harcèlement – Appelez le 3020. 2016 Campagne Non au harcèlement Guide 2nd degré que faire pour agir contre le harcèlement.
Campagne Non au harcèlement Dispositif des ambassadeurs lycéens. 120207 harcelement charte de labellisation 207135.