La citoyenneté numérique. 1Dresser des perspectives de recherches n’est pas chose aisée [1][1]Nous remercions ceux qui nous ont incitées à nous atteler à…[1]Nous remercions ceux qui nous ont incitées à nous atteler à….
Si les sciences sociales sont bien outillées pour comprendre et expliquer les phénomènes existants, grâce au travail d’analyse qui les sous-tend, peu d’opérations scientifiques, même en sciences exactes, ouvrent à une démarche prédictive (Matalon, 1988 ; Favre, 2005). 2Les sciences sociales présentent ensuite cette particularité d’être enserrées dans les temporalités et les contextes qu’elles étudient en même temps qu’elles sont tributaires du langage naturel (Passeron, 1991).
À ce titre, elles tendent parfois à produire des variantes infinies de notions, plus ou moins précises, comme cela s’observe par exemple avec le concept de « capital », qui connaît de multiples déclinaisons dont la solidité théorique n’est pas toujours assurée (Neveu, 2013). 6Qu’est-ce que la « citoyenneté numérique » ? L'accès aux droits à l'ère numérique, Conférence de Pierre Mazet. Fracture numérique : l'illectronisme touche 17% de la population. Capital numerique : pouvoir d'agir des habitants des quartiers prioritaires. Internet, pourquoi et comment reprendre le contrôle ? Le MOOC CHATONS est un parcours de formation visant à apporter un regard critique et des prises de conscience sur la façon dont les géants du numérique agissent pour imposer leur web et sa place dans nos sociétés.
Dans ce premier module intitulé Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ? Les participants et participantes sont invité⋅es à découvrir ce que seraient un Internet citoyen et un web décentralisé. Organisé en 3 séquences pédagogiques et composé de 12 leçons, ce premier module se donne pour objectif de permettre à chacun⋅e d'entre nous de devenir des acteurs et actrices d’un Internet « bien commun », respectueux de l’individu et du collectif. Je m'inscris à ce module ! Les Français et le numérique : quels usages courants ? - Laboratoire d'Analyse et de Décryptage du Numérique. Il est à souligner en outre qu’entre 6 et 9 % des internautes français n’échangent jamais de mail ou ne recherchent jamais d’informations sur Internet, qu’elles soient instantanées ou pratiques.
Si sont ajoutés les individus effectuant ces activités « moins souvent » qu’une fois par mois, le chiffre passe à 15 %. Ainsi, bien qu’internautes, ceux-ci sont sans doute à considérer comme des individus « éloignés du numérique ». Certains facteurs jouent sur le fait de réaliser ou non ces activités exclusivement numériques (échange de mails, recherche d’informations instantanées et pratiques). L’âge demeure l’un des facteurs explicatifs le plus prégnant : les plus jeunes ont tendance à réaliser plus souvent ces activités (graduel). Le fait de posséder un smartphone joue aussi, notamment dans le cas des consommations quotidiennes. Lutte contre l'illectronisme - Sénat. La mission d'information a organisé, en téléconférence, une table ronde des opérateurs et des sociétés du numérique, en présence de : - Sébastien GROS, directeur des affaires institutionnelles d'Apple France ;- Anthony COLOMBANI, directeur des affaires publiques de Bouygues Telecom ;- Charlotte RADVANYI, chargée de relations institutionnelles, et Olivier ESPER, responsable des relations institutionnelles, de Google France ;- Ombeline BARTIN, directrice des relations institutionnelles du groupe Iliad/Free ;- Laurence LAFONT, directrice de la division marketing et opérations, et Hector DE RIVOIRE, responsable des affaires publiques, de Microsoft France ;- Françoise COSSON, déléguée générale de la Fondation Orange, directrice Mécénat et Solidarité, et Claire CHALVIDANT, directrice des relations institutionnelles du groupe Orange ;- Julie LESEUR, déléguée générale de la Fondation SFR et Claire PERSET, directrice des relations institutionnelles de la Fondation SFR et de la RSE - SFR.
La vidéo. Quel numérique voulons-nous pour demain ? Pour la mission d’information du Sénat sur l’inclusion numérique, l’illectronisme ne disparaîtra pas d’un coup de tablette magique ! - Sénat. La mission d’information sur la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique, créée par le Sénat à la demande du groupe Rassemblement démocratique et social européen (RDSE), a adopté son rapport le jeudi 17 septembre 2020.
Après l’audition de 90 personnes, principalement en visioconférence, et un déplacement sur un "Territoire d’action pour un numérique inclusif", elle appelle à une mobilisation des territoires pour la réussite de la politique publique d’inclusion numérique. La dématérialisation généralisée de services publics à marche forcée laisse 3 Français sur 5 sur le bord de la route, tant les démarches administratives en ligne sont complexes. On compte au moins 14 millions de Français ne maîtrisant pas les usages du numérique. Lutte contre l’illectronisme : des moyens insuffisants, selon le Sénat. « Quelle que soit sa forme, l’exclusion numérique constitue un handicap majeur dans une société toujours plus numérisée.
L’accélération de cette évolution avec le confinement et le développement du télétravail rendent encore plus urgente l’inclusion numérique du plus grand nombre », a souligné le rapporteur Raymond Vall (RDSE, Gers) de la mission d’information du Sénat sur l’inclusion numérique. Fournir un mode d’emploi du numérique Ce commentaire accompagnait un rapport adopté jeudi 17 septembre par la mission d’information dédiée à la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique du Sénat, qui a formulé 45 propositions, à l’issue d’un constat sans appel : « Une tablette magique ne suffit pas à effacer la fracture numérique (…) La priorité a longtemps été la couverture numérique du territoire, et non la maîtrise des usages par les personnes.
Structurer l’offre de médiation numérique. Rapport : l'illectronisme ne disparaitrait pas d'un coup de tablette magique ! L'inclusion numérique, un enjeu de résilience.