Observatoire national de la déliquance et de la réponse pénale. L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) est un département de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la Justice.
Il est doté d’un conseil d'orientation chargé d’assurer l’indépendance de ses travaux. Aux sources du sentiment d'insécurité. Délinquance. 17% des Français ont un sentiment d'"insécurité" L'observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) et l'Insee publient ce jeudi leur septième enquête annuelle dite de "victimation".
Elle consiste à interroger les Français sur les faits de délinquance dont ils disent avoir été victimes, ce qui contraste fortement avec les chiffres officiels. En 2013, observe-t-elle, plus de 17% des personnes interrogées disent avoir ressenti "à domicile" ou "dans leur quartier" un sentiment d'insécurité contre 16,3% en 2012 et mois de 13,3% en 2008. La proportion de personnes citant la délinquance "parmi les trois problèmes les plus préoccupants dans la société française" est aussi à son "niveau le plus élevé depuis 2007"(53%), fait encore valoir cette enquête. Hausse des cambriolages. Création de 49 nouvelles Zones de Sécurité Prioritaire. En Suède, les violences urbaines révèlent le déclassement des banlieues. Stockholm, correspondance. Les banlieues de plusieurs villes suédoises ont connu une quatrième nuit mouvementée après les premiers débordements de dimanche soir à Husby, dans la banlieue nord-ouest de Stockholm.
Dans la nuit de mercredi 22 à jeudi 23 mai, une trentaine de voitures ont été incendiées dans différents quartiers. En fin d'après-midi, des policiers étaient visibles sur la place du quartier d'Husby, un quartier défavorisé à majorité immigrée. Opération relations publiques, entre la sortie du métro et l'épicerie. Un jeune garçon de 10 ans s'est arrêté pour questionner une policière dont la poitrine est équipée d'une caméra. " C'est so uvent beaucoup plus violent dans les films que dans la réalité", répond la policière à une question inaudible. Banlieues : chronologie 1973-2006, par Olivier Pironet. Juin : création du groupe de réflexion Habitat et vie sociale (HVS), composé de hauts fonctionnaires de l’équipement, de l’action sociale et du secrétariat à la jeunesse, dont la mission est d’étudier les moyens d’améliorer les relations sociales dans les grands ensembles collectifs.
Le HVS est transformé en instance interministérielle l’année suivante. Mars : le dernier bidonville est détruit à Nice. Les cités de transit, censées être provisoires, vont succéder aux bidonvilles.Avril : création du Comité d’études sur la violence, la criminalité et la délinquance (CEVCD) au sein du ministère de la justice.Août : mise en place du fonds d’aménagement urbain (FAU), destiné à financer l’aménagement des centres-villes et de leurs quartiers. Mars : lancement du programme « Habitat et vie sociale » (HVS), visant à la réhabilitation des cités HLM. M. Violence urbaine. Émeutes urbaines, sentiments d’injustice, mobilisations associatives.
Les émeutes urbaines à l’épreuve des situations locales. 1 Ainsi, les affrontements avec la police constituent un facteur discriminant.
Ils ont été particuliè (...) 2 Selon les données du ministère de l’Intérieur, 9790 véhicules de particuliers ont été incendiés dur (...) 1La vague d’émeutes urbaines survenue en France dans les cités de banlieue à l’automne 2005 aura surpris tout le monde. Jamais en effet des troubles de cette nature n’avaient connu une telle ampleur en France – mais aussi en Europe –, tant par leur intensité que par leur durée et leur échelle.
Durant près de trois semaines, on a assisté non seulement à des affrontements violents 1 avec les forces de l’ordre, mais surtout à des milliers de voitures brûlées et à des centaines de bâtiments dégradés ou détruits dans près de 300 communes 2 Jamais aussi l’émeute n’avait connu une telle médiatisation, que ce soit par les médias locaux, nationaux et internationaux, les chaînes de télévision, la presse écrite ou sur le Net. 3C’est de là dont je suis parti. Presentation_Sequence_Vaulx. L'insécurité, un enjeu majeur pour les villes. Apparue à partir des années 60, la violence urbaine est un phénomène général à la plupart des sociétés modernes.
Toutefois, ses causes comme ses manifestations diffèrent d'un pays à l'autre. En France, elle exprimerait davantage une perte de confiance dans les institutions. De tout temps, la ville a été le théâtre de violences : agressions, vols, émeutes, crimes... Dans une missive adressée au maire de Londres en 1730, l'écrivain Daniel Defoe se plaint déjà que « les citoyens ne se sentent plus en sécurité dans leurs propres murs, ni même en passant dans leurs rues » (1). L'insécurité, un enjeu majeur pour les villes. Insécurité: le palmarès des villes de France. L'Express propose ici un état des lieux de la sécurité en France en 2012.
Cinq grands indicateurs ont été retenus : les violences aux personnes, les atteintes aux biens, les violences physiques crapuleuses, les cambriolages et les vols d'automobiles. Pour chacun de ces domaines, nous avons passé au crible l'ensemble du territoire, et mis en évidence les villes et les secteurs plus ou moins sûrs, en zone police comme en zone gendarmerie. Zones touristiques, zones à risques.