Économie souterraine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le terme économie souterraine ou clandestine regroupe trois formes d'activités très différentes : l'économie générée par le travail au noir, les délits économiques ou les activités criminelles ou délictuelles et leur recel. Cependant elles ont toutes au moins trois points communs : elles échappent aux règles économiques et sociales et à l'intervention de l'État ;elles ne donnent lieu à aucun prélèvement obligatoire (fiscal ou social) ;elles faussent le jeu de la libre concurrence par rapport aux activités légales, soit du fait de leur propre activité — travail au noir —, soit du fait de l'intégration de sommes provenant d'activités délictuelles ou criminelles, cherchant à se réinvestir — blanchiment d'argent.
Réglementations[modifier | modifier le code] Dans certains cas la réglementation permet de lutter efficacement contre certaines pratiques, même si leurs applications peuvent heurter la morale, par exemple : Économie sociale et solidaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'économie sociale ou économie sociale et solidaire (ESS) regroupe les organisations privées ou publiques (entreprises, coopératives, associations, mutuelles ou fondations) qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale[1]. Ce secteur représentait en 2012 près de 10% des emplois en France[2]. Les organisations de l'économie sociale adhèrent à des principes fondateurs, parmi lesquels[3]: recherche d'une utilité collective, non-lucrativité ou lucrativité limitée (bénéfices réinvestis au service du projet collectif), gouvernance démocratique (primauté des personnes sur le capital : « 1 personne = 1 voix », implication des parties prenantes)[4][5]. C'est par analogie avec le Tiers état ou le tiers monde, que ce secteur est parfois désigné comme le tiers secteur. Le premier secteur désigne ici le privé lucratif, et le deuxième secteur le public et para-public[7].
Les principes de l'économie sociale[modifier | modifier le code] Économie publique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Portail de l’économie. Économie de marché. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un système ouvert, anticipatif et dynamique[modifier | modifier le code] Au coeur de l'économie de marché, le mécanisme de l'offre et de la demande concourt à la découverte et à l'établissement des prix. Ce mécanisme opère par arbitrage pour un horizon donné et pour une qualité donnée entre des valeurs représentatives du bien ou du service concerné : d'une part la valeur de son coût intrinsèque (prix de revient) mais aussi d'autre part sa valeur d'échange (prix relatif, c'est-à-dire du prix d'un produit ou d'un service par rapport aux autres). Pour Robert Gilpin la dynamique de l'économie de marché fait intervenir également d'autres facteurs comme la concurrence et l'aptitude à la survie des acteurs dans l'activité économique [N 1].
Diversification du concept[modifier | modifier le code] Définition et distinctions[modifier | modifier le code] Distinction entre Économie de marché et capitalisme[modifier | modifier le code] [réf. nécessaire]