Not Kabul. Covid-19 : Propagande virale mensongère sémant la peur. Via L'Aile à Stick. « Le journalisme, c’est pas du spectacle » : rencontre avec un repenti des chaînes info. En septembre 2013, Antoine Genton m’a invité à prendre une bière.
Je ne le connaissais pas mais il m’a proposé de devenir l’un des deux débatteurs du Duel qu’il arbitrait sur i-Télé le vendredi à 23 h 30. La télé me terrifiait, j’avais une image épouvantable des débats organisés sur les chaînes info, je n’avais d’avis tranché sur rien, et, le soir, je tombais de sommeil vers 22 h. La carte “Médias français, qui possède quoi ?” mise à jour. C’est un excellent travail de veille, mené par le Monde Diplomatique et Acrimed depuis 2017.
La carte des médias français vient en 2020 prendre en compte les dernières acquisitions, notamment de Bolloré et Arnault. Des petites nouveautés certes, mais qui font toute la différence en ce qui concerne la ligne éditoriale des médias ainsi possédés. Les cartes sont en consultation libre et licence CC. 2017 – Horizon - La France a peur: le syndrome du grand méchant monde. La télévision est un anxiogène... - Neo Bien-être. Après un sommeil réparateur, la méditation du matin, le sport au quotidien, la positive attitude, avoir des objectifs, j'ai décidé il y a quelques années de me débarrasser de la télévision et quelle libération !
Un constat accumulé au fil du temps et qui ne tient qu'à moi, la télévision est un véritable anxiogène qui ne nous apporte rien de bon. Prenez un peu de recul sur les différentes "informations" quotidiennes qui y sont véhiculées, on parle de morts, guerres, attentats, catastrophes climatiques, serial killer, accidents etc. Force est de constater que se ne sont que des informations négatives. Intox médiatique et inf'Obésité : la société du stress permanent. Ce n’est pas parce que nous recevons beaucoup d’informations que nous sommes bien informés… Plus sournoise que la pollution de nos assiettes, de l’eau ou de l’air, il nous faut considérer la pollution mentale.
Les images et les informations délivrées par notre société ultramédiatisée peuvent en effet entraîner une véritable intoxication1, au sens médical du terme : une « altération de l’état de santé provoquée par l’action d’une substance toxique (poison) sur l’organisme ». L’idée que les informations que nous percevons puissent être source de maladies n’est pas commune. photo Lord Jérôme, sur Flikr, CC La possibilité que les pensées puissent nous rendre malades est rejetée par la médecine, ce qui n’empêche pas certains médecins de manier, parfois abusivement, l’argument du « psychosomatique » lorsqu’ils se trouvent désarmés devant un cas…
Decodage de 25 techniques de desinformation (PDF) Désinformation, propagande et manipulation. "La désinformation est un ensemble de techniques de communication visant à donner une fausse image de la réalité, dans le but de protéger des intérêts privés et d'influencer l'opinion publique.
Il est parfois employé dans le cadre des relations publiques. Le sens de ce mot, apparu au dernier quart du XXe siècle et proche du terme propagande, connaît des variantes importantes selon les auteurs. " (1) "Une désinformation n'implique pas nécessairement un complot ni même une visée consciente. Il est temps de tuer les grands médias (télé, radios, journaux…) ! Non, le titre de cet article n’est pas une menace de mort !
C’est une « mé-ta-phore » exprimant l’idée que si l’on arrêtait tous de regarder les médias « mainstream », les médias dominants… Ils mourraient ! « Il est grand temps que ça déménage ! Ces "événements"... qui n'existent pas ! 11 septembre 2001, New York : 3000 personnes périssent dans l’effondrement de deux tours, à la suite d’une attaque terroriste.
C’est un événement. Immense, infiniment commenté, tragique. L’Apocalypse, a-t-on dit... Chaque jour, sur Terre : 30 000 enfants de moins de cinq ans meurent de malnutrition et de maladies infectieuses. En dix ans, le nombre de faits divers dans les JT a augmenté de 73 % Le sociologue Pierre Bourdieu avait coutume de dire : "Les faits divers font diversion.
" Un baromètre de l'Institut national de l'audiovisuel (INA) révèle qu'en dix ans, le nombre de sujets consacrés aux faits divers dans les journaux télévisés du soir sur les chaînes historiques a augmenté de 73 %. Le rapport révèle qu'"avec plus de cinq sujets en moyenne par jour", les JT ont consacré aux faits divers sur l'année 2012 un total de "2 062 sujets contre 1 191 il y a dix ans". Au palmarès des plus relayés figurent en première place avec une confortable avance les actes de violence contre les personnes (agressions, meurtres, enlèvements, viols...), qui constituent la moitié des sujets diffusés. Se suivent dans l'ordre les accidents (naufrages, incendies, noyades...), les actes de banditisme et les violences anti-sociales, détaille l'INA. Lire aussi : "La publicité à la télévision s’effondre"
La BBC accusée par le régulateur britannique de diffuser de la propagande. L'Office of Communications a affirmé que BBC World News avait violé les règles du parrainage, à plusieurs reprises, en diffusant des films de «propagande» promouvant des gouvernements étrangers, des ONG et des organisations caritatives.
Un rapport de 112 pages de l’Office of communications (Bureau de communications, Ofcom), l’organe public de régulation des médias en Grande-Bretagne, équivalent du CSA français mais doté de pouvoirs plus étendus, accuse la chaîne BBC de ce que le quotidien The Daily Mail a qualifié de «violation flagrante» des règles de diffusion. Ofcom a mis la chaîne en garde contre «un risque inhérent à l’indépendance et l’intégrité de la BBC», après qu’il a été révélé que ce dernier avait acheté des films financés par des organisations extérieures et des gouvernements étrangers au prix symbolique d’une livre sterling. L’identité des donateurs a toutefois été gardée secrète.
Ruffin et Macron planifient le scénario médiatique. Télévision, le contrôle social chez soi. 200 mots à la minute : le débit oral des médias - Persée. 200 mots à la minute : le débit oral des médias 67 Le présent article esquisse une typologie schématique des allures de la parole médiatique en fonction de quelques rôles : l'orateur institutionnel, l'interviewé expert, le journaliste.
Parmi les constantes, certes fluctuantes mais significatives néanmoins, celles qui caractérisent le journal parlé méritent une attention particulière. Le débit oral des journalistes reflète, au même titre que le choix ou le traitement des sujets, la double et en partie contradictoire contrainte à laquelle sont soumis les médiateurs d'information : à la fois faire comprendre et captiver.