background preloader

Terriennes : la chronique vidéo

Terriennes : la chronique vidéo

http://www.tv5monde.com/cms/chaine-francophone/Terriennes/Chroniques/p-26733-Terriennes-la-chronique-video.htm

Related:  Des vidéos, des podcastsLa cause des femmes

entretien avec Nadine Boehringer Merci à Nadine Boehringer, Sandra Boehringer, Aude Bernhard et Valérie Niddam de nous avoir confié leur vidéo : « Le genre, c’est pas que de la théorie ! (mais aussi un peu) » (2014) Réalisation : Aude Bernhard et Sandra Boehringer (Université de Strasbourg) Montage et son : Valérie Niddam Cette vidéo a été réalisée pour servir de support pédagogique dans le cadre d’une séance de formation, à l’ESPE de Strasbourg, destinée aux futurs professeurs des écoles et consacrée à l’apport des études de genre aux pratiques pédagogiques (égalité filles-garçons, lutte contre les discriminations, contre le sexisme et l’homophobie, sensibilisation aux multiplicités des parcours de vie et des formes de famille).

Mesdames & Messieurs, webdocumentaire « Mesdames & Messieurs », un webdocumentaire pédagogique propose un voyage dans la vie des femmes sur quatre générations. Pour les enfants du numérique, née dans les années 90, l’égalité homme-femme est un acquis. Que connaissent les jeunes de vingt ans de cette conquête pourtant récente ?

Les médias sont-ils sexistes ? (vidéo) par Un collectif d’Acrimed, À l’occasion du 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes, Acrimed revient, en vidéo, sur la question de la place des femmes dans les médias. NB : Cette vidéo a été publiée pour la première fois sur notre site le 8 mars 2016. Elle est – malheureusement – toujours d’actualité. Sources des documents :- Chiffres issus du rapport 2015 du Global Media Monitoring Project ;- Le Talk Orange – Le Figaro, 17/09/2013 ;- L’interview de Daniel Schick – Europe 1 – 23/07/2012 ;- Déshabillons-les – Public Sénat – 04/07/2012 ;- Le Grand Rendez-Vous – Europe 1 – 15/03/2015 ;- C dans l’air – France 5 – 18/12/2013 ;- Le Parisien, 14/05/2015 ;- L’Express, 06/03/2013 ;- L’Express, 10/10/2012 ;- Femme Actuelle, 27/01/2016 ;- Metronews, 03/12/2013 ;- L’Opinion, 01/03/2016 ;- L’Express, 20/04/2012 ;- L’Express, 19/03/2014 ;- Public, 04/01/2016 ;- La Meuse, 24/10/2014 ;- Elle, 31/01/2013 ;- Voici, 03/12/2014. Pour poursuivre :

La folle vie de Lee Miller, muse de Man Ray, photographe de guerre et cuisinière surréaliste Lee Miller n’a que 20 ans et son corps, son visage ne lui appartiennent plus depuis fort longtemps. L’heure est venue de reprendre le contrôle. Direction Paris où, en cet été 1929, elle devient photographe à son tour. Forçant le destin, c’est Man Ray qu’elle choisit comme professeur, en se présentant à lui dans un café d’un simple : « Lee Miller, je suis votre nouvelle élève. » La collaboration sera fructueuse.

L'Ecole, les filles, les garçons et la construction des stéréotypes Père : « le mari de la maman, sans lui la maman ne pourrait pas avoir d'enfants. C'est le chef de famille parce qu'il protège ses enfants et sa femme. » Le dictionnaire des écoliers regroupe des définitions rédigées par des élèves de la maternelle au CM2 avec leur professeur. Claude Cahun, aucune femme n'est une île 26 septembre 2020 Texte paru dans le numéro 7 de la revue papier Ballast (janvier 2019) Elle était pho­to­graphe, poé­tesse, écri­vaine ; bref, artiste. Liée au mou­ve­ment sur­réa­liste et à l’Association des écri­vains et artistes révo­lu­tion­naires dans les années 1930, Claude Cahun se ver­rait condam­née à la peine capi­tale par la Cour mar­tiale alle­mande sous l’Occupation, la décen­nie sui­vante, en rai­son de son enga­ge­ment en faveur de la Résistance.

Jalons Pour l'histoire du temps présent Inconnu 'ai été habitué à suivre des études dans un lycée qui n'était pas mixte, et je crois que la présence de jeunes filles attribuerait un nouvel élément, qui serait néfaste aux études, je crois. Inconnu 2 Il peut y avoir une certaine distraction, mais enfin, si l'habitude est prise dès la sixième, je crois que ça serait parfait. Inconnu 3 Ça donnerait plus de courage aux garçons qui voudraient évidemment se faire valoir auprès, auprès des demoiselles, quoi. A l'embauche, être femme ou homme, ça fait la différence Atterrée. Des préjugés comme s'il en pleuvait, assumés en toute tranquillité par des recruteurs, hommes... et femmes. En découvrant le " franc parler" d'une trentaine de patrons et cadres de Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Dominique Epiphane, sociologue au Céreq (Centre d'Etudes et de Recherches sur les Qualifications), est tombée de sa chaise. Au départ, une enquête classique sur les discriminations à l'embauche. "On s'attendait à des remarques sur l'origine des candidats, mais il y a un tabou sur ce point.

Il y a davantage de femmes hautement diplômées, mais elles gagnent pourtant toujours moins que les hommes. Comment ça se fait ? C’est un fait de société maintenant bien connu. En Belgique, tout comme dans une grande partie du monde, les femmes gagnent moins que les hommes. Une récente étude menée en 2018 par Partena Professional révèle que les femmes gagnent encore 15 % de moins que leurs collègues masculins, soit une différence de 500 € brut par mois. L’explication de ce traitement différencié ? Il y en a plusieurs, notamment la présence d’un sexisme au travail encore et toujours présent dans nos sociétés.

Les inégalités femmes-hommes persistent chez les jeunes diplômé.e.s Le niveau de diplôme n'oblitère pas les inégalités entre femmes et hommes. C'est en substance le constat dressé par une récente étude de l'Apec (Association pour l'emploi des cadres), qui compare la situation de jeunes actives et actifs sur le marché du travail, deux ans après leur obtention d'un diplôme de niveau bac +5 (*). Des résultats qui rappellent utilement que les inégalités de genre ne s'arrêtent pas aux frontières des catégories sociales. Cette enquête prend un relief particulier à l'approche de la journée des droits des femmes qui se tiendra le 8 mars. Des rassemblements auront lieu dans de nombreuses villes de France à 15h40, l'heure symbolique à partir de laquelle les femmes commencent chaque jour à travailler "gratuitement", lorsque l'on prend en compte l'inégalité de salaire qu'elles subissent (26% de moins que les hommes, toute catégorie confondue).

Related: