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Lean management

Lean management
Modèle du système « Lean production ». L'école de gestion lean trouve ses sources au Japon dans le système de production de Toyota ou SPT (en anglais Toyota Production System ou TPS)[5]. Les mudas sont au nombre de sept[6] : surproduction, attentes, transport, étapes inutiles, stocks, mouvements inutiles, corrections/retouches. Formalisée aux États-Unis dans les années 1990, adaptable à tous les secteurs économiques, le lean est actuellement implanté principalement dans l'industrie et surtout l'industrie automobile. Historique[modifier | modifier le code] Au MIT, les recherches de Krafcik sont poursuivies dans le cadre de l'International Motor Vehicle Program (en) (IMVP), programme qui débouche sur la publication, en 1990, du livre The machine That Changed the World, co-écrit par Jim Womack (en), Daniel Jones et Daniel Ross et dont le succès est planétaire[8]. L'école du lean se formalise aux États-Unis dans les années 1990, popularisée par le livre Lean Thinking [9] (1996) de James P. J.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lean

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Les graphistes toujours en colère contre le travail gratuit - Tout chose, le blog mode et design de Xavier de Jarcy Début novembre, chez les graphistes, on a poussé un soupir de soulagement : le site Wilogo a annoncé qu’il cessait son activité. Rachetée par Adobe en 2014, cette plateforme mettant en compétition des professionnels dans le cadre d’appels d’offres non rémunérés se recentre sur les échanges de photos. Wilogo incarne un fléau qui se répand en dehors de toute réglementation depuis 2003 : le travail gratuit en ligne. Le principe est simple : un commanditaire veut un nouveau logo ? unité autonome de production Unité Autonome de Production L’approche de la production en cellule est l’organisation du processus complet de production d’un produit ou d’une famille de produits en un seul groupe de collaborateurs et machines, appelé UAP ou ilôt de production. Ces UAP sont organisées en forme de « U » afin de faciliter toutes sortes d’opérations.

Le « lean office » dans les services publics... Au moment où un livre, "Toyota, l'usine du désespoir", vient remettre en question le système de production qui a fait le succès de Toyota, Marie-Annick Dépagneux explique dans "Les Echos" du 13 mai dernier que « le "lean management" s'invite dans les services publics »... « Le "lean management", système de production inventé par Toyota basé sur une philosophie de l'amélioration continue du travail, vaut au constructeur japonais d'être considéré comme un modèle planétaire en terme de culture d'entreprise »... N'en jetez plus !...

Antonio Casilli : “L’internaute est un travailleur qui s’ignore” Le travail se redessine au contact du numérique et s’immisce dans un quotidien, aux frontières ténues. Un phénomène qui engendre, selon le sociologue Antonio Casilli, ce qu’il appelle le “digital labor”. Entretien. Internaute, surfeur, flâneur de la Toile, on vous exploite, on spolie. Aller de lien en lien, arpenter les arcanes du web ne serait plus un innocent loisir, mais aussi du travail. L’internaute est un travailleur qui s’ignore. Cellules Autonomes de Production Dans certains secteurs d'activité, la production de masse sur des lignes de production est un concept obsolète car les nouvelles contraintes du marché obligent les producteurs à évoluer vers des structures plus adaptables et réactives, telles que les cellules flexibles. Les activités les plus concurrentielles (ou les plus en crise) ont opéré leurs mutations depuis longtemps; l'industrie automobile et ses sous-traitants, plasturgie, industrie textile, lessiviers, métallurgie... Pour d'autres secteurs les effets de la mondialisation, de la crise, ne sont perceptibles que depuis récemment. Ces secteurs sont désormais confrontés aux mêmes interrogations; faut-il changer l'organisation de la production ? Sommaire Théorie et philosophie

Du droit à la déconnexion à la detox digitale Le droit du travail pourrait prochainement offrir la possibilité aux salariés de « débrancher » le soir et le week-end. En attendant, des cures de sevrage aident les cyberaddicts à consommer les nouvelles technologies avec modération. C’est une reconnaissance officielle du techno-stress. Depuis maintenant trente ans, les entreprises mettent à disposition de leurs employés toujours plus d’outils numériques sans véritablement s’inquiéter des risques induits. Une exposition à un flux ininterrompu de messages peut pourtant altérer la santé et l’équilibre de sujets sensibles.

Affaire Tefal : l'inspectrice du travail et le lanceur d'alerte condamnés Tefal peut se frotter les mains. L’entreprise d’électroménager (groupe SEB), accusée d’avoir fait pression sur l’inspection du travail de Haute-Savoie, a réussi à faire condamner l’inspectrice Laura Pfeiffer et le lanceur d’alerte, Christophe M., ancien salarié de l’entreprise, licencié depuis pour faute grave. La première pour «violation du secret professionnel et recel de courriels de l’entreprise Tefal», le second pour «détournement de courriels et accès frauduleux à un système informatique». Tous deux ont écopé, dans un jugement rendu ce vendredi matin par le tribunal correctionnel d’Annecy et après une surprenante audience tenue le 16 octobre, de 3 500 euros d’amende avec sursis.

A l’inspection du travail, la casserole Tefal L’inspectrice du travail, son chef, la taupe et le DRH : c’est le quatuor du rocambolesque feuilleton qui, depuis un an et demi, met sens dessus dessous l’administration du travail de Haute-Savoie. L’histoire, dite «affaire Tefal», oppose une jeune inspectrice à son supérieur hiérarchique… lui-même allié à la direction de l’entreprise d’électroménager. Elle rebondit aujourd’hui avec un nouvel élément dont Libération a eu connaissance, et qui illustre de façon inquiétante les relations parfois obscures entre entreprises et administration du travail. Et, accessoirement, le peu de soutien dont les agents de terrain bénéficient de la part de leur ministère. L’affaire, dévoilée par l’Humanité, commence en janvier 2013. Quand être connecté n’empêche pas d’être productif Selon une récente étude, les employés qui gèrent eux-mêmes - mais de manière stricte - le temps qu’ils passent sur les nouvelles technologies pour leur usage personnel sont plus à-mêmes d’être productifs au travail. Qui n’a jamais reçu de consignes strictes quant à l’utilisation des smartphones et des réseaux sociaux sur son lieu de travail ? Certains l’interdisent, d’autres font confiance à leur personnel.

Économie collaborative : le Royaume-Uni peut mieux exploiter ses data ! Le constat s’impose, l’économie participative fait désormais partie de nos vies, cependant de nombreux pays manquent de données fiables à ce sujet, une équipe de chercheurs du Royaume-Uni fait donc part de ses recommandations. Le Royaume-Uni est le deuxième pays au monde dans lequel l’économie participative soit aussi développé après les Etats-Unis, dont le marché vaudrait 15 milliards en à peine 7 ans. Car même si le Royaume-Uni et les Etats-Unis comptent le même pourcentage de consommateurs qui se disent prêt à partager (55% selon une étude Havas Worldwide de 2015), les consommateurs américains sont plus nombreux à avoir passé le cap (20% contre 16% au Royaume-Uni selon la même étude).

Les disruptions numériques dans les professions libérales Cela fait un peu plus d’un an que la mode de la frayeur des disruptions numériques bat son plein en France. Elle est alimentée par la thématique de l’uberisation, une notion utilisée à tors et à travers. Je m’en étais fait l’écho dans une série de six articles publiée début 2015 sur “Comment éviter de se faire uberiser”. L’uberisation a été souvent mal interprétée car le modèle “Uber contre les taxis” a des caractéristiques particulières qui sont loin d’être reproductibles dans les autres secteurs d’activité. Il existe bien d’autres formes et variantes de disruptions par le numérique. Le travail du futur va s’appuyer sur le numérique et le partage de données Le travail et son environnement évolueront dans les années à venir avec l’utilisation grandissante de la technologie. Le partage des données avec son employeur constituera un enjeu. Les avancées technologiques auront un impact conséquent sur le monde du travail dans les cinq à dix années à venir, c’est l’avis que partagent 53% des personnes interrogées par PwC lors de sa dernière étude portant sur le devenir du travail en 2022. 10 000 employés ont été interrogés en Allemagne, Chine, Etats-Unis, Inde et Royaume-Uni, ainsi que 500 professionnels des ressources humaines, afin de recueillir leur point de vue sur l’évolution de leur lieu de travail et le management de la main-d’œuvre. Si les innovations technologiques auront le plus gros impact sur la manière de travailler dans le futur, la gestion des ressources climatiques, économiques et démographiques influenceront également - quoique dans une moindre mesure - le travail des employés interrogés. L’impact du numérique, positif ou négatif ?

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