Les spécialistes de la sécurité d’entreprise préfèrent les plates-formes de sécurité intégrées en mode Cloud Dans le domaine de la sécurité IT, presque tous les décideurs (98 %) reconnaissent que les plates-formes de sécurité intégrées en mode Cloud sont plus performantes que les solutions ad hoc selon une étude réalisée aux Etats-Unis. L’étude 2015 The Necessity Of Cloud-Delivered Integrated Security Platforms réalisée pour le compte de Zscaler par Forrester Consulting constate que presque tous les experts estiment que la sécurité devrait être assurée en tant que service et que la sécurité en mode Cloud offre une meilleure protection à moindre coût que les appliances de sécurité sur site traditionnelles. À une écrasante majorité (98 %), les professionnels de la sécurité qui ont participé à cette étude ont déclaré que les plates-formes de sécurité intégrées seraient efficaces pour améliorer leur stratégie de sécurité et réduire les coûts globaux, et bon nombre d’entre eux (82 %) ont indiqué rechercher des solutions de sécurité avancées qu’ils peuvent déployer dans le courant de l’année.
Données de santé : ce que change la loi du 26 janvier 2016 La loi de modernisation de notre système de santé n°2016-41 vient d’être promulguée le 26 janvier 2016 et publiée au journal officiel le 27 janvier 2016. Rappelons que la procédure d’agrément des hébergeurs de données de santé à caractère personnel a été instaurée par la loi n°2002-303 du 4 mars 2002, dite "loi Kouchner". Elle vise à assurer la sécurité, la confidentialité et la disponibilité des données de santé à caractère personnel, lorsque leur hébergement est externalisé. de l'Hébergement de données de santé à caractère personnel Pilotée par l’ASIP Santé, elle s’impose dans les conditions suivantes : "Les professionnels de santé ou les établissements de santé ou la personne concernée peuvent déposer des données de santé à caractère personnel, recueillies ou produites à l'occasion des activités de prévention, de diagnostic ou de soins, auprès de personnes physiques ou morales agréées à cet effet.
Comment une société pétrolière a été piratée à cause de la vulnérabilité du fournisseur de son restaurant d’entreprise Piratage des grandes entreprises : le maillon faible reste l’humain et … les PME de leur écosystème ! Le piratage récent d’une grande société pétrolière et gazière a exposé de précieuses données. Comment une entreprise dotée d’une sécurité renforcée peut-elle être piratée ? Facilement. Dans le cas présent, les pirates ont exploité la faiblesse de la sécurité informatique d’un traiteur local qui prenait les commandes en ligne des déjeuners du personnel de la compagnie pétrolière, et s’en sont servis comme point d’entrée dans son réseau.
Le système de paiement des hôtels Hyatt touchés par un malware Après les Hilton en novembre dernier, c'est au tour des Hyatt d'être victime d'un piratage de données bancaires. (crédit : Wikipedia/Ville Miettinen) Hyatt s'ajoute à la liste des hôtels piratés. Après avoir découvert un malware dans son système de paiement, la chaîne conseille à ses clients de vérifier leurs relevés de cartes de crédit. Les députés concluent un accord avec le Conseil sur les toutes premières règles européennes relatives à la cybersécurité Les entreprises de transport et d'énergie devront veiller à ce que l'infrastructure numérique qu'elles utilisent pour fournir des services essentiels, comme le contrôle du trafic ou la gestion des réseaux d'électricité, soit suffisamment solide pour résister aux cyberattaques, conformément aux nouvelles règles conclues lundi de manière provisoire entre les députés de la commission du marché intérieur et la présidence luxembourgeoise du Conseil des ministres de l'UE. Les marchés en ligne comme eBay ou Amazon, les moteurs de recherche et les nuages informatiques (clouds) seront aussi tenus de garantir une infrastructure sûre. "Aujourd'hui, nous avons franchi une étape: nous nous sommes mis d'accord sur les toutes premières règles européennes relatives à la cybersécurité, que le Parlement demande depuis des années", a affirmé le rapporteur Andreas Schwab (PPE, DE) après la conclusion de l'accord. "De plus, cette directive marque le début d'une réglementation des plateformes.
Le CERN exploite ses données sensibles en conformité avec ses règles Le CERN (Conseil européen pour la recherche nucléaire) a mis en place un nouvel outil décisionnel unique, basé sur Pentaho, pour traiter toutes ses données. PublicitéLe CERN est un office de droit international spécialisé dans la recherche nucléaire, surtout connu dans le grand public pour son LHC (Grand Collisionneur de Hadrons). Ses 2500 collaborateurs ainsi que les étudiants, stagiaires et visiteurs scientifiques, soit un total de 15 000 utilisateurs, ont chacun des droits particuliers qui doivent être pris en compte par les services administratifs mais la productivité des équipes suppose une utilisation aisée et rapide des données. Pour y parvenir, le CERN a déployé la solution de Pentaho. Celle-ci est totalement intégrée via des API web aux applications et processus métier des domaines finances, RH et logistique voire au delà. Le projet a été achevé fin 2015.
Justice : un sysadmin ne peut pas se muer en justicier En raison de ses droits d’accès étendus, un administrateur réseau peut-il se muer en lanceur d’alertes ? Et si, oui comment ? A cette question, le tribunal correctionnel d’Annecy apporte un début de réponse dans une affaire opposant la société Téfal à un de ses anciens salariés et à une inspectrice du travail, à qui cet admin avait transmis des documents relatifs aux pratiques de son entreprise. L’affaire remonte à 2013 quand le sysadmin de Tefal, basé à Rumilly, en conflit avec son employeur sur le paiement d’heures supplémentaires, découvre que ce dernier envisagerait de le licencier par des moyens illégaux. Selon lui, c’est un document trouvé à l’imprimante qui lui met la puce à l’oreille. C’est alors qu’il décide de faire des recherches au sein des serveurs de fichiers partagés de la société, pour en savoir plus.
Messagerie électronique au bureau : ne pas confondre « perso » et « personnel » Depuis un arrêt célèbre (Arrêt Nikon du 2 octobre 2001) les tribunaux reconnaissent au salarié un droit d’usage personnel de l’outil informatique mis à sa disposition par son employeur. Ce droit est encadré de différentes manières et peut schématiquement se résumer ainsi : Tous les messages adressés ou reçus par le salarié dans sa boite aux lettres électronique sont présumés professionnels, sauf s’ils sont identifiés comme personnels. L’employeur ne peut pas avoir accès aux messages personnels, mais le salarié ne doit pas abuser du droit qui lui est reconnu, notamment en apposant systématiquement la mention « personnel » sur tous les messages qu’il émet. L’administrateur du système (c’est-à-dire l’informaticien chargé d’assurer son bon fonctionnement), peut prendre connaissance librement de tous les messages, mais ne peut en révéler le contenu à l’employeur, lorsqu’ils présentent un caractère personnel.
Tour des menaces informatiques en 2016 et à l’horizon 2020 Ransomwares, attaques sur les objets connectés, cyberespionnage…, le nouveau rapport McAfee Labs d’Intel Security intitulé « McAfee Labs Threat Predictions Report » prédit les principales tendances à anticiper en 2016 en matière de menaces informatiques. Il fournit également un aperçu prédictif de ce paysage jusqu’à l’horizon 2020 et livre les potentielles réponses de l’industrie de la sécurité informatique face à l’évolution des cyber-menaces. Les menaces à venir en 2016 L’éventail des risques à anticiper en 2016 s’étend des probables attaques de ransomwares aux risques d’attaques contre les véhicules connectés, en passant par des attaques contre des infrastructures, ou encore la vente de données volées, etc.
Un administrateur du réseau Tefal condamné pour fraude informatique Le Tribunal de grande instance d’Annecy condamne un salarié pour accès et maintien frauduleux à un traitement automatisé de données, atteinte au secret des correspondances électroniques et l’inspectrice du travail pour recel de correspondances et violation du secret professionnel. Il n’a pas reconnu le statut de lanceur d’alerte à une inspectrice du travail et à un administrateur réseau de Tefal auxquels la direction de la société reprochait d’être à l’origine de la publication de documents sur de futurs licenciements. Il s’est prononcé dans les circonstances suivantes. L’administrateur en cause, en conflit avec son employeur sur le paiement d’heures supplémentaires, a découvert un document dans lequel il apparaît que la société veut le licencier en utilisant des moyens déloyaux.