Earth Alerts. Une carte mondiale des catastrophes naturelles – Les Outils Tice Article mis à jour le 22 février 2017 par Fidel Navamuel Earth Alerts est une carte mise à jour quasiment en temps réel qui recense les grandes catastrophes naturelles, les grandes secousses de notre vieille planète. Je vous présentais ici même il y a quelques jours une visualisation temps réel des pics de pollution, Earth Alerts s’intéresse pour sa part a des menaces plus anciennes en compilant et répertoriant les grandes secousses naturelles. Une ressource en ligne impressionnante qui rassemble les données issues de nombreux centres scientifiques en charge de l’observation et du suivi de ces phénomènes à travers le monde. Earth Alerts offre une visualisation globale sous la forme d’une carte mondiale sur laquelle vont apparaître des petites icônes de couleur signalant les différents types de menaces en cours. En passant votre pointeur de souris sur les différents points d’alerte sur la carte, vous aurez une information brève et synthétique sur la raison de l’alerte. Lien: Earth Alerts.
BASIAS wiki Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. BASIAS est l'acronyme d'une base de données française créée en 1998 pour récolter et conserver la mémoire des « anciens sites industriels et activités de service » (sites abandonnés ou non), susceptibles d'avoir laissé des installations ou des sols pollués (ce qui signifie que tous les sites répertoriés ne sont pas nécessairement pollués)[1]. Cette base (en complément d'une autre base dite BASOL) est accessible au public, par internet ou en préfecture ou au service régional du BRGM (pour « la totalité de la fiche relative à l'un quelconque des sites concernés » ). C'est un des outils de portée à connaissance des séquelles environnementales. L'Arrêté de création précise que « Les informations recueillies à partir de la banque de données ne doivent pas être utilisées à des fins de démarchage commercial » [1]. En 2011, le BRGM a mis en place un système d’autodéclaration par les exploitants de sites pollués sur internet. Avantages : Limites :
Etudier le coeur avec Anatomy 4D Auteur : Eric JOURDAN – Professeur de SVT au Lycée Charles Nodier – 39 DOLE 1- Présentation : Anatomy 4D est une application anglaise gratuite, développée par DAQRI, permettant d’étudier le cœur en réalité augmentée. 2- Objectifs pédagogiques : Illustrations des thèmes : Partie 3 : Corps humain et santé Classe concernée : 2nde Cette activité peut venir en complément d’une dissection d’un cœur au cours du TP. Objectif : étudier l’organisation anatomique du cœur et les structures permettant la circulation du sang en sens unique. 3- Piste d’utilisation en classe : Placer la tablette au dessus de la cible pour faire apparaître le cœur en 4D.Décocher « ventricle » et « veins / artères » du panneau de configuration en bas à droite de l’écran. Cela permet de visualiser le trajet du sang à l’intérieur du cœur : Décocher « Blood Flow » pour cacher la circulation sanguine. Cela permet de visualiser le fonctionnement des valvules : Décocher « pulmonary Trunk »
BASOL wiki Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. BASOL est en France l'acronyme d'une base de données nationale qui, sous l’égide du ministère chargé de l'Environnement[1], récolte et conserve la mémoire de plusieurs milliers (3900 sites en 2007) de « sites et sols pollués ou potentiellement pollués appelant une action des pouvoirs publics, à titre préventif ou curatif ». 3 735 sites appelant une action de l’État figuraient dans BASOL au 31 janvier 2005[2]. Cette base est accessible au public, par internet ou en préfecture ou au service régional du BRGM (pour « la totalité de la fiche relative à l'un quelconque des sites concernés » ). C'est un des deux grands outils français de porté à connaissance des séquelles environnementales concernant les sites et sols utilisés ou autrefois utilisés par l'industrie ou d'autres acteurs et connus de l'administration comme pollués ou potentiellement pollués [3] par des produits chimiques ou radioactifs. Les sites sont classés selon des mots-clés.
Les origines de la vie – Retracer la Saga du vivant Les traces fossiles eucaryotes les plus anciennes pourraient être datées de 2,2 milliards d’années (Grypania spiralis). C’est en se basant sur la taille de ce fossile que les scientifiques en ont déduit qu’il s’agissait d’un eucaryote unicellulaire. Grypania est aujourd’hui considéré comme un eucaryote pluricellulaire. Mais la taille n’est pas un critère morphologique fiable. Certains eucaryotes, en effet, sont petits comme des procaryotes (les picoeucaryotes par exemple) et, à l’inverse, certains procaryotes peuvent être grands comme des eucaryotes (la bactérie Thiomargarita par exemple). Un autre critère morphologique peut alors être utilisé, la décoration de la surface cellulaire.
Encyclopédie de l'environnement - Articles scientifiques sur l'environnement Biodiversité Curieux - Nouvelles scientifiques À chaque semaine Curieux publie des dizaines de capsules, de nouvelles et d'informations scientifiques commentées... Comment gérer son identité numérique et sa confidentialité sur le Web ? Dans cette conférence donnée par Mathieu Chartier, formateur, différents thèmes liés à l'identité numériques seront abordés : sécurité, personal branding, e-réputation... Les insectes, héros du quotidien et du jardin Le rôle des insectes est parfois méconnu du grand public. Troubles bipolaires : mythe, réalités, une approche scientifique et sociologique Débat précédé des interventions de Nemat Jaafari, professeur de psychiatrie, Centre Hospitalier Henri Laborit à Poitiers, « Diagnostic et pronostic des troubles bipolaires et leur impact médico-social ». Un rappel de l'importance de la vaccination En 2018, la France a imposé la vaccination obligatoire chez les enfants, particulièrement en réaction avec des éclosions de rougeole sur son territoire.
Discuter avec un climatosceptique : 12 affirmations à nuancer Cet article fait partie de la rubrique du Détecteur de rumeurs, cliquez ici pour les autres textes. 1. « Le climat se réchauffe et se refroidit depuis toujours » Les températures varient bien sûr au cours des saisons, des années, des siècles et des millénaires : c’est une donnée primordiale prise en compte par tous les climatologues. Autrement dit, jamais ils n’ont nié que la Terre se soit réchauffée et refroidie depuis toujours. Le problème, c’est que le dérèglement actuel du climat ne rentre pas dans le schéma « classique » de ces variations naturelles. Selon une étude parue en 2018 dans PNAS, nous atteindrons dès 2030 un climat similaire à celui que connaissait la Terre il y a trois millions d’années. 2. « Le CO2 n'est pas toxique, puisque les plantes en ont besoin » Il va de soi que les plantes ont besoin de CO2. Du côté des plantes, une augmentation de CO2 peut stimuler leur croissance grâce à la photosynthèse. 3. « Le CO2 ne compose qu’une petite partie de l’atmosphère »