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Jeux vidéo en bibliothèque : comment les structures municipales accueillent les joueurs - Pop culture

Jeux vidéo en bibliothèque : comment les structures municipales accueillent les joueurs - Pop culture
Certaines bibliothèques et médiathèques s'efforcent de proposer des espaces jeux vidéo dans leurs locaux. Un processus lent et semé d'embûches. Nous avions déjà exploré le gigantesque travail de la Bibliothèque Nationale de France dans l’archivage du patrimoine vidéoludique en France. La question de la mise à disposition des jeux vidéo dans les établissements publics tels que les bibliothèques et les médiathèques se pose depuis plusieurs années déjà. Les différents témoignages que nous avons recueilli permettent de dresser un état des lieux sur la présence des jeux vidéo dans ces lieux publics. L'accèsLes enjeux de l’accès au jeu vidéo en lieu public Ils sont quelques milliers de membres à se réunir sur un groupe Facebook pour discuter et partager leur expérience en tant que bibliothécaires oeuvrant pour la médiation du jeu vidéo dans leurs établissements respectifs. Anthony, qui travaille en médiathèque dans l’agglomération de Cergy Pontoise, fait partie de ces bibliothécaires. Related:  Bibliothèques

Un droit à la rémunération pour les auteurs adopté au Parlement européen Parlement européen - ActuaLitté, CC BY SA 2.0 Adopté à 540 voix en faveur et 77 contre, le texte entend donc redonner aux créateurs la place qui leur revient. Le secteur des industries culturelles, en Europe, représente 13 % des exportations et un PIB de 509 milliards €. Pour lui, il devient évident que l’Europe « doit faire en sorte que les industries créatives soient une priorité politique, dans tous les domaines de la politique. Architecture, bibliothèques, métiers de l’art, audiovisuel, ou encore mode, design et édition « travaillent effectivement au niveau local et encouragent le développement d’autres industries dans la région, comme le tourisme. Numérique, financement, formation, tout y passe Le texte adopté par les parlementaires souligne plusieurs enjeux : comment stimuler l’innovation, et protéger au mieux les droits d’auteur. Dans le contexte de ReLIRE et des licences collectives étendues, voilà qui ne manquera pas de donner à réfléchir. Soutenir et appuyer les créateurs

Lille-I inaugure sa bibliothèque futuriste et augmentée : le Lilliad Learning Center Innovation Découvrez les nouveaux outils et services mis en place au sein de ce campus du futur Le Lilliad Learning Center Innovation de Lille-I a ouvert ses portes en septembre 2016 à Villeneuve-d'Ascq, dans le Nord. Officiellement inaugurée le jeudi 17 novembre prochain, cette bibliothèque futuriste s'adresse aux entreprises, aux étudiants, mais aussi au grand public. Sur le modèle des learning centers qui commencent à se répandre en France, celui-ci est organisé autour de trois pôles : un espace événementiel dédié aux conférences, un service baptisé Xperium, vitrine pour la science en train de se faire, et une "bibliothèque augmentée". Pour Jacques Sauteron, responsable du service médiations, "le pôle bibliothèque s'inscrit dans une logique de bibliothèque augmentée offrant tout à la fois des collections, des espaces de travail et de convivialité, des espaces de détente, et un internet café". Des pratiques pédagogiques innovantes +repères​ Le Lilliad Learning Center Innovation de Lille en chiffres

Prêt en bibliothèque : la loi de 2003 concerne livres imprimés et numériques ActuaLitté, CC BY SA 2.0 À ce jour, le fonctionnement est en effet simple : pour les ouvrages papier, la divulgation d’une œuvre littéraire – mais également scientifique ou artistique – implique le prêt, effectué par des établissements publics. Il s’agit là d’une exception au droit d’auteur, consentie en ce que l’ayant droit est rémunéré pour le prêt. En France, elle fit l’objet d’une modification du Code de la propriété intellectuelle, avec la loi du 18 juin 2003. Au commencement était le traité de l'OMPI, puis... En échange de cette contrepartie financière, l’auteur perd le droit de s’opposer à ce que son ouvrage soit communiqué dans les bibliothèques de prêt. Le litige en question opposait l’association Vereniging Openbare Bibliotheken à la Stichting, fondation mandatée par le ministère de la Justice néerlandais et qui perçoit la rémunération au titre du prêt. Location et prêt, deux éléments très distincts Première vente et copie légale = prêt numérique

Le Fair Use fait brûler le torchon entre facultés et éditeurs universitaires Jason Llagan, CC BY ND 2.0 Tout a débuté quand Oxford university press, Cambridge University Press et SAGE Publications se sont aperçus que l’université distribuait aux élèves des documents sous droit. Par l’intermédiaire de son site internet, il était possible de télécharger et imprimer des contenus, sans que les ayants droit n’aient leur mot à dire. L’université s’était toujours défendue en arguant que le Fair Use lui permettait de fournir les milliers de travaux et fichiers aux étudiants – pas vraiment du goût des associations d’auteurs et d’éditeurs américaines. Le procès s’est éternisé, mais, en août dernier, l’affaire a pris un tournant inattendu : la juge Orinda Evans renvoyait la demande des éditeurs plaignants, considérant que le préjudice n’était pas manifeste. « Il subsiste une possibilité d’infraction à l’avenir, car le fair use implique un examen attentif selon les cas [avant d’être mis en application]. Les conséquences funestes pour les auteurs Le Fair Use, nouve sésame ?

Le « bookstore model » : le retour de la vengeance des classements par centre d’intérêt Je travaille en ce moment à la création d’une nouvelle médiathèque. Forcément, dans ce type de projet, la question du plan de classement se pose assez vite : comment mettre en scène les collections pour que des usagers de toutes sortes trouvent ce qu’ils cherchent de façon autonome ? La plupart des bibliothèques emploient la vénérable Classification Décimale de Dewey mais il existe des alternatives ! La CDD, ses limites et ses bricolages « Pourquoi les usagers ont du mal à trouver des documentaires. » Sondage réalisé par Barbara Fister en 2009, source Face à ces limites évidentes, la plupart des bibliothèques françaises ont choisi de bricoler la CDD. Les classements par centre d’intérêt ancienne manière Est-il possible d’aller plus loin, et d’utiliser de véritables systèmes alternatifs, plutôt que de poser des pansements sur la jambe de bois de la Dewey ? Le classement par centres d’intérêt utilisé à Détroit dans les années 40 (source) Le bookstore model Alors… faut-il abandonner la CDD ?

Débat sur une loi « bibliothèques » : l’ABF ouvre à son tour le dossier Contactée par le Service du livre et de la lecture (ministère de la Culture), l’Association des bibliothécaires de France (ABF) compte s’associer à la réflexion en cours. Vraisemblablement, elle se joindra au séminaire que la Rue de Valois et l’Association des directeurs de bibliothèques départementales de prêt (ADBDP) envisagent d’organiser l’hiver prochain avec l’Institut des sciences sociales du politique à l’ENS de Cachan. « Socle minimum » « L’idée du ministère est de réfléchir à la définition d’un socle minimum de missions obligatoires pour les collectivité, précise Xavier Galaup, président de l’ABF. Bibliothèque municipale Toussaint d’Angers ©Ascona49 CC BY 3.0 Large concertation attendue En tout état de cause, l’élargissement du débat, devrait satisfaire les professionnels restés dubitatifs, voire méfiants, lors de l’annonce de l’ouverture de ce chantier. Premier chantier pour un nouveau ministre ? Focus Xavier Galaup : «Pourquoi pas un « schéma de lecture publique » ?

Ebook : HarperCollins France quitte la DRM Adobe et Numilog pour TEA et CARE Inaugurée en avril dernier, la filiale française du groupe HarperCollins est dirigée par Emmanuelle Bucco-Cancès. Le groupe est l’éditeur d’un catalogue de littérature générale sous le label HarperCollins et d’un catalogue de romance sous la marque Harlequin. Harlequin a depuis longtemps diversifié ses formats en développant ses ventes d’ebooks, notamment sur son site de ventes directes dédié à la romance et via ses applications. En faisant le choix de la solution TEA, la maison d’édition prend une place de choix parmi les clients que la startup a déjà convaincus : France Loisirs, Chapitre.com, Cultura, Decitre, Le Furet du Nord, Système U, Auchan, Cdiscount, le groupe Bayard et plusieurs librairies indépendantes. Emmanuelle Bucco-Cancès, Directrice Générale de HarperCollins France explique : « Nous avons retenu TEA après une étude poussée des différentes solutions existantes. En choisissant TEA, HarperCollins opte pour la mesure de protection CARE.

La bibliothèque scolaire : centre d'apprentissage au service de la réussite Le monde change, les bibliothèques scolaires aussi. C’est le leitmotiv qui semble avoir guidé les auteures d’un document intitulé La bibliothèque scolaire du XXIe siècle : un modèle en 4 axes. Préparé par l’Association pour la promotion des services documentaires scolaires (APSDS), le document propose « un modèle dynamique de la bibliothèque scolaire et de son utilisation [qui se développe] en 4 axes [et qui] incite à repenser les usages, les acteurs et le lieu. » Les quatre axes sont : la pédagogie, la culture, le numérique et la collaboration, qui sont présentés comme complémentaires et interdépendants les uns des autres. L’Association croit qu’une fois repensée de cette façon, la bibliothèque scolaire pourra mieux contribuer à « former les élèves pour qu’ils deviennent des citoyens participant activement à l’essor de la société ». Il est possible de consulter le mémoire complet ici (avec la permission de l’APSDS). Sur le même thème Enseigner à l’époque de l’abondance d'information

Vers une bibliothèque participative | Acfas | magazine Découvrir | mars 2013 On ne compte plus les événements organisés par des citoyens et communautés d'intérêts – généralement en dehors des bibliothèques et des universités – visant à favoriser le dialogue, la découverte et l’apprentissage. Contrairement à une certaine perception populaire, les bibliothèques publiques et universitaires ne sont ni désertées, ni dépassées. En réalité, c’est tout le contraire, le monde des bibliothèques au Québec est effervescent: la fréquentation est en hausse, la satisfaction des usagers est des plus élevées, de nouvelles bibliothèques se construisent, les collections numériques s'étoffent, et des programmes d'animation et de médiation rendent les lieux encore plus vivants et ancrés dans leur communauté locale. L’innovation apparaît comme le concept du moment. Faire un 180 degrés Tout cela est effectivement enthousiasmant, mais il m'apparaît dommage de ne pas en profiter afin de rêver encore plus grand. La porte d'accès à la connaissance Quel est le rôle de la bibliothèque?

EPUB Lightweight Content Protection: Use Cases & Requirements Prepared for IDPF by Bill Rosenblatt, GiantSteps Media Technology Strategies (edited by IDPF mgmt.) Publication Date: May 18, 2012 Introduction This document is an initial statement of requirements for a potential “lightweight content protection” technology for EPUB®3 (“EPUB LCP”) for review and comment by IDPF members and other interested parties. For additional background and information on the review process, see: idpf.org/lcp_draft_reqs_announce. Why Consider “Lightweight Content Protection” for EPUB? Digital Rights Management (DRM) has been used on some eBook files since the beginning of the commercial eBook market during the first Internet bubble of the late 1990s. The EPUB standard has become the broadly adopted standard interchange and distribution format for eBooks and other digital publications. Most major publishers continue to require DRM in their eBook distribution agreements, and eBook retailers have used DRM to promote “lock-in” to their platforms. EPUB LCP Use Cases

Le modèle de co-construction de savoirs : un enjeu d'innovation pour les bibliothèques ? (1/3) Par Pascal Desfarges Pascal Desfarges, spécialiste des territoires et de la médiation numérique est le fondateur de l'agence Retiss qui accompagne les organisations culturelles et les collectivités territoriales dans une démarche résolument innovante, réticulaire et collaborative autour des enjeux et usages liés au développement des technologies et des cultures numériques. Il intervient régulièrement auprès des bibliothèques pour décrypter les nouveaux moyens d'innover dont elles disposent pour hacker, détourner, remixer, partager, participer et inventer la bibliothèque de demain. Le point de départ de cet article est de questionner le croisement de deux identités en mouvance : l’une qui doit repenser ses modèles et l’autre qui en invente de nouveaux : la bibliothèque et le tiers-lieu de fabrication (FabLab, Hackerspace, Makerspace). Les bibliothèques en mutation et les tiers-lieux, dont les modèles sont pluriels et en devenir ont ils à voir ensemble ? Du design vers la bibliothèque spéculative Notes

Vers une bibliothèque participative | Ac... Vers l'ubérisation du droit d'auteur. Par Emmanuel Cauvin. Le monde en ligne est ouvert à tous, pas seulement aux grands acteurs de l’industrie culturelle, et il place tous les intervenants, petits ou grands, sur un pied d’égalité. La puissance publique doit accompagner et aider la création coopérative, à travers une plateforme de référence permettant la rencontre de l’offre et de la demande. Les débats tournent autour du « plus ou moins de droit d’auteur » alors que ce qu’il faut c’est un autre droit d’auteur, fondé sur l’individu émetteur/récepteur, et s’appuyant sur une plateforme d’intermédiation, car c’est ainsi que les choses fonctionnent dans la sphère numérique. Une querelle agite actuellement les milieux de l’internet et du Droit. Passionnante question, aux enjeux décisifs. État des lieux La jurisprudence de la CJUE, composée principalement de deux arrêts, Svensson et GS Media, aboutit, au moment où ces lignes sont écrites, à un dispositif que l’on peut essayer de résumer de la façon suivante. Il faut remonter en arrière. Communication ?

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