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Jeux vidéo en bibliothèque : comment les structures municipales accueillent les joueurs - Pop culture

Jeux vidéo en bibliothèque : comment les structures municipales accueillent les joueurs - Pop culture
Certaines bibliothèques et médiathèques s'efforcent de proposer des espaces jeux vidéo dans leurs locaux. Un processus lent et semé d'embûches. Nous avions déjà exploré le gigantesque travail de la Bibliothèque Nationale de France dans l’archivage du patrimoine vidéoludique en France. La question de la mise à disposition des jeux vidéo dans les établissements publics tels que les bibliothèques et les médiathèques se pose depuis plusieurs années déjà. Les différents témoignages que nous avons recueilli permettent de dresser un état des lieux sur la présence des jeux vidéo dans ces lieux publics. L'accèsLes enjeux de l’accès au jeu vidéo en lieu public Ils sont quelques milliers de membres à se réunir sur un groupe Facebook pour discuter et partager leur expérience en tant que bibliothécaires oeuvrant pour la médiation du jeu vidéo dans leurs établissements respectifs. Anthony, qui travaille en médiathèque dans l’agglomération de Cergy Pontoise, fait partie de ces bibliothécaires. Related:  Bibliothèques*test 210324*test 210324

Un droit à la rémunération pour les auteurs adopté au Parlement européen Parlement européen - ActuaLitté, CC BY SA 2.0 Adopté à 540 voix en faveur et 77 contre, le texte entend donc redonner aux créateurs la place qui leur revient. Le secteur des industries culturelles, en Europe, représente 13 % des exportations et un PIB de 509 milliards €. Pour lui, il devient évident que l’Europe « doit faire en sorte que les industries créatives soient une priorité politique, dans tous les domaines de la politique. Architecture, bibliothèques, métiers de l’art, audiovisuel, ou encore mode, design et édition « travaillent effectivement au niveau local et encouragent le développement d’autres industries dans la région, comme le tourisme. Numérique, financement, formation, tout y passe Le texte adopté par les parlementaires souligne plusieurs enjeux : comment stimuler l’innovation, et protéger au mieux les droits d’auteur. Dans le contexte de ReLIRE et des licences collectives étendues, voilà qui ne manquera pas de donner à réfléchir. Soutenir et appuyer les créateurs

Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines. Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes. Dans notre pays, il existe encore peu de données quantitatives sur les pratiques de jeux vidéo/Internet chez les adolescents (voir « Pour en savoir plus »).

Serious game Le serious game ou "jeu sérieux" relève bien des deux termes antinomiques qui le définissent : jeu vidéo mais utilisé à des fins d’information ou de formation, il est une "application informatique, dont l'objectif est de combiner à la fois des aspects sérieux (Serious) tels, de manière non exhaustive, l'enseignement, l'apprentissage, la communication, ou encore l'information, avec des ressorts ludiques issus du jeu-vidéo (Game). Une telle association a donc pour but de s'écarter du simple divertissement." (Julian Alvarez).Le premier serious game reconnu comme tel date de 2002 : America’s Army, lequel simule des combats modernes, avec pour objectifs à la fois de diffuser un message, de dispenser un entraînement et de permettre l’échange de données. Ressources ANCELIN, Justine, BABU, Clément, BOBET-MEZZASALMA, Sophie, et al. « Faites vos jeux ! « Faites vos jeux ! GALAUD, Xavier (dir.). ALVAREZ, Julien et DJAOUTI, Damien. ROBERT, Thierry et AYERDI-MARTIN, Claude. Voir aussi Jeux vidéo /

Lille-I inaugure sa bibliothèque futuriste et augmentée : le Lilliad Learning Center Innovation Découvrez les nouveaux outils et services mis en place au sein de ce campus du futur Le Lilliad Learning Center Innovation de Lille-I a ouvert ses portes en septembre 2016 à Villeneuve-d'Ascq, dans le Nord. Officiellement inaugurée le jeudi 17 novembre prochain, cette bibliothèque futuriste s'adresse aux entreprises, aux étudiants, mais aussi au grand public. Sur le modèle des learning centers qui commencent à se répandre en France, celui-ci est organisé autour de trois pôles : un espace événementiel dédié aux conférences, un service baptisé Xperium, vitrine pour la science en train de se faire, et une "bibliothèque augmentée". Pour Jacques Sauteron, responsable du service médiations, "le pôle bibliothèque s'inscrit dans une logique de bibliothèque augmentée offrant tout à la fois des collections, des espaces de travail et de convivialité, des espaces de détente, et un internet café". Des pratiques pédagogiques innovantes +repères​ Le Lilliad Learning Center Innovation de Lille en chiffres

Prêt en bibliothèque : la loi de 2003 concerne livres imprimés et numériques ActuaLitté, CC BY SA 2.0 À ce jour, le fonctionnement est en effet simple : pour les ouvrages papier, la divulgation d’une œuvre littéraire – mais également scientifique ou artistique – implique le prêt, effectué par des établissements publics. Il s’agit là d’une exception au droit d’auteur, consentie en ce que l’ayant droit est rémunéré pour le prêt. En France, elle fit l’objet d’une modification du Code de la propriété intellectuelle, avec la loi du 18 juin 2003. Au commencement était le traité de l'OMPI, puis... En échange de cette contrepartie financière, l’auteur perd le droit de s’opposer à ce que son ouvrage soit communiqué dans les bibliothèques de prêt. Le litige en question opposait l’association Vereniging Openbare Bibliotheken à la Stichting, fondation mandatée par le ministère de la Justice néerlandais et qui perçoit la rémunération au titre du prêt. Location et prêt, deux éléments très distincts Première vente et copie légale = prêt numérique

Le Fair Use fait brûler le torchon entre facultés et éditeurs universitaires Jason Llagan, CC BY ND 2.0 Tout a débuté quand Oxford university press, Cambridge University Press et SAGE Publications se sont aperçus que l’université distribuait aux élèves des documents sous droit. Par l’intermédiaire de son site internet, il était possible de télécharger et imprimer des contenus, sans que les ayants droit n’aient leur mot à dire. L’université s’était toujours défendue en arguant que le Fair Use lui permettait de fournir les milliers de travaux et fichiers aux étudiants – pas vraiment du goût des associations d’auteurs et d’éditeurs américaines. Le procès s’est éternisé, mais, en août dernier, l’affaire a pris un tournant inattendu : la juge Orinda Evans renvoyait la demande des éditeurs plaignants, considérant que le préjudice n’était pas manifeste. « Il subsiste une possibilité d’infraction à l’avenir, car le fair use implique un examen attentif selon les cas [avant d’être mis en application]. Les conséquences funestes pour les auteurs Le Fair Use, nouve sésame ?

Jeux vidéo et Bibliothèques Voici quelques textes que j’ai pu lire récemment, et que j’ai eu envie de partager avec vous sur jvbib. On commence par un texte que j’ai trouvé sur notgames , le blog des créateurs du studio Tale of Tales, à qui l’on doit les (non-)jeux The Endless Forest, The Path ou The Graveyard. Ils décrivent leur blog comme “une exploration de ce qui est émouvant, enchanteur et fascinant dans les programmes informatiques, les jeux vidéo et l’art procédural, *au-delà* de l’amusement provoqué par la mise en application de règles et l’obtention de récompenses”. Le texte que je vous propose s’appelle “The unnamed medium”, il fut à l’origine publié sur “Le média sans nomOuvrez votre programme de lecture de musique préféré, lancez un morceau et activez la visualisation. À la lecture de The unnamed medium, je me suis souvenu d’un autre texte que j’avais lu il y a quelques mois. “Médiazinteractif(s): pour un peu plus de dialogue

Des jeux vidéo à la bibliothèque L’association des deux termes, « jeu vidéo » et « bibliothèque », peut sembler antinomique, voire loufoque au premier abord, tant les deux mondes auxquels ils sont associés paraissent éloignés. Pourtant, les professionnels des bibliothèques sont de plus en plus nombreux à s’intéresser au jeu vidéo comme support à intégrer dans les collections. Un support culturel à part entière En plus de trente ans d’existence, le jeu vidéo a réussi à gagner ses galons d’objet culturel populaire. Il est loin le temps où il n’était qu’un loisir récréatif pour enfants. Désormais, tout le monde joue, que ce soit sur son téléphone portable dans le métro, entre amis sur console de salon ou avec une communauté virtuelle sur PC. Culturel au point de mériter une place dans les bibliothèques ? Si le public, le grand et celui de nos illustres établissements, ne se pose pas de questions quant à la légitimité des jeux vidéo en bibliothèque, il n’en va pas forcément de même pour les professionnels. Des lieux d’avenir

Le « bookstore model » : le retour de la vengeance des classements par centre d’intérêt Je travaille en ce moment à la création d’une nouvelle médiathèque. Forcément, dans ce type de projet, la question du plan de classement se pose assez vite : comment mettre en scène les collections pour que des usagers de toutes sortes trouvent ce qu’ils cherchent de façon autonome ? La plupart des bibliothèques emploient la vénérable Classification Décimale de Dewey mais il existe des alternatives ! La CDD, ses limites et ses bricolages « Pourquoi les usagers ont du mal à trouver des documentaires. » Sondage réalisé par Barbara Fister en 2009, source Face à ces limites évidentes, la plupart des bibliothèques françaises ont choisi de bricoler la CDD. Les classements par centre d’intérêt ancienne manière Est-il possible d’aller plus loin, et d’utiliser de véritables systèmes alternatifs, plutôt que de poser des pansements sur la jambe de bois de la Dewey ? Le classement par centres d’intérêt utilisé à Détroit dans les années 40 (source) Le bookstore model Alors… faut-il abandonner la CDD ?

Débat sur une loi « bibliothèques » : l’ABF ouvre à son tour le dossier Contactée par le Service du livre et de la lecture (ministère de la Culture), l’Association des bibliothécaires de France (ABF) compte s’associer à la réflexion en cours. Vraisemblablement, elle se joindra au séminaire que la Rue de Valois et l’Association des directeurs de bibliothèques départementales de prêt (ADBDP) envisagent d’organiser l’hiver prochain avec l’Institut des sciences sociales du politique à l’ENS de Cachan. « Socle minimum » « L’idée du ministère est de réfléchir à la définition d’un socle minimum de missions obligatoires pour les collectivité, précise Xavier Galaup, président de l’ABF. Bibliothèque municipale Toussaint d’Angers ©Ascona49 CC BY 3.0 Large concertation attendue En tout état de cause, l’élargissement du débat, devrait satisfaire les professionnels restés dubitatifs, voire méfiants, lors de l’annonce de l’ouverture de ce chantier. Premier chantier pour un nouveau ministre ? Focus Xavier Galaup : «Pourquoi pas un « schéma de lecture publique » ?

Ebook : HarperCollins France quitte la DRM Adobe et Numilog pour TEA et CARE Inaugurée en avril dernier, la filiale française du groupe HarperCollins est dirigée par Emmanuelle Bucco-Cancès. Le groupe est l’éditeur d’un catalogue de littérature générale sous le label HarperCollins et d’un catalogue de romance sous la marque Harlequin. Harlequin a depuis longtemps diversifié ses formats en développant ses ventes d’ebooks, notamment sur son site de ventes directes dédié à la romance et via ses applications. En faisant le choix de la solution TEA, la maison d’édition prend une place de choix parmi les clients que la startup a déjà convaincus : France Loisirs, Chapitre.com, Cultura, Decitre, Le Furet du Nord, Système U, Auchan, Cdiscount, le groupe Bayard et plusieurs librairies indépendantes. Emmanuelle Bucco-Cancès, Directrice Générale de HarperCollins France explique : « Nous avons retenu TEA après une étude poussée des différentes solutions existantes. En choisissant TEA, HarperCollins opte pour la mesure de protection CARE.

Jeux vidéo : les enfants préfèrent les mobiles Les tablettes et smartphones ont bouleversé la donne dans le domaine des jeux vidéo. Si auparavant les jeunes enfants commençaient à jouer sur les consoles et PC ce n’est plus le cas. Une étude révèle que désormais ils se divertissent en utilisant un smartphone ou une tablette en priorité. Les enfants délaissent les jeux vidéo sur PC Les consoles de jeux et ordinateurs n’ont plus une place aussi importante qu’il y a quelques années dans les foyers. D’un autre côté, les enfants de 9 à 11 ans sont encore très attachés à leur console de jeux. Un marché du jeu vidéo qui doit s’adapter Ces dernières années, les plus grands noms du jeu vidéo se sont lancés dans la conception de jeux sur supports mobiles, ainsi on trouve sur les stores des différents constructeurs de nombreuses applications gratuites ou à un tarif très bas pour divertir nos chères petites têtes blondes. En outre, l’ordinateur n’occupe plus la place qu’il occupait avant dans les foyers.

La carte des jeux vidéo en bibliothèque Vous vous demandez quelles bibliothèques proposent des jeux vidéo? Cherchez sur la carte des jeux vidéo en bibliothèques. Dans toutes les bibliothèques listées ici vous trouverez des jeux vidéo. /! Si vous connaissez une bibliothèque qui n’est pas sur la carte et qui pourtant propose des jeux vidéo, vous pouvez très facilement l’ajouter en utilisant le formulaire ci-dessous ! (Merci à Lully1804 pour le coup de main du dépanneur en or !) Pour ceux qui s’intéressent à la cuisine, voici un peu d’explications sur les coulisses : Au tout début dans sa première version la carte était éditée directement depuis google maps, tout le monde pouvait écrire dedans et c’était le seul moyen de la remplir. Ce que j’ai voulu faire avec cette nouvelle version, c’est qu’on ait juste à alimenter un fichier de tableur, et qu’à partir de là une carte google soit créée. Donc c’est parti pour google docs. Je publie ces trois dernières colonnes au format csv. oo - Médiathèque de Saint-Raphaël (BM) + d’infos

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